''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]

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Anouata

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Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] _
MessageSujet: Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]   Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] EmptyMer 16 Jan 2013 - 15:24

Anouata Del - Haura

“ Then I heard your heart beating, you were in the darkness too.” Cosmic love – Florence and the machine



Le ciel souriait silencieusement sur cette ville fait de pierre, fait de mystère… Les nuages dansaient dans une valse ancienne, laissant tomber quelques flocons sur ses chemins de terre et de pavés. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas vu la neige. Sa douceur ne s’est pas ternie. Elle était toujours aussi délicate. J’avançais dans cette ville dont le nom m’échappe encore. J’observais l’architecture de ce monde que je ne connaissais pas. Elle était nouvelle, récente, et si dépravé… Ou sont les merveilles de passé ? De mon passé ?

Détruite ? Détruite par le temps qui passe et l’Homme qui s’amuse à tuer ? Cette ville sans nom, sentant la mort, et le sang… Tous mes sens étaient en éveille… Il y avait beaucoup de criminel, et beaucoup de garde à la cape blanche… Nouvel ordre ? Pourtant en passant dans certaines ruelles, j’ai vu des affiches annonçant la mort du Roi Kaull… N’y a-t-il plus aucun gouvernement sur Feleth ?

Aucune justice ne règne donc dans ce monde ? Je ne savais rien et beaucoup de questions se pressaient dans ma tête. Je voulais savoir, et n’être plus perdu dans une rue sans nom, dans une ville sans passé… Au milieu des charognes, et des vermines, qui ne méritent que le feu de la justice dévorant leur corps. Si j’avais ma faux… Oh ma belle faux… Ou es – tu ? Es – tu quelques parts dans ce monde, ou on t’a perdu, fondu… Beolan existait – il encore ? Ses mages impétueux avait- il gardé ma faux dans leur coffre en souvenir de leur sort ?

Je te retrouverais ! Nous agirons pour le bien de la justice et pour le sang coulé comme par le passé… Ou es-tu douceur de mon passé ? Ou es – tu terrifiante justice de mon passé ? Je vagabondais, cherchant un moyen de la retrouver, de savoir ce qu’il s’est passé… Je veux mon arme, mon amie ! Je marchais dans cette rue principale, dont la noblesse me fixait.

Ma tenue n’était pas là pour passer inaperçu. Je n’avais qu’une chemise blanche, à peine attaché, et une culotte salis par le sang, et le temps… Je laissais les empreintes de mes pieds dans la neige nouvelle… J’ignorais les passants, et même ceux qui me pointaient du doigt. Je devais rester discrète un minimum… Je me cachais quand je voyais des soldats car ma tenue n’était pas « tolérée »

Je cherchais un lieu pour m’aider dans ma recherche… Quand je vis une boutique d’antiquité… J’entrais. Il n’y avait personne à part un homme d’environ 30 ans, avec les cheveux court et brun, et une petite moustache. Il lisait un livre quand il leva la tête vers moi. Il était surpris alors que je m’avançais vers lui. Je m’assis sur le comptoir, jambe tourné vers son côté… Il se leva brusquement faisant tomber sa chaise.

- Madame, vous devez partir. Votre tenue n’est pas adéquate.

J’eus un sourire. Je l’attrapais aux rubans défait qu’il avait autour du cou, et je l’attirais vers moi. Je l’entourais de mes jambes en penchant la tête. Je lui léchais la joue.

- Tu as l’air bien délicieux !

Il commençait à avoir peur. Je le sentais trembler…

- Que voulez-vous ? Finit-il par dire avec beaucoup de mal.
- Un renseignement… Et si tu es bien obéissant, je te laisse en vie…

Il tenta de s’échapper mais je serrais mon étreinte, pour le bloquer complètement. Je lui mordis la lèvre jusqu’au sang, le gouttant, l’aimant…

- Alors ?

- Euh… D’accord … Dite moi…

L’homme pleurait presque de douleur quand il sentit mes crocs perforer sa lèvre. Je lui racontais que je cherchais une faux, la décrivant. Il réfléchissait. Qu’est - ce qu’il mettait du temps. Je voulais qu’il se dépêche avant que quelqu’un entre, et me voit ainsi…
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Ambarvanye Valaine

Griffes gelées

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Ambarvanye Valaine
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Fiche de Personnage : Le vol gelé


Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] _
MessageSujet: Re: Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]   Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] EmptyJeu 17 Jan 2013 - 16:20

Les cieux, voila une denrée rare qui ne changeait pas avec le temps.

