''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Au marché de Beolan !

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Jarred Bass



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Jarred Bass
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Race : Humaine
Classe : Guérisseuse
Métier : Troubadour
Croyances : Dieu de la pluie
Groupe : Solitaire

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Fiche de Personnage : Ma Fiche


Au marché de Beolan ! _
MessageSujet: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyJeu 15 Juil 2010 - 21:16

Au marché de Beolan,

Alors que Jarred terminait sa chanson, son regard se porta sur un homme d’une 30 d’années, à première vue rien d’inquiétant. Après avoir ramassé une boîte métallique dans laquelle le son de quelques pièces résonnaient, elle jeta un bref coup d’œil sur l’homme qui à présent se tenait les côtes et errait plus qu’il ne marchait. Prête à baiser le regard pour sa route, Jarred fut brusquement bousculé. L’homme s’était écroulé sur elle, les gens embarrassés regardèrent la scène en gardant du recul, il faut dire que cet individu puait la vase et son visage était plus que crasseux ! Pendant qu’elle se dégageait de cette étreinte, une chaleur liquide attira son attention. Perplexe et inquiète Jarred retourna le corps, souleva la main du torse et là une plaie, d’environ 40 cm, laissait s’écouler le précieux liquide.

Un peu affolé Jarred arracha un bout de son jupon et le plaqua fermement sur l’ouverture, ce qui fit lâcher un rail de douleur au « patient ». Pour lui sauver la vie Jarred devais se calmer, respirer lentement et se concentrer. Après avoir ralentit son rythme cardiaque elle ferma les yeux, s’imagina être sur le sommet de la plus haute montagne, où le calme et la sérénité reignent. Elle respira lentement et contrôla aussi ses pulsions cardiaques. Enfin prête elle plaça ses mains aux l’extrémité de la blessure, en quelques secondes la moitié était soigner et une à deux minutes plus tard le torse de l’homme était comme neuf.

Alors qu’elle se relevait sous les applaudissements de la populas, les gens commencèrent à l’encercler et à ce rapprocher tout en lui montrant des blessures qu’ils souhaitèrent soigner. Un brouhaha s’installa. Jarred se recroquevilla sur elle-même devant cette situation d’horreur. Elle qui déteste être au centre des intérêts ! Maintenant elle s’entait le poids de la population sur ses épaules, elle se referma encore plus, suffoquant en silence et patienta ainsi quelques minutes qui lui parurent être des heures. Son seul réconfort fut Le Loir qui s’était abrité entre ses cuisses et sa poitrine.

Alors qu’elle perdait tous espoirs, elle entendit une personne serait ce son sauveur ? Et l’homme blessé a-t-il survécu ?
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Dolven Melrak



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Dolven Melrak
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Race : Seïrdan
Classe : Lame noir
Métier : Conseiller du roi officiellement, agent à la solde des rebelles officieusement
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyJeu 15 Juil 2010 - 21:47

Dolven venait de sortir d’une réunion importante, il devait exposer ses projets concernant l’économie, pour une relance rapide. En tant que conseiller du roi, Dolven avait un certain poids au sein de l’assemblée, et il était respecté pour son charisme et son intelligence. Il avait su séduire toute la cour, mais ce beau rêve cachait une partie d’ombre. Se faisant passer pour un excellent conseiller auprès du roi, Dolven s’étais mis à dos les capes blanches, car Dolven faisait partit de la rébellion, et les fanatiques du Royaume avaient des soupçons.

Soucieux d’y perdre sa couverture, Dolven tentait de voir le moins possible les membres de la rébellion, et faisait en sorte d’aller dans des lieux simples et de faire semblant de travailler pour ne pas éveiller plus de soupçons, car le seïrdan savait qu’il était espionné. Ce n’était pas à un guerrier comme lui qu’on pouvait la faire, on ne le leurrer pas si facilement. D’ailleurs, depuis peu, les rôles s’étaient inversés, c’était Dolven qui surveillait les mouvements des capes blanches, ne ratant pas une occasion de divulguer des informations capitales à Setsuna.

