''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Aux armes mes frères !

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Aznan Lauréano



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Aznan Lauréano
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Race : Demi-Vampire
Classe : Roublard
Métier : Individu recherché / Assassin
Croyances : Dieu du Solstice
Groupe : Rebelle

Âge : 21

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Aux armes mes frères ! _
MessageSujet: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyJeu 11 Aoû 2011 - 18:04

Les Révoltes qui se manifestent par les armes, on peut les mater. Celle qui naissent et se propagent par l'esprit sont insaisissables.


Spoiler:

Quatre ans...

Quatre ans que le royaume entier brûle sous le règne de cet infâme roi. Nombre de mes frères sont tombés en voulant défendre la démocratie, nombre de mes frères ont donné leurs vies pour la liberté, je vous promet mes frères, votre sacrifice ne sera pas vain, de par la lame mourront les royalistes, de par ma lame, vengeance sera faite. Si j'échoue, je viendrais vous rejoindre dans la mort très chers frères...

Cette nuit la, je devais rejoindre l'un de mes plus vieil amis, Omérille Almonzor. Cet homme âgé d'une quarantaine d'années, étais le chef de notre confrérie. De taille moyenne et d'une faible corpulence,
il était le meilleur des nôtres en ce qui concernait notre "travail", ses talents de stratège n'avaient également rien à envier à son agilité plus que remarquable. Omérille possédait aussi une volonté de fer impossible à briser même sous la torture. Si un jour il devait se faire capturer par les gardes du royaume, nous pouvions être certain qu'il emporterait dans sa tombe les secrets de notre Ordre.

Après de longues minutes de marches, j'arrivais enfin devant la panse repue. Une fois à l'intérieur, je sentis une odeur particulièrement abject mêlant alcool et vomissure... Enfin bref, j'avais l'habitude de ce genre de lieu, toutes les tavernes se ressemblent après tous et toutes prouvent la détresse des citoyens de Féléth. Je remarquai soudainement une main se lever au fond de la pièce, c'était celle de mon chef. Il était assit à une table en compagnie d'une dizaine de mes collègues, pour la plupart tous encapuchonnés comme moi. Une fois à sa hauteur il me prit dans ses bras.

- Aznan mon ami ! Comment te porte tu depuis ta dernière missions ? Ta blessure n'a pas était trop grave j'espère.

- Qu'il est bon de te revoir mon maitre. En ce qui concerne ma blessures, disons que je risque de m'en souvenir un moment...

-J'en suis désolé... Mais toute cause juste exige des sacrifices... Maintenant viens t'avoir avec nous Aznan, je vais vous faire vous un topo sur la situation actuelle.

Sans dire un mot de plus, je m'essayai aux côté de mes camarades pour connaitre les raisons de cette étrange réunion.

- Mes frères, l'heure et graves ! Si je vous ai tous réunis en ce jour, c'est pour vous avertir que l'ennemi est à nos portes. Certain de nos contacts nous ont avertis qu'une femme à la tête d'une grande armée se dirigeait actuellement vers la capital pour y prélever nos împôts, nombre d'entre nous n'ont pas les moyens de payer une telle somme. Il est de notre devoir d'aider la population à prendre les armes pour renvoyer ses larbins du roi d'où ils viennent !

Ses paroles eut pour effet d'éveiller en nous une colère depuis longtemps ensommeillée, en quelques secondes des poings cognés contre la table et un brouhaha sans nom envahissait notre petit groupe. D'un coup, tous ce fît silence... Une personne venait de franchir la porte de la taverne...
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Asmael Flamma



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Asmael Flamma
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Race : Humain
Classe : Rôdeur
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Croyances : Aucune
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Aux armes mes frères ! _
MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyJeu 11 Aoû 2011 - 20:37

«Un, deux, trois, quatre, cinq… »