Voler parmi les autres volatiles était une chose merveilleuse. Mieux encore, quand ceux-ci s'écartaient face à votre comportement de prédateur. Battant à nouveau des ailes, nous nous élevions un peu plus dans les airs. La lumière filtrait à travers nos membranes, plongeant le sol en dessous de nous dans une ombre teintée.

Le vent caressait nos écailles alors que nous nous laissions porter par les courants aériens, peut-être allions nous trouver quelque chose à manger ? La faim nous dévorait tellement depuis notre réveil... Nous posions les yeux devant un petit village humain, les insectes qui s'y baladaient pourraient peut-être nous rassasier ? Plongeant vers eux, un souffle gelé leur rappela qu'ils ne dominaient la nature qu'en apparence. Une fois leurs corps gelés, plus rien ne pouvait les sauver de nos griffes et nos crocs. Le sang s'écoulait dans notre gueule, remplissant notre estomac. Se nourrir était vraiment une chose amusante et qui procurait un plaisir immense, néanmoins il fallait tant consommer pour enfin ne plus ressentir ce besoin. Une fois le petit village détruit, nous repartions vers une autre contrée, laissant à nouveau les vents nous porter.

Petit à petit, nous tentions d'en apprendre plus sur cette époque et sur ses moeurs, non pas que la culture humaine nous soit importante mais connaître ses proies était une chose nécessaire lors de la chasse. Ainsi, la ville de Madorass représentait leur "capitale" et c'est là bas qu'y avait vécu un monarque, aujourd'hui décédé. Nous nous demandions à quoi ressemblait la cité, et si des gens intéressants pouvaient s'y trouver, c'est pourquoi nous changions d'un coup le sens de notre vol, repliant nos ailes et les déployant d'un coup en direction de l'ouest, en direction de la cité.

Nous nous posions à quelques kilomètres de la ville, afin de ne pas être vus. Notre taille imposante était peut-être un plus pour intimider et combattre, mais elle ne l'était pas pour passer inaperçu, à moins que l'on ne soit assez haut dans le ciel. Prenant forme humaine, nous commencions à marcher vers Madorass.
Plusieurs heures passèrent, nous qui aurions put nous y rendre en quelques battements d'ailes avons dut marcher de longues heures, sous-estimant la distance en tant qu'humain.
Passant les lourdes portes de la ville sous le regard suspicieux des gardes. La mort de leur roi devait sans doute les rendre nerveux et la venue d'une créature féminine étrangère légèrement couverte de plaques écaillées et armée d'armes de pugilat ne devait pas les rassurer. Négociant notre passage, nous usions de persuasion pour finalement pouvoir rentrer sans peine. Marchant dans les rues de la ville, nous observions. Les murs salies et l'odeur de crasse de cet endroit nous donnaient envie de vomir. Les mortelles négligeaient tellement leur propreté et leur hygiène de vie que cela donnait à leur espèce une image de porcs, oui, les hommes et autres créatures mortelles n'étaient que des pourceaux. Même gout, même comportement.

N'en pouvant plus de cette odeur immonde qui se dégageait dans les ruelles marchandes, nous décidions de pénétrer dans une boutique d'antiquité, afin d'y sentir le doux parfums des vieux parchemins, et peut-être y trouver de plus amples informations sur l'histoire humaine. C'est là que nous la trouvions... Une femme, en petite tenue, serrant un homme entre ses jambes.
Cette vision fut surprenante, non pas qu'elle nous choque, les mortelles étaient toujours pressés de se reproduire, mais là, le mâle ne semblait pas... Heureux, et la femelle... Semblait, troublé de mon arrivée, et non pas à cause de sa tenue, si l'on pouvait parler de tenue.

Posant nos mains sur nos hanches, nous la fixions d'un air perplexe. Notre armure d'écailles ne recouvrait que notre poitrine et le bas de notre corps, laissant nos cheveux d'argent tomber jusqu'au creux de nos reins. Nous n'étions peut-être pas les mieux placer pour parler de tenue légère... Nous déclarions juste, de notre voix éthérée :

- Sommes-nous bien dans une boutique d'antiquité ?
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Anouata

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Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] _
MessageSujet: Re: Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]   Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] EmptyJeu 17 Jan 2013 - 22:30

« A cet instant, la sorcière éclata d'un rire si bruyant et si hideux que le crapaud et les couleuvres tombèrent à terre et grouillèrent. » La petite sirène – H.C. Andersen

L’antiquaire brûlait de peur, sous mes mains qui ne voulait que savoir. Je voulais savoir si ma faux avait circulé comme une relique, et où je pouvais la trouver… Je ne demandais pas grand-chose, juste un indice. Certes, je devais prendre en compte deux éléments… Un, ça possible destruction et deux, ça possible d’détention par les héritiers des mages qui m’ont enfermée… Ça ne me réjouissait pas ! J’insistais. Je le secouais ! Il tremblait de peur laissant ses gouttes de sueur me tombaient sur les bras… Je perdais patiente… Je pris une plume non loin, je jouais avec quand….