Ce jour-là, Dolven devait rejoindre le marché de Boelan, l’un de ses contacts l’y attendait. Pour ne pas se faire remarquer, le seïrdan s’était encapuchonné dans une belle tunique noire tressée de filets d’or. Il restait donc discret, tout en affirmant aux regards des passants sa richesse. Un conseiller était très bien payé.

Caché, une fois qu’il eut finis de parler avec son contact, il partit, mais c’est là qu’un terrible évènement se produisit. Le contact de Dolven, membre de la rébellion, perdit malencontreusement l’équilibre, sa capuche se rabattit, et les capes blanches le démasquèrent rapidement. En moins d’une minute, les sbires du roi se lancèrent à la poursuite du rebelle, qui parvint à s’échapper. Mais il était blessé, un cou de poignard dans la haine.

Dolven, qui avait suivit son ami jusqu’ici, allait prêter maint forte à son coéquipier, mais il fut trop lent, une femme commençait déjà à le soigner, une guérisseuse certainement, puisque les blessures du rebelle se refermèrent. Dolven, remarquant alors l’embarras de la femme devant tant d’admiration et d’enthousiasme de la part du publique, dit alors :

- Du pain et du vin pour quiconque rejoindra la ruelle de Belémor, acte de charité de notre bien-aimé roi Kaull ! De plus, j’ai appris qu’il y avait des réductions sur le tissu chez tous les tisserands !

La foule ne se fit pas prier, et s’excita devant tant d’offres, rejoignant au plus vite les soi-disant lieux de vente. Profitant de cette euphorie, Dolven s’approcha de la femme, la prit par les bras, et dit en même temps à son ami rebelle :

- Repart au plus vite, je te rejoindrai à la veille tu sais où !

Dolven voyait déjà les capes blanches débarquer, celles-ci avaient vues la scène, et s’empressèrent de rejoindre la lieu de guérison, à la recherche de cette femme qui avait oser soigner un criminel. Mais Dolven était là, et tira la femme jusqu’à une cachette derrière deux murets. Une fois les gardes ayant perdus leur trace, Dolven se tourna vers la guérisseuse, et dit calmement, comme pour la rassurer :

- Moi c’est Dolven, excuse-moi pour ma brutalité, mais il fallait que je réagisse vite, sans le vouloir, guidé par ton altruisme, tu as commis un délit. Si tu veux bien, je te mènerai dans ma demeure, nous pourrons discuter en toute tranquillité, et tu y seras en sécurité, çà te va ?

Le bel homme ne pouvait pas laisser cette femme se faire attraper par des fous, il voulait là protéger et la remercier d’avoir sauver son ami…
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyVen 16 Juil 2010 - 17:01

Une fois le poids de la foule évacué, Jarred resta accroupi, invisible, 2 mains viriles se posèrent sur ses avant-bras et la remontèrent avec fermeté mais sans aucune brutalité. Jarred une fois sur ses 2 pieds dévia son regard de celui de son bienfaiteur. A peine le temps de dire "ouf" qu'ils entendirent des gardes s'approcher, les mains fermes devinrent brutales, l'homme l'entraîna dans une cachette, derrière 2 murets, à l'abri. Jarred adressa une prière silencieuse au Dieu de la pluie pendant les quelques secondes de présence des capes blanches. L'homme élégant ouvrit la bouche, en la fixant, lui adressant ces mots :

- Moi c’est Dolven, excuse-moi pour ma brutalité, mais il fallait que je réagisse vite, sans le vouloir, guidé par ton altruisme, tu as commis un délit. Si tu veux bien, je te mènerai dans ma demeure, nous pourrons discuter en toute tranquillité, et tu y seras en sécurité, çà te va ?

