Gualleques est une jeune femme maniant sans égale l'arc et la dague qu'elle porte sans interruption contre elle. Sa dague dans sa botte gauche (car cette demoiselle est gauchère) et l'arc dans son dos, qu'elle abandonnerait tout de même plus facilement que sa lame. Commençons par détailler le bas, Guall' est perfectionniste, ses bottes de cuir noires sont mates, propre et souples, pour ne faire aucun bruits durant un quelconque affrontement, elles lui montent jusqu'en haut du mollet. Ses jambes son couvertes par un pantalon de daim noir moulant lui aussi pour se fondre facilement dans divers endroits (peu être pas au Paradis). Sous celui-ci ni sous-vêtements si armes. Puis inspectons la partie supérieure : Elle possède un simple sweat sombre sous lequel se trouve de quoi maintenir sa poitrine élégante, au milieu de celui-ci une lame fine et blanche. Dans ses cheveux quelques pinces pour les maintenir en place. Par temps chaud elle n'est certes pas habillée d'une telle façon mais d'une paire de bottine noire, d'un short court d'une matière quelconque, d'une chemise de coton de préférence et ses cheveux son automatiquement remontés au dessus de sa nuque.

Une vision de jour parfaite, tel l'aigle, qui lui permet de visé à l'arc sans peine, rarement loupe t'elle sa proie. Des muscles souples et puissant son son avantage au combat rapproché, lui permettant de manier les armes légères tel que la dague ou une épée fine.

Sa vision nocturne lui permet de chasser même la nuit, pour ne jamais avoir à s'arrêter lorsque le soleil nous abandonne. Avec ceci elle peu refaire ses force en moins de temps que les autres, pas besoin de dormir, juste de ralentir l'allure.

Gualleques à une musculature à toute épreuve, féminine néanmoins elle sais se battre et ses expérience son toutes sur son corps. Durant des heures elle s'entraînait étant jeune, rapidement elle à développer une musculature et une ossature de qualité. Ceci lui permis de quitter rapidement la "vie de famille" et de trouver la vie "active". Combattre étant son quotidien, sur sa tempe s'étale une cicatrice invisible, caché par l'une ou l'autre mèche de cheveux, une autre (cicatrice) sur la rangée de cote droite, un flan trop exposé durant une mise au point musclée. Puis sur l'arrière de sa cuisse gauche, diverses sur ses bras et les doigts... Tout cela vous sera expliquer dans l'histoire.
Gualleques est une demoiselle très bien dans sa peau, trop bien. Elle sais qu'elle est belle (hum hum) sans complexes. Commençons l'examen. Elle a pour charmes ses grands yeux ou pétillent des milliers de paillettes mordorées et des pupilles aussi profondes qu'un gouffre ou personne en s'est encore penché. Son ventre plat surplombe une paire de longues et fines gambette bronzées, puis au dessus il y a ses "atouts féminins " disons acceptables. Sa peau bronzée témoigne d'un certain temps passé à l'extérieur, jour de soleil comme de pluie, un cuir doux mais épais s'était peu à peu installer à la place de sa peau douce enfantine.Ses doigts, perchés sur des mains fines sont fins et agiles, pour lui permettre de manier dans n'importe quel sens, a n'importe quel moment, par n'importe quel temps la moindre arme légère.

Si elle n'était pas humaine ce serait un lynx, agile rapide et précis, sans faille et tellement mignon ! Les décisions sont prises quelques secondes après le début de la situation. Il ne lui faut pas des heures pour réfléchir, plutôt impulsive la demoiselle ! Le monde lui apparaît sous une vision très personnelle, tout est clair et ordonné dans sa tête, ses choix son fait et sa détermination de fer. Il faut avouer que sa vision peu s'apparenter à celle des hommes, il n'y a qu'un seul chemin : le sien, celui de son bénéfice. Guall' ne s'est encore jamais arrêter pour une quelconque personne (amourette, amis, problème) et ce n'est pas dans la semaine que cela va commencer. Têtu comme une mule et sur d'elle, jamais elle n'abandonne son opinion, même quand elle a tort elle à raison ! Il vaut mieux éviter de la contrarier. Mais sous ses airs de "gros dur", il y a un coeur tendre qui manque justement d'amour. Le prince charmant n'est pas celui qu'elle croit, un conseil à vous les hommes, il faut la prendre de face. Par un seul chemin et sans détoure, avec franchise et sans chichis.