Une odeur de mort enivrait l’atmosphère, une odeur de sang frais aussi. Je me léchais les lèvres assez sadiquement. Alors que l’homme balbutiait qu’il devait voir ses archives… Personne ne peut oublier la faux de destin ! PERSONNE ! Je lui couperais bien la tête à cet avorton !

- Votre faux… J’en ai entendu parler… Mais…
- MAIS QUOI ?

C’est là l’émetteur de cette délicate odeur entra. Une femme avec des écailles, un démon. C’était une certitude. Je penchais la tête en arrière pour voir, pour mieux qui était notre intruse… Elle posait une question stupide comme si elle ne savait pas lire.

- En effet. Répondis – je. Disparait, et revient quand j’aurais fini !

L’homme voulait crier à l’aide, mais je lui serrais le cou pour qu’il se taise en lui intimidant de me répondre ce qu’il fit qu’à moitié…

- Ce que vous cherchez est … une légende, un mythe…NE ME TUEZ PAS !

Il parle de mon trésors, de mon précieux comme d’une chose qui n’existe pas !!! IL A OSE ! Un regard cruel se posa sur lui, il sursauta… Je pris la plume qui lui sert à écrire, et je lui plante dans la main alors qu’il hurle, je me rappelai que je n’étais pas seule avec lui, et que l’autre démon était toujours là.

Je me retournais au trois quart vers elle.

- Toujours là ? Pourquoi ne t’en vas-tu pas ?

Je gardais un certain contrôle sur ma victime en laissant ma main contre son cou.

- Que veux-tu ?
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Ambarvanye Valaine

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Fiche de Personnage : Le vol gelé


Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] _
MessageSujet: Re: Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]   Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] EmptyVen 18 Jan 2013 - 15:54

Comment osait-elle ? Elle nous parlait comme à un vulgaire gibier ! Comme si nous étions une moins que rien !

Nous fixions la femelle d'un regard mauvais, serrant nos griffes d'une force étonnante, nous aurions put l'attaquer dans l'instant, mais le geste qu'elle fit attisa notre curiosité. Elle venait de planter une plume dans la main de ce pauvre homme... L'odeur du sang se répandit jusqu'à nos narines et nous rappela la faim qui rongeait notre être. Cet homme ferait un bon repas, peut-être...

-Toujours là ? Pourquoi ne t’en vas-tu pas ? Que veux-tu ?

Nous tutoyer de la sorte... Elle méritait un châtiment pour cet... Irrespect, mais bon, mieux valait pour nous de préserver notre discrétion dans cette ville, retomber sous notre vraie forme pourrait nous attirer des ennuis, que nous ne voulons pas. Nous remarquions alors que l'homme prisonnier cachait sous sa manche un petit rouleau de parchemin, sans doute dans le but de soustraire des infos à la femme. Nous observions la scène d'un air amusé, avant de nous focaliser sur la potentielle menace. Elle n'était pas humaine, pas totalement en tout cas. Et après un long grognement étouffé, nous déclarions finalement de notre voix éthérée.

- Nous voulons en apprendre plus sur l'histoire des mortels depuis notre sommeil. Savoir ce que nous avons loupé, afin de mieux comprendre nos proies. Vous semblez également à la recherche de quelques choses, mais vous, vous le faîtes mal.

Ayant à peine terminé ses mots, nous nous jetâmes sur le pauvre antiquaire et lui arrachions le bras avec nos griffes, faisant couler une giclée de sang sur le mur le plus proche. Le sang toucha également la femelle alors que son visage affichait une mine surprise. Nous faisions alors glisser le petit parchemin de la manche ensanglantée et le montrions à cette femme.

- Voyez, on n'obtient que très peu de choses par la menace directe, surtout avec les hommes qui ont tendance à se braquer. L'intimidation n'est efficace que lorsqu'elle est correctement employée...

Léchant les gouttes de sang qui tombaient du bras arraché de la victime, nous reprenions, toujours sur le regard de l'inconnue.