La porte de la taverne s’entrouvrait sur la noirceur de la nuit. Le froid s’engouffrait dans la pièce maintenant réchauffée par les paroles rebelles. Le silence s’était abattue à l’arrivé de l’inconnue. On ne pouvait pas distinguer facilement qui était un loup dans cette tanière qu’était Madorass. L’homme qui était entré était masqué ainsi qu’encapuchonné dans sa cape écarlate, lui donnant un air menaçant. Dans son dos, une arbalète. À sa ceinture, une épée. Et seuls ses yeux rouges perçaient à travers son voile de mystère. Il approcha lentement du sombre groupe du fond, ses pas craquaient sur le bois du plancher. Les quelques autres buveurs présents l’ignoraient, mais l’inconnue se savait remarquer par ceux-ci. Asmael avait fait un long chemin, ayant entendu parler de cette collecte d’impôt importante. Disons que depuis Venill, ça faisait une longue marche et il était sûr qu’il ne s’agissait pas de simples rumeurs. C’est ici qu’on lui avait dit de venir, ce soir même. À distance raisonnable pour engager une discussion, le rôdeur s’arrêta. « Bonsoir » dit-il, pivotant la tête pour regarder chacun des rebelles assis à cette table. Son regard s’arrêta sur l’orateur du groupe. Celui-ci le regardait intensément, le défiant du regard, l’analysant. « Et bien en voilà des manière. Vous croyez vraiment que j’aurais pris un risque de m’aventurer dans Madorass pour le plaisir? On m’envoie de Venill, vous devriez avoir une idée de qui je suis » racontait l’homme en rouge. Il tira une chaise d’une table voisine, s’assoyant en croisant les bras sur le dossier de celle-ci. Sa voix semblait celle que l’on adresse à un ami, avec un ton arrogant.

Spoiler:
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Ika Ano



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Ika Ano
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Race : Humain
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Aux armes mes frères ! _
MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyVen 12 Aoû 2011 - 13:21

Trente quatre familles. C'était là que je me sentais enfin vivantes, alors que, mises en face de moi, je m'assurais que leurs têtes soient détachées de leurs bustes. Je m'assurais que leurs lignées s'arrêtent là, que ces infidèles, plus jamais, ne fassent d'enfants. J'aimais voir leur visage pathétique alors qu'ils me laissaient, tours à tours, les décapiter. En même temps .. Que pouvaient ils faire ..? Ils étaient pieds et poings liés, incapable de tenir une arme comme de vrais guerrier. Ma devise renforçait d'ailleurs cet aspect de la chose en disant ; "Si tu ne veux pas payer mon Roi, donnes t'en les moyens." C'était tellement logique. Si tu ne sais pas te battre et te défendre contre l'armée d'Ika, tu payes, et voilà. Les gens faisaient preuve aujourd'hui d'un civisme inexistant. Déplorable. Heureusement que je fut présente avec mes hommes pour nettoyer tout ça.
Cette ligne de décapitation était complète, je posais donc la lame de mon épée sur mon épaule, pour laisser le sang de ces impurs y couler. Je voulais que les prochain aient peur de moi dès l'instant de mon arrivée.

Gildas, mon émissaire, déclara que l'on approchait du point sensible, une taverne nommé "à la panse repue" Apparemment visitée à un rythme particulier par des rebelles et d'autres vermines de tous genres et de tout horizons.
Un sourire me vint aux lèvres, peut être auront-nous finalement une véritable bataille dans cette cité où ma mission fut, jusqu'ici, des plus simplifiée.

Alors mes hommes finirent ce qu'ils avaient sous les bras, et tuèrent les derniers fils et filles d'hérétiques encore en vies.
Avant de me rejoindre devant les portes battantes de cet endroit malfamé.

Nous ne pouvions entrer, faire cela, après tout, nous mettrait tous en périls. Il nous fallait rester dehors et agir ainsi.

Que toute personne "à la panse repue" en sorte. Ordre de Sa Majesté le Roi.