Jeune demoiselle est née un jour d'été. Plutôt vers fin juillet. De son teint bronzé on devine des parents nomades, peu être étrangers. On ne sais pas trop, personne ne sais vraiment. Car un matin, le 3Août précisément une maman qui allait chercher de l'eau au puits entendu des cris d'enfant. Mais revenons en arrière, de quelques années.

Un homme haut et droit, bronzé, plutôt bien bâtis prenait dans ses bras une demoiselle dont il était de quelques année son aîné, c'était fortement visible. Celle-ci souriant, aux ange, heureuse de l'homme qu'elle allait bientôt épousée. Le dit Monsieur l'avait séduite lors du bal d'été, il y a quelques mois, l'hiver serait bientôt là mais les températures étaient encore douces. Ils avaient prévus de se marier au printemps, quand les oiseau reviendrait, les températures redeviendraient douce et leur amour fleurirait. Mais rien ne serai comme il l'avaient prévus. Ils ne seraient pas heureux. Ce moment n'était que l'instant avant le malheur, à croire qu'au plus leur amour grandissait, au plus le malheur atour d'eux de faisait important. Une pluie sans nom tomba quand le flash retenti, des trombes d'eau interminables. Les amoureux se réfugièrent dans une grange, loin de tout et le photographe, qui était lui en voiture, s'empressa de rentrer chez lui. L'homme et la femme firent l'amour cette nuit dans ladite grange, passionnément. Et au matin, le fermier les délogeât, ils rentrèrent chez eux. a peine avait'ils poussés la porte qu'un odeur pestilentielle leur revint. une odeur de mort, de chair crevée et pourrissante.Pourtant ils ne s'était absentés que deux jours, deux jour durant lesquels il avait fait particulièrement chaud pour des jours dl'automne, une nuit particulièrement humide. Contre le carreau s'étalait une gerbe de sang sec, noir. Il avait légèrement coulé, dans un même mouvement leurs yeux ébahis se fixèrent sur le fauteuil à l'origine brun, devenu noir tellement le sang s'était imbibé dans le tissu. Devant la cheminée traînant ça et là des morceau de chair, et finalement un plus gros recouvert d'un tissu ou l'on pouvait encore distinguer des petites fleurettes bleues.C'était la mère de la futur mariée. Mais ou était donc le papa ? Jamais on ne le sut. Disparut, évanoui dans la nature, comme si c'était lui le meurtrier. Jeune demoiselle pris refuge avec le damoiseaux dans sa famille. Au bout de trois mois elle n'avait pas encore eu ses règle,s elle en convint qu'elle était enceinte. Mais le père n'était pas d'accord, ce n'était pas le moment, pas pendant que sa propre mère mourrait dans d'atroce souffrance.Son corps s'était peu à peu recouvert de pourriture, les chaires s'était ramollies, puis étaient tombées. Une odeur sans égale avait envahie la maison et il fallait sans cesse que la futur maman aère pour ne pas vomir. Excéder par les "caprices" de sa femme le nouvel orphelin un soir la battu, elle en perdu son enfant. Et le quitta le lendemain.

Que vient faire ce bout d'histoire ici ? allez vous me demander. Et bien patience t longueur de temps font mieux que force ni que rage. Alors cette dame quitta son chemin habituel de terre battu rouge pour s'enfoncer dans quelques hautes herbes. Subitement surgit devant ses pieds, presque dans ses jupes un chien galeux. D'un geste de chaussure elle l'envoya embêter le monde ailleurs. Mais elle se doutait que lendemain il serait là. Les enfant parlaient souvent de lui, ce fameux "chien" des herbes. Il Paraît qu'il était gentil mais pour rien au monde elle n'aurait touché une tel bête. Elle approchait sensiblement plus des cris de bébé. N'y tenant plus elle se mis à courir. Aller, encore un petit tour dans le passé.