Jarred ne pouvait pas refuser une telle offre elle qui avait l'estomac dans les talons, aucun coin où passer la nuit, elle acquiesça d'un simple coup de tête car elle était encore dans sa bulle de protection.
*
L'homme appela une voiture, de bonnes manières il la laissa monter en premier, prudent il vérifia qu'il n'y avait aucun mouchard. Durant le voyage cette précaution fut renouvelé à plusieurs reprisent ce qui permit à Jarred, était sortie de son état léthargique, d'observer son sauveur. Cet homme semblait atteindre la trentaine, de longs cheveux noirs renforçaient le teint pâle de son visage fin, et l'ardente rougeur de ces pupilles. Il semblait bien constituer physiquement et atteint d'une certaine intelligence. Mais quelque chose perturbait l'esprit de Jarred ! Elle osa poser une question :

-Mais qui êtes-vous ?

La voiture filait à travers un dédalle de rues qui l'emmenait on ne sait où ?....
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyVen 16 Juil 2010 - 18:05

Dolven était bien embêté, comment rejoindre discrètement sa demeure sans se faire repérer ? Le seïrdan n’hésita pas, ne cachant plus sa véritable identité, il put affréter une voiture qui était en marche, car son titre de conseiller lui conférait maints avantages.

Laissant tout d’abord la jeune femme entrer, Dolven entra à son tour, puis ordonna qu’on le conduise chez lui. Habillé chiquement, le conseiller observa un moment la jeune femme qui l’accompagnait, il lui lançait un beau regard amical, de quoi la mettre en confiance, mais Dolven ne pouvait s’empêcher de sonder l’esprit de la belle, avant que celle-ci ne demande :

-Mais qui êtes-vous ?


A cette question, un beau sourire se dessina sur les lèvres sensuelles du guerrier, qui déclara dès lors en guise de réponse :

- Je me nomme Dolveneosafkis Melrak, mais appelez moi Dolven, ce sera plus rapide. Je suis le conseiller en finance du roi Kaull Hendenmark. Mais disons que j’ai mes petites affaires, et sans le vouloir, vous vous êtes retrouvé dans une situation critique. Si je n’étais pas intervenu aussi rapidement et brusquement, vous seriez actuellement en train de pourrir au fin fond d’un cachot, vos cris de douleurs serviraient d’amusement aux capes blanches. Pensez donc que je ne les aurais jamais laissé traiter une aussi belle femme que vous, raison qui fait que vous vous trouvez ici maintenant. Mais je peux vous renvoyer la question, qui êtes-vous ?

Puis, approchant son doux visage, et plongeant son brillant regard rubis, déposant toute sa splendeur telle une poudre sur une pellicule de verre, Dolven pris la main de la guérisseuse, et d’un regard langoureux, de sa voix mélodieusement grave, il lui dit :

- Mais vous m’avez rendu service… Les gardes ont sûrement eu écho de votre acte, et ne tarderont pas à se lancer à votre poursuite. Vous resterez donc chez moi, le temps que toute cette histoire se calme, car les capes blanches ont du mal à laisser tomber, mais vous serez en sécurité chez moi. J’espère seulement que votre soudaine disparition n’inquiètera pas une quelconque personne dans cette ville, et si vous avez besoin d’un toit, c’est volontier que je vous offre le mien.

La voiture, tournant dans un dédale de ruelles plus insalubres les unes que les autres, arriva près d’un immense manoir, entouré de grille dorée.

La voiture s’arrêta devant une immense porte, sur laquelle se trouvaient deux lions en or massif. Quatre gardes gardaient la porte, et contrôlèrent la voiture. Dolven sortit la tête, montrant ainsi aux gardes qu’i n’y avait aucun danger, mais il ne les laissa pas voir la jeune femme, de peur qu’ils la reconnaissent.

Empruntant un magnifique chemin de terre délimité par de belles sculptures végétales, la voiture déposa les deux passagers devant le manoir. Il était tard, c’était la pleine lune, on entendait déjà les chansons des criquets, le souffle léger de cette brise estivale faisaient danser les cheveux des deux personnages. Gentleman, Dolven ouvrit la porte à l’humaine, la laissant entrer la première dans son chez-lui.

