''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja]

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Marcius L.Danuvius



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Marcius L.Danuvius
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Race : Humain
Classe : Hoplite
Métier : Mercenaire
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Groupe : Solitaires

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Fiche de Personnage : Ma fiche


Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] _
MessageSujet: Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja]   Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] EmptyMar 13 Nov 2012 - 23:15

- Mais voyons Romulus, c'est nous !
- Je veux pas le savoir ! On m'a dit pas de papier, pas d'entrée !
- Mais t'es même pas un garde, gros lard !
- Et alors ? C'est pas parce que je ne suis pas un vrai garde que je ne dois pas faire mon travail correctement !
- Mais il est con ou il le fait exprès ?! T'as tout oublié ou quoi ?!
- Oui j'ai tout oublié, et alors ?!
- Bon ... Je vais te rafraîchir la mémoire.

Il y avait quelque temps de cela, Johann avait convoqué ses deux favoris, comme il le disait. En fait, ce n'était pas qu'ils lui plaisaient bien qu'ils étaient de bons pigeons, faciles à arnaquer et surtout, facile à persuader. Ce jour-là, il n'avait pas de mission en particulier à leur proposer mais plutôt un service à leur demander. Un service qui, à ce qu'il leur avait assuré, serait gracieusement récompensé. Sans trop aller dans les détails, il avait reçu une missive de la part d'une haute personnalité de la cours, personnalité qu'il connaissait bien et qui couvrait ses arrières de chercheur de tête contre les corporations concurrentes. Seulement, cette femme qui avait la réputation d'idolâtrer le roi, appartenait en réalité à la rébellion.

Même si Johann pouvait la compter parmi ses amies, il n'avait jamais vu son visage pour autant et ne la connaissait que sous un surnom bien particuliers. Elle tenait absolument à conserver son anonymat avec les externes, comme il le disait si bien. Revenue d'un long voyage dans les terres du sud, sous prétexte de politique avec les clans locaux, elle avait un important message à délivrer aux rebelles. Le seul problème, c'est qu'elle se savait sous surveillance discrète et elle ne pouvait se permettre, après quelques erreurs réparées de justesse, de prendre le risque de le transmettre elle-même.

Elle faisait actuellement route vers Madorass où elle avait été conviée à un luxueux bal masqué. C'était l'endroit qu'elle avait choisi pour le faire passer. Beaucoup de monde et tant de visages masqués, qui pourrait la distinguer ? Cette anonymat qu'elle conservait jalousement serait sa meilleure arme. Le seul problème, c'est qu'elle avait besoin de quelques complices, quelques têtes très méconnues et qui n'éveilleraient en rien les soupçons. Elle avait toute confiance en Johann, chose assez étrange, et forcément, ce fut lui qu'elle choisit pour l'aider, s'assurant au passage de son approbation par la promesse d'une correcte récompense.

Pour ce dernier qui voyait beaucoup d'Or se profiler devant ses yeux, le plan était simple. Romulus et Marcius avaient un long passé d'esclave et bien peu de personnes savaient qu'ils étaient affranchis, les conditions dans lesquelles s'était déroulé leur libération n'étant pas très favorable à la bonne réputation de la famille qui les possédait. De plus, ils connaissaient plutôt bien le quartier ainsi que la mentalité des gens qui y vivaient. Se confondre dans la masse ne serait qu'un jeu d'enfant pour eux. Romulus avait quelques connaissances dans le milieu du gardiennage et il pourrait facilement prendre la place d'un garde de l'entrée du personnel et il pourrait ainsi faire entrer ses deux camarades. Quant à Marcius, ses bonnes manières et sa discrétion lui permettrait de se confondre parmi le personnel de la salle.

La dame blanche, comme elle se faisait appeler, serait reconnaissable pour Johann à sa démarche. C'était cela le code. Lorsque ce dernier enlèverait ses habits de serveur pour dévoiler sa tenue de soirée et donc, se confondre dans la masse d'invitée, elle lui remettrait le message par un tour de passe-passe à l'occasion d'un baise-main puis, ce dernier devrait l'apporter au serveur, soit à Marcius, à l'occasion d'une quelconque commande. Enfin, l'hoplite devrait s'éclipser discrètement par la porte du personnel et aller dissimuler la missive dans un livre d'une certaine bibliothèque. Les rebelles feraient le reste. Un plan plutôt simple et efficace quand on savait que tous les acteurs étaient insoupçonnables. Si la combine réussissait, ils pourraient se partager une grosse somme d'argent. Bien évidemment, il n'était pas question pour les trois hommes de venir dans une tenue inadéquate. Les armes et les armures devraient rester au camps. Pour le reste, la dame blanche s'en était occupée.