Mes hommes étaient prêts, une trentaine d'archers sur les toits, et les septante autres en formation de vougiers.
La résistance, si elle fut, ne serait qu'extrêmement déplacée.
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Aznan Lauréano



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Aznan Lauréano
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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptySam 13 Aoû 2011 - 15:41

L'étrange individu tira une chaise d'une table voisine, s'assoyant en croisant les bras sur le dossier de celle-ci. Sa voix semblait celle que l'on adresse à un ami, avec un ton arrogant. Peut-être voulait-il rejoindre ses ancêtres le plus tôt possible ? Savait-il au moins à qu'il s'adressait ? Courageux mais stupide, cet individu m'intriguait au plus haut point. Lui aussi dissimulait son visage aux yeux de tous, mais non sous une capuche comme nous autres, non, il préférait caché sa véritable identité à l'aide d'un masque aux motifs étranges. Ses yeux quant à eux, brillait d'une couleur rougeâtre bien étrange, était-il issu d'une famille de vampire tout comme moi ? Ou cachait-il un secret encore plus obscure ? Quoi qu'il en soit, mon maitre ne tarda pas à répondre rapidement à l'invité surprise.

- Ah ah ! Vous devez être "Le Chasseur", cet homme réputé dans tous Venill pour ces talents de pisteur et de camouflage ! Je suis heureux de vous compter parmi nous pour ce combat qui s'annonce épic, mais alors dite moi. Combattez vous pour nous ou avec nous ?

Mais un évènement soudain, ne pus permettre à l'homme de répondre à la question qui lui était posée.


Que toute personne "à la panse repue" en sorte. Ordre de Sa Majesté le Roi.

Je tournai ma tête rapidement et vis un chevalier sur le seuil de la porte, peut avait-il peur de rentrer plus en avant dans la taverne ? Si c'était le cas, il avait bien raison de nous craindre ainsi. Nombreux était ceux qui poussaient des grognements contre ce caniche du roi, plus d'un aurait bien voulue écraser la tête de cette immonde royaliste. Moi-même je commençais à ressentir une certaine envie de tuer, je commençai à me lever pour exécuter à mon regret l'ordre donnait par cet homme, soudain on me retenue le bras.

- Aznan, il n'est surement pas seul, ne laisse pas tes sentiments envahir ton être et perturber ton jugement.


Je lui répondis par un simple mouvement de tête et je me dirigeai à présent vers la sortie. Avant de sortir de la taverne, je fixai ce toutou une dernière fois et que ne fût pas ma surprise que ce chien était en réalité une femme ! On pouvait lire son visage un calme et une assurance rare, mais elle sentait également à des Kilomètres le sang et la mort. Pourtant, je ressentis au fond de moi que cette personne malgré sa carapace de monstre sanguinaire se cachait un être adorable et généreux. Quelle gâchis...

Une fois dehors, je me rendis compte que cette guerrière possédait un pouvoir certain, un nombre incroyable d'homme se tenait là, prêt à donner leurs vies pour leur maitresse charismatique. J'attendais alors dehors parmi les quarante autres clients de l'auberge, attendant la suite des évènements et je priais le dieu du solstice pour que l'étranger de tout à l'heure ne pose aucune résistance, la réussite de notre plan ne tenait plus qu'à lui...
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Asmael Flamma



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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyDim 14 Aoû 2011 - 3:52

« Eh bien, je… » Commença Le Chasseur.

Les hommes du Roi, ou plutôt la femme dans ce cas-ci, ordonna que l’on vide la taverne. Asmael n’avait pourtant pas quitté le groupe des yeux. L’un d’entre eux se leva, prêt à livrer bataille, mais l’orateur du groupe l’arrêta par le bras. Aznan l’appelait-il. Un jeune homme qui ressemblait fort à Asmael lorsqu’il prit le temps de le regarder : il avait du courage, comme tous les rebelles, de faire face aux armées du Roi, mais il avait la rage au cœur et avait ce regard qu’Asmael avait vu quelques fois. Le regard qu’il voyait lorsque lui-même regardait son reflet.