Un matin trop frais pour la saison d'été, une demoiselle cachée sous un capuchon les mains sur un ventre rond, grimaçant avançait péniblement le long d'un chemin tortueux.Quelques pierres ça et là venaient perturbés sa marche déjà difficile, déstabilisant son équilibre précaire, déformant ses pieds. Elle avait mal, mais baissait le tête pour que personne ne puisse la voire, voir les larmes coulées sur son visage pâle comme la mort. Finalement elle tomba, elle n'en pouvait plus et se remémora les dernier mois. A peine quittait'elle un idiot qu'un autre surgissait au coin d'une rue sombre, pour littéralement la baiser contre un mur. Et elle n'avait rien dit, pas bougé d'un pouce tellement elle se détestait, tellement le monde la dégoûtait, tellement les hommes pouvaient être des bêtes. Puis sur son chemin, au fur et à mesure qu'elle remontait vers le Sud ..Ou était-ce ne Nord, pour retrouver sa famille quelques peu dispatcher sur le continent, les cadavres s'enchaînaient. Au milieu de la route, ou dés qu'elle la quittait pour un logement durant la nuit. Elle pouvait bien dormi ou elle voulait,il n'y avait que des morts autour d'elle. coïncidences ou malédiction ? Elle ne voyait plus la vie ou celle-ci jugeait que la futur maman n'en était pas digne. Elle n'était plus amoureuse mais la vie continuait de se battre en elle et pour rien au monde elle ne l'aurait détruite. Dans les herbes elle se traîna jusqu'à lauré d'une foret, elle était toutes plus haute qu'elle, recouvert de rosée, ce serait bientôt le matin. La chaleur allait prendre place et ... Elle n'eu plus le temps de penser à quoi que ce soit une douleur indescriptible surgi en elle et l'assomma.

La fermière haletante se pencha au dessus du bébé à la peau bronzé, l'air était lourd, la chaleur allait être insupportable aujourd'hui. Non loin de l'enfant il y avait un amas de ... Chairs ! La bonne femme pris le bébé et déguerpis.

Guall" grandit dans un village, dés toute petite on ne lui cacha pas qu'elle n'étais pas l'enfant "biologique" de Mme Hells. Mais elle accepta, une fois ne age de choisir son nom de porter le sien. C'était un signe. Mais avant de choisir quoi que ce soit elle grandit tout de même et les étapes ne sont pas insignifiantes. Gualleques était plutôt du genre cascadeuse, rien ne lui faisait peu et ça ne s'arrangea pas en grandissant. Donc, il n'est pas difficile de croire qu'elle jouait avec les garçons. Mais ce n'en était pas la suiveuse, vraiment la meneuse, et d'avantage encore durant l'adolescence ou elle s'exprima plus encore ! Mais bon, rien n'était parfait et le jeune fille rebelle l'était. Elle n'allais pas à l'école, préférant l'école buissonnière, de beau temps comme de pluie. Quand elle sut lire, écrire et compter correctement, soit vers 9ans, on décida de l'envoyer travailler dans une écurie, celle du village, là ou les paysans entreposaient leur chevaux de labour. Ce fut les années les plus belles de sa vie, elle gambada, apprit à monter à cheval, sautait de la plus haute bottes de pailles, mais c'est aussi à cette époque que les plus grand garçons du village l'abordèrent. Il fallait avouer que ce n'était pas commun de voir une telle fille travailler avec les hommes. Vers ses 12ans elle appris à courir durant des heures avec eux, tout en travaillant ses muscles à l'écurie et dans les fermes ou l'on voulait bien d'elle. Puis en grandissant on lui apprit à chasser avec un arc et enfin à tuer l'animal correctement avec un poignard ou une dague. Mais tout ces moments d'apprentissage ou Guall' se tenait enfin calme étaient ponctués de jeux de combats. Etant la plus petite elle provoquait sans cesses les garçons plus vieux qu'elle, au début elle ne pris que des raclés mais ... A 14ans elle commença à devenir un adversaire long à mettre au tapis. La dague était son arme favorite et ses muscles ses alliés. A 17Ans, enrichie de tout ce qu'elle connaissait elle quitta son village.Elle ne savait pas vraiment où aller mais son chemin était tout tracer. Une fois un homme l'aborda, bonne tête, plutôt carré. Ce fut le début de son aventure. Celui-ci cherchait une "femme d'affaire" pour régler justement ses quelques petits "problèmes". Le premier petit boulot on le fait toujours bien. Dans leur sommeil elle tua un constable et un notaire, dans leur lit un arnaqueur et un homme dont elle ne savait rien et enfin dans la rue, par un simple croisement un paysan trop endetter, un jeune homme en sachant trop, une femme vendant trop cher ses charmes. Et ce fut la fin du premier contrat, sans jamais qu'elle en se fasse attraper. Guall' repris son chemin.