Ce soir donc, ils étaient à Madorass et même si la sécurité avait été grandement renforcés, ils étaient parvenus à s'infiltrer dans les quartiers riches au moyens des égouts. Ressortant derrière les postes de garde, Johann et Marcius étaient partis rejoindre Romulus qui était déjà à son poste, puisque embaucher en tant que garde grâce à ses contacts.

- C'est bon, tu comprends mieux maintenant ?
- Ah ... Ah bah oui ! Mais il fallait me le dire que je devais vous laisser passer aussi !
- Parce que tu ne le savais pas ?
- Non ! Je pensais que je devais réellement monter la garde.
- Ah mais tu dois réellement la monter, sauf que tu nous laisses passer.
- Ouais bon ça va ! Allez-y !

Dit-il en leur ouvrant la porte. L'entrée pour le personnel était bien indigne de la richesse du bal mais, c'était pour le grand bonheur des deux infiltrés. Marcius ne tarda pas à se fondre dans la masse. Le personnel était très débordé et, habillé comme tel, personne ne fit attention à lui. Les ordres et les commandes fusaient déjà de toute part. Une telle activité entretenait fortement son camouflage. Johann, quant à lui, profita d'une de ses instructions pour rejoindre discrètement les étages supérieurs et se débarrasser de sa fausse tenue. En dessus de ses habits de serveur, il y avait une tenue riche et élégante, parfaitement adaptée à la soirée. Quant au masque, il était tout simplement caché dans son froc ... Il ne fallait pas éveiller les soupçons. Redescendant dans la salle aussi vite qu'il en était parti, il se mélangea à la population et se mit en quête de sa proie, si l'on pouvait dire ainsi. Il la chercha d'ailleurs longtemps et avec beaucoup de discrétion, évitant tant bien que mal les questions des convives.

Elle n'était pas là, à sa grande surprise. Enfin, elle était en retard nous dirons. Depuis la colossale mezzanine, il guettait l'arrivée des retardataires et parmi eux, une femme habillée de blanc finit par adopter une démarche spécifique. Il reconnu le code. Laissant s'écouler une petite demi-heure durant laquelle il fit du charme à une jeune demoiselle, il alla ensuite la rejoindre, aussi sereinement que secrètement, et se présenta à elle. Après tout, l'erreur n'était pas permise, il valait mieux être prudent.

- Mes salutations Mademoiselle. Je suis le vicomte Johannitas De la Bitas, du récemment fondé comté de Las Couillas en Betones. Un morceau de terre encore très méconnu de nos mémoires mais pourtant gorgé de soleil, idéal pour la culture des concombres et des abricots ... Si vous voyez ce que je veux dire. J'ai remarqué que vous étiez seule et quelque peu en retard, m'accorderiez-vous un moment de votre compagnie ? Vous me feriezi l'homme le plus heureux du monde si vous partagiez un verre avec moi.
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Eloa Senja



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Eloa Senja
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Race : Séraphin
Classe : Metamorphe
Métier : Espionne
Groupe : Royaume

Âge : 22 ans officiellement

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Fiche de Personnage : Ma fiche)


Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] _
MessageSujet: Re: Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja]   Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] EmptySam 17 Nov 2012 - 16:43

Eloa Senja

Mission : La sentence du violon
But : Détruire l’engeance des rebelles, et des taupes au sein du royaume.

Lieu : Le bal masqué, Madorass.


Oui voilà un joli titre pour un espionnage dans un bal masqué. Voilà aussi dans quoi je me suis mise. Tout ça à cause de quoi ? D’un soupçon envers une dame de la noblesse de Madorass. Une Dame qui copule farouchement avec la rébellion est dans nos rangs, voilà ce qu’on m’a répété sans cesse pour me convaincre de me transformer en noble, et porter une horrible longue robe tout laide. Je soupirais mais je finis par accepter. Surtout que c’était sois ça, sois mourir sous la torture. Et comme je tenais à la vie…. Donc je devenais être une dame, amie de notre suspect… Je l’espionnais pendant des jours, et des jours, et des jours, et des nuits aussi, puis encore des jours, et des JOURS !!! C’est très… Très chiant. Thé, gâteau, parure, potin, thé, gâteau, parure, potin… THE ! GATEAU ! PARURE ! POTIN ! Tous les jours ! Vraiment tous les jours ! J’ai cru que je perdais mon temps, et j’ai failli craquer aux bouts d’un mois… Quant l’approche du bal masqué pour je ne sais plus quelle fête arriva, tout changea. Mademoiselle la Comtesse de Ségur se comporta bizarrement. Elle faisait des cachettes, des mystères, ne m’invitait plus au thé… Ce n’est pas que ça me faisait chier, mais seulement que ce n’était pas normal… En secret, je me faisais une joie, car le Thé à la menthe, je n’en pouvais plus… C’est une horreur pour le palet surtout après une trentaine par jour, chaque jour d’un mois.