Quelques regards se tournaient vers l’homme en rouge, donc les intentions étaient inconnues du groupe. Tous se levèrent pour sortir dehors de l’auberge. Mais il avait déjà un plan en tête sachant ce que planifiaient des guerriers royaux comme ceux-ci. La masse des quarante personnes présentent dans l’établissement créa rapidement une opportunité : puisque seul la femme pouvait voir à l’intérieur, mis à part les regards qui traversaient les fenêtres, Asmael utilisa la masse de gens et la limite de vue de l’ennemie pour s’esquiver à la vue de tous, se dirigeant vers l’escalier qui accédait aux chambres et au toit. Toutes les pensées de valeurs ou d’honneur disparurent de la tête du jeune homme, se concentrant sur les résultats des actions commises et de leurs conséquences différentes. Il atteignit le second étage, regardant pour la porte dérobé au plafond qui le mènerait à l’extérieur. Une fois en vue, il grimpa l’échelle près de celle-ci et s’arrêta. Là, il était en situation critique et chaque action supplémentaire auraient un impact certain. La meilleur solution était d’identifié le danger à l’extérieur et d’attendre la suite des choses.

Son arbalète chargée et en main, il souleva la trappe menant au toit d’une légère ligne de vue. Personne ne se tenait sur le toit de l’auberge. Cependant, les toits avoisinants grouillaient d’homme armé, leurs regards fixant l’entré. Il rampa en dehors, se gardant de bouger le plus fluide possible, sans aucuns gestes brusques, pour ne pas attirer les regards. De là, il écouta les paroles qu’échangeaient le groupe de la taverne avec l’armée du Roi. Asmael savait que le groupe aurait un plan pour prendre le dessus sur les gardes, et il savait qu’il en ferait partit d’une manière ou d’une autre. Il n’avait qu’à attendre un signal particulier. Dans cette situation, il deviendra un pantin. Il deviendra l’arme dissimulée. Il serait surtout une cible parfaite pour les tireurs sur les toits…
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Ika Ano



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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyDim 14 Aoû 2011 - 18:45

Mon dieu. Ils sortaient. J'osais espérer qu'ils eurent des bourses bien remplies, car sinon ils signeraient là leur arrêt de mort aussi brutale que pathétique. Cela me confortait d'ailleurs dans l'idée que j'avais des rebelles et des civils en général ; ce sont des humoristes, sans le savoir. Ce qui ne les empêche pas d'être drôles.
Je me permis donc un sourire, ordonnant à un contingent d'hommes armés de vouges de fouiller le restant de l'auberge histoire de veiller que tous soient bien sortis. Ces hommes là avaient le sourire aux lèvres et faisaient déjà des prévisions hasardeuses sur qui tueraient le premier être trouvé à se cacher.
Car celui qui se serait caché aurait commis le crime équivalent au délit de fuite. Ce qui est généralement digne de la peine capitale, parcequ'il est convenu de fuir uniquement lorsque l'on se reproche des choses.. Et toutes personnes se reprochant des choses vis à vis de la couronne se verra séparé de sa tête. C'est ainsi.

Du moins, c'est ainsi en ma compagnie.

Pour ce qui faut des autres, je vint saisir un coffre en bois, et l'ouvrit face aux hommes que j'avais fait sortir de l'auberge, je passerai ensuite devant chacun d'entre eux en disant ;

Sept pièces d'or et dix pièces d'argent, ou une valeur équivalente.

C'était certes un impôt énorme, mais j'appréciais demander la part qui me reviendrait, ainsi qu'à mes hommes ; car ce que nous paye le roi est à peine suffisant que pour vivre dignement.
Je souriais devant chacun de ses visages et m'arrêta devant cet homme à l'air tendu. J'attendais patiemment qu'il débourse la somme ordonnée, ou de pouvoir proposer à mes gars de le saisir et de le mettre à mes genoux. Je m'imaginais déjà heureuse de pouvoir le décapiter dans la joie et la fierté absolue.

Un long silence souvent interrompus par les mouvements de mes hommes, de leurs cote de mailles et autres armes prit place, jusqu'à ce que des flèches s'en mêlent également ; mes archers avaient repéré que l'un de ceux qui se tenaient devant moi serrait un objet dans sa poche. Cela en plus de l'aspect plus ou moins dérangé par ma présence affiché sur son visage, il était sans doute certain qu'il comptait faire une bêtise.
D'ailleurs, je me devais de prévenir.

Mesdames et messieurs, quiconque bougera avant la fin de la saisie sera abattu de cette façon.