Et là, c‘était un choc…

Un énorme escalier en marbre s’imposer au milieu de la salle de réception, des statues en tout genre, les œuvres de grands peintre décoraient cette immense salle, digne d’un château. Le tapis rouge venait des plus grands tisserands du sud, mais ce qui dominait, c’était cette agréable odeur d’encens que l’on remarquait, qui imprégnait le lieu d’une douceur sans précédent. Dolven se retourna alors vers son invité, et dit, tout en appelant son domestique :

- Impressionnant non ? Bon, je vais vous laisser à vos quartiers, changez-vous, Tiral, mon maître de maison vous trouvera sûrement quelque chose de plus beau que vos vêtements actuels à vous mettre. Il vous montrera où se trouve votre chambre, et tâchez de prendre un bain. Tiral viendra alors vous cherchez pour l’heure du dîner, vous pourrez dès lors me poser toutes les questions qui vous trottent dans la tête. Pour ma part, j’ai des affaires à régler…

Alors que Dolven se dirigeait vers son bureau, Tiral s’approcha de la jeune femme, et annonça :

- Si Mademoiselle veut bien me suivre…

Tiral monta les marches de l’escalier, prit le couloir de droite, et entra dans la chambre de gauche, et déclara :

- Voici votre chambre. La douche se trouve au fond à droite, et de nouveaux vêtements vous ont été offert par mon maître, ils sont posés sur votre lit. je viendrai vous cherchez dans une heure, pour le dîner...
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyVen 16 Juil 2010 - 19:27

Lorsque Jarred posa sa question un beau sourire sensuelle se dessina sur les lèvres de l'interlocuteur, qui déclara :

- Je me nomme Dolveneosafkis Melrak, mais appelez moi Dolven, ce sera plus rapide. Je suis le conseiller en finance du roi Kaull Hendenmark. Mais disons que j’ai mes petites affaires, et sans le vouloir, vous vous êtes retrouvé dans une situation critique. Si je n’étais pas intervenu aussi rapidement et brusquement, vous seriez actuellement en train de pourrir au fin fond d’un cachot, vos cris de douleurs serviraient d’amusement aux capes blanches. Pensez donc que je ne les aurais jamais laissé traiter une aussi belle femme que vous, raison qui fait que vous vous trouvez ici maintenant. Mais je peux vous renvoyer la question, qui êtes-vous ?

Un peu interloqué Jarred pris une seconde avant de répondre :

-Je me nomme Jarred Bass, je suis une troubadour, je parcoure les villes et je vous remercie de m'avoir…hum…secourue !

Jarred rougit légèrement cependant elle ne souhaitait pas divulguer ce qu'elle croyait être encore un secret.
Puis, Dolven approcha son suave visage, et plongeant son brillant regard rubis dans le siens, Dolven pris sa main de guérisseuse, Jarred sentie une étrange chaleur l'envahir, et d’un regard langoureux, de sa voix t grave, il lui dit :

- Mais vous m’avez rendu service… Les gardes ont sûrement eu écho de votre acte, et ne tarderont pas à se lancer à votre poursuite. Vous resterez donc chez moi, le temps que toute cette histoire se calme, car les capes blanches ont du mal à laisser tomber, mais vous serez en sécurité chez moi. J’espère seulement que votre soudaine disparition n’inquiètera pas une quelconque personne dans cette ville, et si vous avez besoin d’un toit, c’est volontier que je vous offre le mien.

La voiture, tournant dans un dédale de ruelles plus insalubres les unes que les autres, arriva près d’un immense manoir, entouré de grille dorée.

Sachez que personne ne m'attends que ce soit ici où ailleurs. Je suis libre telle la pluie....Et je vous remercie pour votre invitation !

Tout en disant cela Jarred approcha son visage de celui de son locuteur et leva progressivement son regard de ces yeux flamboyant, comme une marque de défi. Elle ne loupa aucuns traits, aucunes rides, pas un grain de peau ne lui échappa.

La voiture s’arrêta devant une immense porte, sur laquelle se trouvaient deux lions en or massif. Quatre gardes gardaient la porte, et contrôlèrent la voiture. Dolven sortit la tête, montrant ainsi aux gardes qu’i n’y avait aucun danger, de peur.

