Voila pour toi gamin. [RP Clos)

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La sueur coulait sur les corps des deux combattants engagé dans un combat violent, mais étrangement teinté d'un grâce martial dangereuse qui avait attiré la foule qui cernait présentement les lieux. Les deux hommes qui se trouvaient face-à-face au centre d'un cercle ,entouré d'une mince barrière de bois, s'évaluaient d'un regard méfiant, espérant pouvoir deviné d’où viendrai la prochaine attaque. Torse nu, ils s'affrontaient dans un duel aux poings, entouré d'une foule de badaud qui grognaient des encouragements pour celui des deux sur lequel ils avaient parié. Cet effarouchement de coups et de cris pouvait être facilement traduit par un seul mot, la boxe. Dans un entrepôt des docks, une petite arène de bois et quelques estrades avaient été érigé afin d'organiser quelques combats à mains nues clandestin, histoire de se divertir et surtout de se remplir les poches. Dans ce lieux puant la pisse et la boisson, les spectateurs, majoritairement composé de marin, se regroupaient tout les dimanche soir pour assister à un ou deux combats et pour parier diverses sommes en argent et en or. Ce soir, il y avait beaucoup de monde car il s'agissait d'une occasion spéciale. Le champion en titre, un grand gaillard mesurant plus de six pieds et ancien garde, allait lutter contre le célèbre hors-la-loi Kirik Silvershield.

Les paris était à cinq contre un pour le grand champion car malgré sa grande expérience,le chasseur de prime ne semblait pas de taille à s'affronter à ce colosse. Rare était ceux à avoir vu le jeune artiste combattre parmi les membres de la foule et la plupart des gens était persuader qu'il était sans doute un épéiste émérite, mais qu'il ne ferait pas le poids dans un duel de force. La différence de tailles et de masses était en effet énorme et le maître du vol à la tire et du déguisement ressemblait vraiment à un enfant si on le comparait à celui qu'il combattait. Pourtant, le combat était déjà bien avancé et Kirik n'avait reçu aucun coup encore. Le guerrier massif quant à lui, malgré son talent et sa grande expérience, n'arrivait pas à équivaloir la fluidité du jeunot et s’essoufflait. Il n'avait subit que des coups mineur mais il perdait son énergie plus rapidement que le vif assassin. Il lui fallait frapper fort, un coup serait suffisant, mais il fallait que ce coup porte. Kirik fut le premier à bouger. Il comprenait que sans ses coups de pieds, ses facultés d'attaques étaient grandement diminuer, mais il n'était pas sans recours non plus. Il évita le premier coup, se pencha pour éviter un crochet de la gauche et retint d'une main le coup de poing remontant avant que son ennemi n'ai le temps d'enchaîner le mouvement. Il frappa ensuite un coup au foie et deux autres au niveau du cœur. Le guerrier perdit un moment à reprendre ses facultés qui semblait s'être évanoui sous les frappes du tueur. Ce fut un moment de trop. Un direct à la tempe l'envoya au tapis. Une fois les dix secondes passé, le nouveau champion fut déclarer. L'autre se releva
un instant seulement après qu'il ne fut trop tard.

Kirik avait du fuir rapidement l'endroit après avoir empocher l'argent de la victoire ainsi que le montant qu'il avait misé sur lui même car il y avait toujours un ou deux idiots qui avaient la brillante idée de tenté de le capturer histoire de touché la récompense promise pour sa tête. La majorité des gens le laissaient tranquille ou même l'aidait, mais pas tous. Il atteignit rapidement le petite monastère ou il avait élu domicile. Cette ancienne église d'un vieux culte presque oublié transformé en orphelinat lui servait de cachette lors de ses passages à Venill. Qui aurait pensé qu'un homme recherché à travers le pays pour meurtre se trouverai dans un orphelinat tranquille ou se trouvait des moines au dessus de tout soupçons et apparemment encore fidèle au royaume. Il se détendit finalement en passant l'entrer du lieux saint. Des gamins enthousiasmé fondirent sur lui de tout les coté dès son premier pas dans l'enceinte.