Je le prononçait presque avec engouement, mais je restais calme. Le plus calme possible. Mieux ne valait pas agacer les esprits avec une bonne humeur trop prononcée, et ce même si j'adorais menacer, et exécuter mes menaces. Le sang versé plus tôt dans la journée m'avait, de plus, quelque peu nourrie, histoire de ne pas faire de folies inutiles. J'étais donc à cet instant une fonctionnaire on ne peut plus respectueuse du code et des usages nécessaires à une bonne entente avec le peuple. Ce qui était chose rare.

J'étais sure et certaine que tout allait être calme aujourd'hui. Après tout, mes hommes commençaient à ressentir la fatigue et une journée banale ne pouvait certainement pas leur faire de mal. Sans doutes comprendraient-ils donc la raison de ma gentillesse envers ces chiens d'infidèles, païens et autres atrocités.

Je regardais toujours cet homme, et le silence devenant pesant, je me permis de le briser. Pour de vrai.

Comment t'appelles tu, toi qui n'ose bouger, que ce soit pour me tuer ou payer ton Roi ..?

Mes soldats ouvraient sans doutes une bouche qui s'allongeait sur le sol à l'écoute de mes mots. J'usais d'un ton que d'autres femmes proposeraient aux hommes qu'elles flagornent à foison. Ce qui n'était pas mon cas vis à vis de cet inconnu dont le regard ne m'annonçait rien de bien chatoyant.
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Aznan Lauréano



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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyLun 15 Aoû 2011 - 15:27

- Comment t'appelles tu, toi qui n'ose bouger, que ce soit pour me tuer ou payer ton Roi ..?

Suite à ces mots, je relevai légèrement la tête vers la femme qui semblait mener ces misérables, ne laissant paraitre du'un étrange sourire, un sourire parfaitement innocent. Plus je l'observai et plus je me demandai ce que pouvait faire une femme comme elle sur un champ de bataille, ce sentiment de bonté ne me quittait plus, j'étais persuadé que sous ses airs de guerrière démoniaque se cachait une jeune femme tendre et généreuse. Pourquoi avait-elle choisie d'épouser la cause d'un tyran au lieu de servie la cause de la rébellion ? Soudain, je me rappelais cet homme, celui avec le masque. Je pouvais sentir sa présence sur le toit,Comment avait-il pu se dérober aux yeux de ses chiens de ces chien du royaumes... Il ne me laissait désormais plus aucun doute : il était doué dans son domaine, faire sa connaissance m'en apprendrai surement plus.

Mon maitre s'avançai d'un pas sûr vers la représentant du Roi.


- Toi ! Qui ose nous voler nos richesses et nous prendre nos vies, n'a tu pas honte de représenter un être aussi infâme que ton maitre ? Je préfère mourir debout que vivre à genoux devant ce faux Roi ! Ni toi ! Ni un autre ne pourra m'obliger à le respecté !!! Aux armes mes frères !

D'une seule voix, les hommes poussèrent un hurlement a la fois de rage et de convictions, je levai ma main au ciel puis la ferma d'un geste brusque. Le signale venait d'être lançait... Une quinzaines d'agents de l'ombres avait été posté discrètement près des toits, la mort accompagna les bras de ses hommes ayant tous perdu, la plupart des gardes pris au dépourvu, perdirent bêtement la vie, les autres sortirent leur arme pour défendre leurs vies et ce qui leur servait de capitaine.

Devant la taverne, la quarantaine d'homme restant se ruèrent avec hargne sur l’armée ennemie. Le piège venait de se renfermer sur eux, tous les clients de l'auberge étaient à présent nos allies, ennemis du roi maudit qu’était kaull hendenmark. Bientôt garde et civils viendront rejoindre la bataille...Un combat digne des plus grands venait de débuter, et la conclusion en était plus qu'incertaine.

Avec hargne, je dégainait ma lame je me lançait au coeur de la bataille, prêt à donner ma vie pour notre juste cause. Ce combat allait rentré dans l'histoire et bientôt les bardes des alentours chanteront les louanges de notre victoires ou le requiem de notre défaite...