La voiture emprunta un magnifique chemin de terre délimité par de belles sculptures végétales qui n'échappa pas à Jarred qui les observait avec beaucoup d'intérêts de la petite fenêtre laissa échapper un "hum! "d'extase. Le cochet arrêta la locomotion devant le manoir. Il était tard, c’était la pleine lune, on entendait déjà les chansons des criquets, le souffle léger de cette brise estivale faisaient danser les cheveux des deux personnages. Gentleman, ouvrit la porte à l’humaine, la laissant entrer la première dans la demeure.

Et là, devant ses yeux un énorme escalier en marbre s’imposer au milieu de la salle de réception, des statues en tout genre, les œuvres de grands peintre décoraient cette immense salle, digne d’un château. Le tapis rouge venait des plus grands tisserands du sud, mais ce qui dominait, c’était cette agréable odeur d’encens que l’on remarquait, qui imprégnait le lieu d’une douceur sans précédent. Dolven se retourna alors vers son invité, et dit, tout en appelant son domestique :

- Impressionnant non ? Bon, je vais vous laisser à vos quartiers, changez-vous, Tiral, mon maître de maison vous trouvera sûrement quelque chose de plus beau que vos vêtements actuels à vous mettre. Il vous montrera où se trouve votre chambre, et tâchez de prendre un bain. Tiral viendra alors vous cherchez pour l’heure du dîner, vous pourrez dès lors me poser toutes les questions qui vous trottent dans la tête. Pour ma part, j’ai des affaires à régler…

Alors que Dolven se dirigeait vers son bureau, Jarred n'eut pas le temps de dire quoi que se soit que Tiral s’approcha et annonça,

- Si Mademoiselle veut bien me suivre…


Jarred obéissante acquiesça d'un mouvement de tête, trop impressionné pour dire un mot et suivi
Tiral qui monta les marches de l’escalier, prit le couloir de droite, et entra dans une chambre de gauche, et déclara :

- Voici votre chambre. La douche se trouve au fond à droite, et de nouveaux vêtements vous ont été offert par mon maître, ils sont posés sur votre lit. Je viendrai vous cherchez dans une heure, pour le dîner...

Sur ce, il referma la porte et la laissa dans cette….immense chambre. En face d'elle une porte fenêtre donnais vue sur le jardin de derrière, à la droite un sofa bien rembourré à tissu indien au couloir de la chambre, juste à côté une coiffeuse avec quelques produits de beauté, en encore un peu plus loin un porte manteau et la porte d'entrée. A la gauche de la porte fenêtre la porte de la salle de bain, suivit d'un lit deux places, sans commentaire, aux draps de soie noir. Sur le mur de la porte une grosse armoire accoler un miroir de la longueur du mur. Et au plafond un magnifique lustre éteints. Les couloirs semblaient entre or, argent et noir tout ça dévoilé dans une lumière tamisée. La salle de bain était de couleur ivoire et aux carrelages noir vitreux, à gauche un baignoire-douche sabot aux pieds et aux poignets en or, les toilettes était dans une pièce caché dans un angle. Le lavabo, le miroir et la décoration étaient dans ces tons.

Après avoir pris un bain aux odeurs inconnues avec Le Loir, Jarred inspecta l'armoire de sa chambre il y avait tant de choix, de tenues magnifiques qu'elle n'osait toucher. Elle finit par choisir une robe noire moulante sans manche, attaché au cou par devant laissant ainsi une fente sexy mais pas vulgaire le dos est très largement découvert, jusqu'à la base de la cambrure. Elle possède également un une petite traîne drapé. Assortit une paire de chaussures rouge vif. Mes cheveux étaient relevés en dun chignon simple et bas, une fleur blanche décorait le tout. Des longues boucles d'oreilles de diaments longeaient mon cou.