-C'est Kirik! Il est la! Venez! Vite! Il est de retour! Comment à été ton dernier voyage? Tu as vu des monstres effrayant? et des indigènea? Tu nous rapportes quelque chose? Tu vas rester longtemps dis-nous?...

Au milieux des enfants, la cible de leurs attention leva les bras en riant devant leurs mines enjouées.

-Ahahah! Du calme, c'est toujours la même chose, bien sur que je vous ai ramené un souvenir et vous aller l'adorer j'en suis certain et vous n'êtes toujours pas encore capable d'attendre. Je vous raconterai tout après souper. Il s'agit d'une contré lointaine aux coutumes étranges avec des créatures des plus troublante. Quant au cadeau, je vous le montrerai ce soir et pas avant. Et, si l'un d'entre vous devine ce que j'ai pour vous, je l'amène lors de mon prochain voyage.

Sur cette promesse, les orphelins se mirent à lancer toute sorte d'hypothèse tandis que quelques frère les regardaient le sourire aux lèvres. Ils connaissaient ce bohème depuis longtemps et savait qu'il n'était pas dangereux pour ces petit anges. L'aventurier profitait de la présence des marmots autour de lui pour faire le plein de joie de vivre, car il savait qu'il en aurait besoin plus tard.C'était bien de se sentir chez soi.

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Laissant ses jeunes amis à leurs interrogations, Kirik se défila pour se rendre jusqu'au bureau du père supérieur du monastère, le père Thomas. Lui et le prêtre c'étaient rencontré dans le pays natal du troubadour, alors que l'homme d'église se mourait de soif dans le désert mortel des contrés du sud. Le voleur l'avait alors sauvé en lui offrant de l'eau et en le reconduisant en son propre pays. Bon amis depuis, père Thomas cachait régulièrement son étrange bienfaiteur car il avait pu voir de lui même la vie qu'avait mené ce chasseur de prime devenue recherché parce qu'il avait voulu aider le peuple. Une bonne entende demeurait, mais parfois, le doute subsistait quant-a les moyens que prenait le tueur pour gagné de l'argent. Ils se sourirent et se serrèrent amicalement la main.

-Dit-moi, d’où peux-tu bien arriver cette fois. Les glaciers du grand nord?

- Ah la! tu es aussi curieux que les enfants pas vrai Tommy. Si tu pense être capable de me tirer les vers du nez avant que je ne me sois emplie la panse . La seule chose que je puisse te dire, c'est qu'il y a un boxeur qui aura un sacré mal de tête demain et que j'ai vu un dragon, pour le reste tu devras attendre comme les autres.

Une sacoche pleine de pièce d'or et d'argent fit son atterrissage sur le meuble qui les séparait en même temps que la porte claquait sous le départ du fugitif. Kirik fit un tour jusqu’au village du coin, ou il aperçu une affiche fort intéressante qu'il se promit de retourner consulter plus tard. Il y travailla comme ménestrel quelques temps puis retourna à l'heure du repas. Il raconta son dernier voyage dans les lointain territoires d'orient ou tous avait la peau jaune et ou, au moment de son passage, une très grande fête avait été célébré pendant laquelle on avait fait jouer des instruments exotiques, sauter des pétards et ou des gens s'étaient placé sous un immense déguisement de long dragon et avaient défilé dans les rues. Tous était accrocher à ses lèvres, même le père supérieur qui ne pu s'empêcher de sourire au passage à propos du dragon.

-Et la surprise que je vous ai ramener à fait un malheur la-bas. Allons dehors vous allez voir, mais je vous conseille de vous bouchez les oreilles.

Une fois à l’extérieur, Kirik alluma les mèches des feux d'artifices qu'il avait voyager à travers les pays pour pouvoir montrer au jeune la magie de la chose. Des exclamations de joie et de surprise furent lancées par les orphelins comme par les moines qui n'avaient eux aussi pour la plupart jamais vu de tel. Après avoir mit feu au dernier projectile, Kirik s'esquiva rapidement avant que l'on ne remarque sa présence ici et aussi pour ne pas avoir à expliqué ou il allait. Il retourna d'un pas décidé à la taverne aux gobelins.

(Je ne suis plus là.)