Dernière édition par Aznan Lauréano le Jeu 18 Aoû 2011 - 4:09, édité 2 fois
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Asmael Flamma



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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyMar 16 Aoû 2011 - 6:56

« Mesdames et messieurs, quiconque bougera avant la fin de la saisie sera abattu de cette façon. » prononça la chef du déploiement. Les pas de quelques-uns de ses hommes fouillaient l’auberge. Bientôt, ils monteraient au deuxième étage, puis au toit. Asmael réfléchit, étant pris au piège sur le toit entre ceux-ci et les archers avoisinant. Il réfléchit à un plan, mais rien ne lui suggérait quoi que ce soit. Il devrait improviser ou y laisser sa peau, et la seconde option était impensable tant qu’une seule Cape Blanche foulerait les terres de Feleth vivant. Alors il vivrait pour honorer le vœu d’un démon. Il pensa pour lui-même : Je ne tomberais pas maintenant, je garderais foi, comme lorsque j’ai fait face à Kashak le noir. Et suite à cette pensée, il rampa vers la trappe de l’accès au toit et s’y plaça derrière, prêt à accueillir les guerriers du Roi.

« Aux armes mes frères! » cria l’orateur des rebelles. Et le contact que produisit le début des hostilités faisait croire qu’il y avait bien plus que la petite dizaine de rebelles qu’au début : Asmael commença à croire que tous les clients de la taverne qui étaient présents faisaient partis du coup. Et un plan émergea de la tête du chasseur de primes, plaçant son oreille sur le bois de la trappe, il entendait trois homme arrivés en bas de l’échelle. Ils commençaient à monter celle-ci et Asmael se leva d’un bond, se révélant aux archers qui étaient déjà en train de tirer des salves de flèches dans la bataille. L’homme en rouge tira un carreau d’un toit à l’autre et atteignit un homme à la poitrine, qui tomba dans la foule en contrebas. Quelques-uns remarquèrent l’attaque et visèrent Asmael, qui se laissa tomber alors qu’ils décochèrent leurs flèches. Au même moment, la trappe s’ouvra violement avec d’un garde à la recherche d’un fugitif, protégeant le jeune homme derrière celle-ci. Le garde ne fit pas la volé de flèches arrivée, et mourut sur le coup. Quelques-unes traversèrent de moitié la porte, hors de portée de leur cible réelle. Celui-ci riait de la situation, à l’abri des tirs, et rechargea son arbalète. Il dégaina son épée d’une main, tenant l’arbalète de l’autre. Il contourna la trappe et pointa son arbalète vers le bas de l’échelle, où se tenait un homme près à grimper. Celui-ci fut surpris par le carreau, qui se planta entre ses deux yeux grands ouverts. Le dernier des trois était secoué par la mort rapide de ses collègues. De la trappe tomba l’homme en rouge qui se précipita en criant vers celui-ci. L’épée transperça sa gorge comme elle l’avait fait avec un autre idiot il y a longtemps. Mais cet idiot semblait diffèrent aux yeux d’Asmael : c’était un jeune homme, tout comme lui. Il avançait une main désespérée vers son assassin alors que le sang longeait la lame, lui donnant une clair couleur rouge qui allait bien avec ces yeux étranges. La main retomba inerte et le corps glissa de la lame jusqu’au sol. Mais cette pitié avait quitté l’homme. Il ne restait aucune compassion pour l’ennemie, car il avait choisi son camp depuis bien longtemps.

Maintenant de retour à l’intérieur de l’auberge, Asmael ouvrit une chambre qui faisait face à la bataille qui faisait rage en bas : il y avait un nombre bien plus important de rebelles qu’il s’était imaginé, ce qui était une excellente nouvelle. Il leva les yeux vers les toits, où la plus grande menace se faisait apercevoir : les archers. D’autre garde pourrait venir, alors le chasseur de primes se releva et ferma la porte, avant de la bloquer avec le plus de meubles possible. De retour près de la fenêtre, il tourna la manivelle pour tendre de nouveau son arbalète et y déposa une nouvelle fois un carreau. De la crosse, il fracassa la fenêtre et tira le premier archer en vue. Un autre tireur tomba, mais un important nombre restait toujours, et la plupart revoyant l’homme en rouge changèrent de cible, préférant le tireur embusqué. Asmael se détourna de la fenêtre, qui était présentement traverser par quelques flèches. Mais les tirs stoppèrent, et lorsque le jeune homme regarda de nouveau, un sourire se dessina sur ses lèvres, alors que des assassins engagèrent le combat sur les toits avec les archers. « Maintenant, il faut juste espérer prendre le dessus… »