Je m’infiltrais dans ses secrets et c’est mystère. Ce fut dur et pas sans problème. C’était qu’elle était très méfiante. Ça m’agaçait ! Plus vite, c’était fini, plus vite, je suis tranquille. Après encore des jours d’attentes, j’eus enfin la preuve de sa félonie. J’eus un sourire satisfait quand j’ai tout donné à mon chef, monsieur la cape blanche, Maeren. Qui jubila de pouvoir bientôt torturer des rebelles… Les hommes… Sérieux. Après, je sais juste qu’elle a été arrêté, torturé violement tout en gardant son visage, ses mains, son cou et ses avants – bras intacts. Elle déballa tout, les larmes coulant sur les joues. Et bien sûr, qui on appela pour la surveiller durant ce bal, vêtu comme un serveur ? Moi… MOI ! Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cette merde là ? J’en ai marre…... Donc on m’expliqua qu’un message doit être donné à une personne faisant partie de la rébellion infiltré au bal… Que je dois la surveiller, et voir qui est le destinataire du forfait… Et puis prévenir les capes blanches déguisaient dans la salle parmi les invités. J’étais un homme. Un homme qui a un truc qui pend, et que c’est énervant ! Servant des collations à la salle… Ah oui, par moment en cachette, je changeais de visage pour ne pas être repéré par les rebelles.

C’est tout un art. Car il faut que je sois dans des endroits cachaient pour que personne ne me voit. La soirée se déroula bien, même très bien… Juste que c’était de grand buveur, ils ne buvaient pas que des boissons alcoolisés … Heureusement ! Je fixais cette dame blanche… Tel un loup sur sa proie avec beaucoup de discrétion. Je tiens à préciser, que le message « donnez rendez- vous dans un lieu « dit » secret ou une sois - disant personnalité du royaume donc influant s’y trouver pour parler d’une chose hyper secrète aussi …. Le message n’a pas vraiment été changé. Y a juste qu’au lieu d’avoir des gens qui parlent de choses secrètes, y a un énorme piège à la place ! La dame blanche savait qu’elle était sur surveillance par des capes blanches mais pas par moi, et elle ne savait pas pour le piège… Donc, elle allait surement dire un mot aux rebelles sur cette foutue surveillance… Donc je devais l’écouter pour mieux prévenir mes chers patrons !

Je m’approchais d’elle et de son interlocuteur qui ne s’est pas fait annoncé… Ces titres n’ont pas été soufflait dans la salle, comme pour les autres… Suspect ! C’est là que du coin de l’œil, je vis un serveur trouver des vêtements de « serveur » sur le sol… Bien, bien… Un infiltré, mais j’étais certaine qu’il n’était pas seul.

J’étais habillée d’un pantalon noir, bouffant en bas avec des chaussures noires, tout ça cachait par un tablier blanc. A ma ceinture, j’avais mes lames. En simple haut, une chemise blanche. La tenue d’un serveur quoi. Mes cheveux étaient cours brun avec une barbe et une moustache, et les yeux de même couleurs. Tout était en place ! Je leurs souris, et fit une petite révérence.

« Une petite collation ? »
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Marcius L.Danuvius



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Marcius L.Danuvius
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Classe : Hoplite
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Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] _
MessageSujet: Re: Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja]   Vous avez du retard, Mademoiselle. [PRIVE Eloa Senja] EmptySam 17 Nov 2012 - 23:32

- Hein ? Oui ! Oui ! J'arrive ! Deux secondes merde ! Putain, j'avais oublié à quel point c'est chiant l'aristocratie.