Pour ce qui est du maquillage Jarred mis un léger fond de teint à fin d'unifier son teint, du mascara et du crayon pour souligner son regard et du rouge à lèvre de la même couleur que ses chaussures. Le tout lui pris exactement une heure, ce qui permis à Le Lor de s'endormir. Tiral fut très ponctuel il l'accompagna jusqu'à la salle à manger où Dolven attendais debout fin près…

[je suis désolée je ne fais pas vraiment avancé le rp si tu veux je peux continuer aucuns problèmes ! N'hésite pas également à me faire savoir si tu veux arrêter sa m'énerve quand les gens ne le dise pas et s'arrête sans rien dire ! mer]
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptyVen 16 Juil 2010 - 22:03

Dolven rédigeait un rapport au sujet des avancées économiques du Royaume, soulignant ainsi le fait qu’il fallait créer une nouvelle monnaie, plus forte, afin de profiter au mieux du commerce avec d’autres territoires. Y déposant son sceau, Dolven transmis son message à l’un de ses messagers, qui accourut l’apporter au roi. Puis le conseiller partit dans ses quartiers, où il décida de prendre des vêtements « simples », enfin simples pour lui, mais luxueux pour d’autres.

Il enfila donc une belle chemise en soie blanche tressé et en débordement au niveau des poignets. Une chemise de nobles en réalité. Il mit un pantalon court, pour laisser ressortir ses chaussettes blanches. Il se contenta de cela, mais malgré cette « simplicité », comme il aimait à le dire,
Dolven était dans toute sa splendeur, envahissant l’environnement de sa magnificence et de son charisme.

S’asseyant ensuite à la table de repas, Dolven attendit son invité, Jarred, qui ne tarda pas. Lorsqu’il l’a vit, dans sa moulante robe noir, Dolven sourit, et ne put s’empêcher de la féliciter en applaudissant des mains :

- Vous voyez, vous avez cela en vous, je le savais ! Les belles choses sont automatiquement resplendissantes à votre contact, car vous l’êtes tout autant. Vous êtes vraiment magnifique, même nos pseudos déesse en deviendrait rouge de jalousie. Mais je vous prie, prenez place à mes côtés.

Installant Jarred, Dolven s’assis juste en face d’elle, et pria qu’on leur serve l’entrée. Le cuisinier débarqua alors, plat en mains, déposant une succulente salade avec homard, cabillaud, tomate, et quelques fruits, tout cela badigeonnant dans une délicieuse sauce aux herbes végétales.

Mais le cuisinier ramena tous les plats, à la demande de son maître. Deux poulets rôtis arrivèrent, du caviar, des fruits en tout genre, même des fruits exotiques, de la viande en folie, la nourriture affluait de tout côté.

Dignement et gracieusement, Dolven se délectait de la douce chaire de volaille, tout en déclarant à Jarred :

- Alors Jarred, tutoyons-nous enfin, vous avez sauvez mon ami, nous sommes déjà en bon terme ! Qu’est-ce qui t’a mené ici ? Je doute fort que tu te promène au sein du royaume pour sauver les malheureux qui te tombent sous la main. Je me trompe ?

Puis, en versant du vin dans le verre de la guérisseuse, il ajouta :

- Pour ma part, je suis simple conseiller du roi. Je ne dis pas par là que j’aime ou approuve en tout point les actes du roi, mais cela me confère un titre et des avantages que je me vois dans l’incapacité de refuser. Tu sais, je viens de très loin, et je viens d’un lieu cauchemardesque ou vie rime avec guerre, donc devenir conseiller était pour moi une façon de me libérer du passé.

Buvant encore un peu, Dolven épiait d’un regard émoustillé son invité, et voulait en savoir plus sur elle…
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptySam 17 Juil 2010 - 11:45

Alors qu'elle entrait dans la salle à manger, elle fut accueillit par les applaudissements de son hôte qui ne peut s'empêcher de la complimenter :

- Vous voyez, vous avez cela en vous, je le savais ! Les belles choses sont automatiquement resplendissantes à votre contact, car vous l’êtes tout autant. Vous êtes vraiment magnifique, même nos pseudos déesse en deviendrait rouge de jalousie. Mais je vous prie, prenez place à mes côtés.