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Ika Ano



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MessageSujet: Re: Aux armes mes frères !   Aux armes mes frères ! EmptyDim 21 Aoû 2011 - 15:49

Décidément, je ne pourrais convenablement pas comprendre ces gens. Ils étaient d'un nombre inférieur, et leurs armures étaient bien plus légères que les nôtres. Je regardais le sang gicler aux pieds de mon destrier tandis que celui-ci en écrasait une poigne dans sa puissante charge, et mes coups d'épées, bien que légèrement hasardeux, frappaient fort et bien les divers ennemis qui ne savaient se baisser à temps. Quel sourire à mes lèvres apparut sans doute lorsque je vis ma lame, longue et large, couvert de l'hémoglobine de ces infidèles ! C'était une belle journée qui s'annonçait.
Je vis alors l'un de mes archers tomber au sol, ce qui attira mon attention. J'en vis d'autres tomber sous les munitions d'adversaires cachés tels des lâches à la solde de ces hommes aussi idiots que pathétiques. Et là, celui qui avait parlé cria. Me ramenant au combat du quel je m'étais détachée un instant. Il marchait sur les cadavres de ses frères, tandis que ses rangs tombaient comme des parts de quiches. Explosant et suintant à loisir, dans une explosion rouge et macabre que l'on retrouve dans toutes batailles de telle importance.
CEt homme, couvert du sang de ses comparses, me saisit sans autres formes de procès, pour me faire tomber au sol. L'idiot. Il ne se doutait sans doute pas qu'une femme puisse être aussi douée au milieu de telles rixes que je ne l'était. Du coup, il ne pouvait prévoir qu'en brandissant son arme, il me laissait une ouverture suffisante que pour me permettre d'enfoncer ma fidèle épée entre ses jambes, la poussant avec force en hauteur pour qu'il n'ai jamais de descendance digne de ce nom.

Alors qu'il se tordait de douleur, tombant à genoux, je me relevais, le saisissant par les cheveux. J'avais cet étrange sentiment de tranquillité, alors que le bruit causé par les divers chocs entres lames et boucliers assourdissaient la plus part des personnages présents. Mais je ne considérais pas ça anormal. Après tout, lorsque l'on commence quelque chose de plaisant, vous avouerez que l'on est rapidement capable de faire le vide autour de soi. C'était mon cas. Je faisais quelque chose d'on ne peut plus plaisant.

Je décapitait cet homme pour jeter sa tête que je tenais par les cheveux, sur ses propres alliés, en criant, bien entendu.

Eh bien j'espère que vous finirez tous ainsi, bande de bouffeur de Limaces !

Oui, l'insulte était originale, et bien qu'elle ne soit pas spécialement épique, je pensais que faire dans un originalité, soit-elle stupide, permettrais à tous de ce souvenir de ce jour où leurs frères tombaient.

Là le calme commençait à se faire, mes hommes étant en surnombre, ils ne mirent pas longtemps à calmer les rebelles, qui pour la plus part ne bougeaient plus une fois que mes sbires les avaient plaqués contre un mur ou tenu avec poigne, par pitié, ou plutôt, générosité.
Et s'il y en avait encore prêt à se battre, je ne les voyais pas.
J'étais donc heureuse reprenant mon souffle tandis que je rongeais l'ongle bien trop long laissé sur un doigt. J'aimais ronger des ongles, cela me permettait d'occuper mes dents, surtout lorsqu'ils étaient aussi solides que celui que j'avais trouvé. Et aussi bien décoré du goût du sang d'une bataille gagnée d'avance.
J'avançais devant les trois prisonniers qui étaient fait, ordonnant à un contingent de réunir les cadavres pour les brûler.
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