- Ne vous méprenez pas sur nous. Nous sommes autre chose qu'une vulgaire humanoïde. Vous nous verrez peut-être un jour sous notre vraie apparence, qui est bien trop imposante pour cette cité. Quoi qu'il en soit je tient à vous poser une question, femme. Et peut-être qu'ensuite nous vous donnerons ce parchemin et vous aiderons. Vous sentez la pierre et le sang. Et votre visage me rappelle cette statue que j'apercevais du ciel dans les vieilles ruines... Qui êtes vous ?

[hrp] Dis moi si quelque chose ne te plaît pas et je modifierais ^^ [/hrp]
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Anouata

Invité

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MessageSujet: Re: Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre]   Cœur de mon passé, cœur de ma justice, je te retrouverais ! [libre] EmptyLun 21 Jan 2013 - 9:21

"« Leur a-t-on coupé la tête ? » cria la Reine. " Alice aux pays des merveilles - Lewis Carroll



Poupée de son, poupée de chiffon, musique du passé, la fin d’une vie… Petit pantin, ton sang coule sur le sol, réveille – toi… Je tenais un corps moue dans mes bras, un corps qui laissait la vie s’échapper dans un sommeil profond… Je laissais tomber ce corps sur le sol dans un fracas sourd. Elle avait osé lui arraché un membre. Un membre important à son éveille, vu que dans un cri de souffrance, il s’était évanouie. Je ne fus pas surprise d’un tel acte, connaissant les démons, pouvant les sentir, comme tous ces assassins. Le sang avait salis mon visage… Et ma chemise. Je me léchais les lèvres du bout de la langue pour gouter à ce liquide écarlate… Quel met délicieux !

Je me retournais, restant toujours assise sur le comptoir, croissant mes jambes. Je l’observais en penchant la tête. Mes cheveux parsemaient mon visage. Un sourire sadique apparut sur mes lèvres, en voyant que la démone aimait la chair humaine. Elle croit vraiment que je vais l’aider dans sa recherche sur l’espèce humaine ? Je la connaissais, mais le temps à effacer ce que je savais et la rendu mystérieuse. Elle paraissait bestiale… Et fièrement, elle me tendit un parchemin. Et ? Que veux-tu que je fasse de ce rouleau de papier ?

Ce ne pouvait pas me concerner. Il n’avait pas eu le temps de prendre quoiqu’il soit, sur ma faux… Une légende… UNE LEGENDE ! Je savais bien que non. Ma faux était quelques parts, m’attendant. Je le savais, et je la retrouverais. Là, problème un, une démon écailleuse impulsive…

- Pourquoi avoir fait cela ? Maintenant il se meurt ! Si tu voulais des informations sur l’Homme et son Histoire, va à la bibliothèque ! Au lieu de détruire ce que j’interroge !

Je sautais à pieds joints sur le sol, remettant mes cheveux. Je l’écoutais attentivement. Elle osait me dire ça alors qu’elle n’était pas mieux.

- Tu traines la mort, et le sang sur ton passage. Ça me pique le nez tellement c’est fort et tu oses dire que je sens la pierre … Et le sang, ça c’est à cause de toi !

De plus, elle me prenait pour une imbécile. J’avais compris qu’elle n’était pas une humaine. Qu’elle était un démon, un démon bizarre. Et je ne veux pas voir sa vraie forme. Je veux juste qu’elle disparaisse. Je marchais vers elle. Non que j’étais suicidaire seulement que j’avais vu des ombres bougeaient derrière nous. Et j’avoue que cela m’intriguait. Je me décalais sur la droite, ne regardant plus la démone.

- Qui suis – je ? Je suis celle qui vient d’un passé lointain.

Je me mis à rire comme une enfant qui s’amuse de la situation.

- On a de la visite !!


Je pris une lance qui se trouvait sur le côté, surement une antiquité, qui n’allait pas vivre longtemps cependant c’était suffisant. Je la tenais la lame vers le sol, et je dépassais la démone.

- Je pense que la garde local a été prévenu.

Je sortis du magasin. Je savais bien que j’aurais des problèmes vu ma tenue et le sang qu’il y avait dessus, mais je m’en moquais.

- Bonjour messieurs.

Ils braquèrent leurs arcs, leurs lances, leurs épées contre moi.

- Vous êtes en arrestation !

Je ne pus pas m’empêcher de rire. Il voulait m’arrêter. Ne suis – je pas l’ancienne exécutrice d’un vieux roi ? Je marchais vers celui qui a parlé, et d’un coup de lance, je lui coupais la tête… Une tête qui roula sur le sol, à mes pieds.

- Oups !
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