Un peu gêner, car Jarred n'était pas habituer à cette richesse et ce n'est pas les dernières années passé a vagabondé qui lui ont apprit, lâcha un petit "merci". Dolven s'avança vers Jarred, observa le mode vestimentaire de son charmant logeur, il portait une belle chemise en soie blanche tressé et en débordement au niveau des poignets, un pantalon court, pour laisser ressortir ses chaussettes blanches. Jarred se laissa installer par son sauveur sans montrer la moindre résistance, ces codes de bonnes manières commençaient à lui plaire, à moins que ce soit autre chose…! Dolven s'assit en face d'elle et pria son personnelle d'apporté les plats, le cuisinier obéissant déposa une assiette devant chacun qui contenait une savoureuse salade avec homard, cabillaud, tomate, et quelques fruits, tout cela assaisonné d'une délicieuse sauce aux herbes végétales. A peine la salade étamée que Dolven demanda de ramener tout les plats, quelques minutes suffirent pour que la table soit pleines de mets délicieux, du poulets rôtis, du caviar, des fruits en tout genre, même des fruits exotiques, de la viande rouges, blanches…. Dignement et gracieusement, Dolven se délectait de la douce chaire de volaille, alors que Jarred commençait à êtres atteinte d'un tourie ne sachant plus où donner de la tête, essayant de faire bonne figure elle fit de petites bouchers et priant de rien provoqué d'humiliant. Dolven finit par briser le silence en déclarant à Jarred :


- Alors Jarred, tutoyons-nous enfin, vous avez sauvez mon ami, nous sommes déjà en bon terme ! Qu’est-ce qui t’a mené ici ? Je doute fort que tu te promène au sein du royaume pour sauver les malheureux qui te tombent sous la main. Je me trompe ?

Puis, en versant du vin dans le verre de la guérisseuse, il ajouta :

- Pour ma part, je suis simple conseiller du roi. Je ne dis pas par là que j’aime ou approuve en tout point les actes du roi, mais cela me confère un titre et des avantages que je me vois dans l’incapacité de refuser. Tu sais, je viens de très loin, et je viens d’un lieu cauchemardesque ou vie rime avec guerre, donc devenir conseiller était pour moi une façon de me libérer du passé.

Un peu choqué par la franchisse des révélations Jarred avala son morceau de viande d'un coup, avant de répondre elle avala une gorgé du délectable vin, fixa Dolven, elle se sentait en sécurité en sa présence et il lui avait sauvé la vie, elle lui devait la vérité, d'un ton clair et sans osciller elle avoua :

-Tu as raison, sauver les gens n'est pas mon métier premier, je suis troubadour avant tout. Mon don, je ne l'utilise que pour manger et dormir, en soignant mes futurs logeurs. Pour ce qui est du pourquoi dans cette ville, et bien, j'erre. Comme je te l'ai dit je suis libre, personne ne me retiens…

Jarred fit une pose et repris :

-J'ai toujours vécu sur les plaines de Feleth, mon oncle et ma tante ont été de véritables parents pour moi ! Seulement leurs destins étaient de mourir…trop tôt…tués par un Clan. Depuis je voyage de villes en villes. Mon pouvoir n'a jamais été un don mais une malédiction…

Jarred, qui avait à présent ses yeux fixés sur son doigts avec le quel elle fessait le tour, sentit le regard de Dolven, elle releva la tête, ces yeux flamboyant ne dévoilaient aucuns sentiments ou peut être trop à la fois !
Une montagne de déserts prit place sur la table, il y avait tant de pâtisseries, de gâteaux, de fruits et de crèmes glacés de premières qualité qu'il était impossible de tous les décrire et les nommer. Jarred choisit une part de pudding et une boule de crème glacé à la framboise, le tout servit dans une vaisselle de cristal et de porcelaine.
Jarred prit son courage à deux mains et fit par poser la question qui la démangeait depuis le début du repas :

-Qui était l'homme que j'ai soigné ? S'en est il sortie ?