Marcius ne savait plus où donner de la tête ! Pas le temps de se souffler ni même d'écouter ce qu'on lui disait ! Du coup, il avait perdu Johann de vue et ne savait même plus où en était la mission. Avait-il reçu le papier ? La dame blanche était-elle là ? Que devait-il faire maintenant ? Romulus ne se posait pas autant de questions, lui. Posté devant la porte de service, il prenait son rôle très au sérieux et appliquait les instructions à la lettre et peut-être même un peu trop puisqu'il allait jusqu'à empêcher les gens de sortir sans leur papier. Papier qu'ils lui avaient remis à l'entrée. Même la pause pipi était interdite, ils devaient rester à l'intérieur de l'établissement un point c'est tout et ce ne fut qu'au bout de très longues négociations qu'ils parvinrent à s'espongier dehors, un par un et sous le regard attentif de Romulus.

Johannitas, quant à lui, passait un excellent moment. Bien qu'il trouvait son interlocutrice un peu tendue, voir même angoissée, il prenait le temps de profiter de la soirée. Après tout, rien ne pressait. Et puis, elle était une assez jolie femme, s'il pouvait aller un peu plus loin avant de transmettre le message, il ne dirait pas non. Il tentait sa chance et il fallait reconnaître que la haute société et lui, ça faisait deux. Très indélicats dans ses gestes et dans ses dires, il n'arrêtait pas de faire des sous-entendu parfois osé. Mais ce qui le surprenait le plus, c'est que la dame blanche ne réagissait pas beaucoup. Au contraire, elle semblait pressée de lui délivrer la lettre.

- Mais qu'avez-vous donc ? On aurait dit que vous vous apprêtiez à pondre un oeuf ! Il n'y a pas de raison de se tourmenter, profitez de la soirée voyons ! Et si vous ne savez pas comment faire, laissez-moi vous guider, je me ferais une joie de vous faire découvrir mon divertissement favoris.
- Il ne s'agit pas de ça ... Comprenez-moi, c'est la première fois que je dois assumer autant de responsabilités. Je veux en finir au plus vite, s'il vous plait.
- Comprenez aussi que c'est la première fois que je viens à ce genre de soirée, laissez-moi le temps d'en profiter un peu enfin !

Un serveur se présenta alors à eux. Tenant dans sa main un plateau garnis de nombreux délices, il leur proposa une collation.

- Ah bah tu tombes bien toi.

Dit-il en prenant tout simplement le plateau. Un geste très déplacé et on ne plus mal élevé. S’empiffrant de petits-fours et vidant les quelques verres les uns après les autres, il se dépêcha de tout avaler puis lui rendit le support. S'essuyant la bouche avec la serviette qu'il avait sur le bras, il lui glissa une pièce d'or dans la poche.

- Apportez-moi en d'autres !

La dame blanche le regardait au travers de son masque. Quel manque de savoir vivre !

- Vous pourriez faire un effort.
- Pour une bande de guignols comme eux ? Il ne manquerait plus que ça !
- Hum ... La lettre, prenez la lettre.
- Pourquoi êtes-vous si pressée ?
- Je vous l'ai déjà dis !
- Je la prendrais, d'accord. Mais ne voulez-vous pas aller dans un endroit plus discret avant ? J'ai vu quelques magnifiques chambres à l'étage.
- Remettez-là d'abord !
- Je remarque que vous n'avez pas dis non.
- Soyez en paix, je n'échangerai qu'un verre avec vous.

- Mais, tout le plaisir sera pour moi Mademoiselle.

Dit-il en se penchant et en lui embrassant la main. D'un geste rapide, elle fit sortir la lettre de sa manche et la glissa dans celle du faux vicomte. Emmenant alors cette riche demoiselle à l'étage, il passa au passage une commande à Marcius.

- Deux superbes coupes, bien alcoolisées !
- De quoi ?
- De l'alcool ! Et puis tiens, tu mettras ça dans le verre de gauche.
- C'est quoi ?
- Ah, t'occupe et fais ce que je te dis !


Dit-il en lui donnant un sachet contenant une étrange poudre blanche. Marcius l'observa avec étonnement avant de lui demander le prix nécessaire. Johann ouvrit sa bourse et prit la somme demandée. Danuvius tendit sa main et le faux vicomte déposa l'argent dans sa paume. Il lui attrapa ensuite la main avec ses deux mains.

- Tu me déçois pas hein ?
- Non non, t'inquiète.

Puis il le relâcha. Le message était transmis.

- Plus qu'une commande à apporter et je me casse d'ici.

Dit-il en versant la poudre dans le verre de ... Droite.
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