Quelques secondes passèrent Jarred eut une légère appréhension mais Dolven fit par lui répondre, elle se douta, vu sa réponse, qu'il préférait éviter le sujet, moins elle en saurait plus elle serait protégé !
La fin du repas arriva, Jarred se demandais ce que serait la suite, qu'avait prévu son interlocuteur envoutant, qui à présent se levait….
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MessageSujet: Re: Au marché de Beolan !   Au marché de Beolan ! EmptySam 17 Juil 2010 - 17:46

Dolven était un charmeur né. Attiré depuis toujours par la gente féminine, il avait appris à comprendre les femmes, et à les séduire. Jarred, cette jeune et belle guérisseuse, avait éveillé sa curiosité, car sa timidité, son angoisse à la présence de la foule, et ses dons magiques l’intéressaient. Il avait des projets pour elle…

La laissant manger à sa guise, le guerrier écouta son invité d’une oreille attentive :


-Tu as raison, sauver les gens n'est pas mon métier premier, je suis troubadour avant tout. Mon don, je ne l'utilise que pour manger et dormir, en soignant mes futurs logeurs. Pour ce qui est du pourquoi dans cette ville, et bien, j'erre. Comme je te l'ai dit je suis libre, personne ne me retiens… J'ai toujours vécu sur les plaines de Feleth, mon oncle et ma tante ont été de véritables parents pour moi ! Seulement leurs destins étaient de mourir…trop tôt…tués par un Clan. Depuis je voyage de villes en villes. Mon pouvoir n'a jamais été un don mais une malédiction…

Elle rajouta alors :

-Qui était l'homme que j'ai soigné ? S'en est il sortie ?

*Très intéressant !*, pensa-t-il. Il ne comprenait qu’une personne puisse renier à ce point ses dons, mais avant d’en dire plus, Dolven continua de l’écouter :

Redevenu soudainement sérieux, voire grave, Dolven ne riait plus comme avant, il la regardait simplement, intensément, l’analysant. Ce qu’il allait dire ne pouvait pas sortir de sa bouche, et lui révéler cette vérité mettrait sa vie en danger. Le conseiller dit tout simplement, calmement, en prenant la main de Jarred, et d’un ton amicale :

- Veux-tu bien m’excuser, mais je ne puis te révéler l’identité de celui que tu as sauvé. Non pas que je ne le veuille pas, mais plutôt que je ne le puis pas. Car cet homme que tu as sauvé, est disons, recherché. Je ne peux t’en révéler plus. Si je te disais toute la vérité, je mettrai ta vie en danger, et je ne le souhaite pas. Peut-être que par le futur, je pourrai te dire toute la vérité, mais pas maintenant. Et pour tes parents, désolé...

Dolven se leva alors, dos à Jarred, et demanda à son cuisinier qu’il apporte un perroquet, suspendu à son perchoir :

- Tu sais Jarred, ne pense pas que tes dons fassent de toi une paria, ce n’est pas une malédiction. Sache que j’ai vu bien des choses, et mon âge réel te ferait pâlir. J’ai vécu plus d’un siècle pour comprendre que la magie est un don fait par ceux que beaucoup appellent dieux, mais que je nomme simplement vie. Tu dois comprendre que la magie a de nombreuses facettes, il faut distinguer magie noire, magie blanche, dans ton cas, tu maîtrise la magie blanche, magie de guérison…

Le regard lourd de remords, Dolven se coupa les veines du poignet, un flot de sang coula sur le sol. Puis Dolven posa ses mains sur l’oiseau.

L’animal perdit ses plumes rapidement, sa peau se rida, la vie fuyait de son corps, qui tombait dès lors tel un vulgaire caillou. Dolven, le regard triste, déclara à Jarred :

- Voici ce qu’est une malédiction, je prends la vie des autres pour conserver la mienne. Ceci est une malédiction, car je suis un voleur, un voleur de vie, alors ne dit jamais que tu es maudites de soigner autrui, c’est une bénédiction.

Faisant venir Tiral, Dolven dit alors :

- Il se fait tard, Tiral te mènera à votre chambre, et reposes-toi. Demain sera une longue journée, je t’emmènerai faire un tour en cheval au bord d’un lac. Mais au faite, bienvenue chez toi, Jarred Bass, belle et magnifique guérisseuse !

(HRP : Fais ton rp, on fera la suite dehors, on dira que c'est le lendemain, je veindrai te réveiller moi-même, et nous irons au bord du lac)
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