''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...

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Solon Lieras



________________

Solon Lieras
________________


Race : Humain
Classe : Ange de la Mort
Métier : Médecin
Croyances : Dieu des Songes
Groupe : Royaume

Âge : 31 ans

Messages : 3


Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... _
MessageSujet: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... EmptyLun 5 Aoû 2013 - 19:37



♦| Solon Lieras |♦





● Personnage ●
Nom : Lieras | Elonor.
Prénom : Solon | Silas.
Rang : L'Oxymore.

Âge : 31 ans.
Sexe : Masculin.

Race : Humain.
Classe : Ange de la Mort.
Métier : Médecin et Psychothérapeute.
Croyances : Dieu des Songes.
Groupe : Royaume.

Équipement :
Solon porte toujours sur lui, dans une des poches intérieures de sa veste, son journal, qu'il garde avec beaucoup d'attention. Une dague est toujours dissimulé sous sa cape accroché dans son dos, tandis qu'une épée courte repose à sa ceinture. Une lanière de cuir entoure sa cuisse gauche afin de camoufler cinq couteaux de lancer. Autour de son cou se balance un pendentif avec un rubis au bout, celui-ci ayant été offert par Hélèna à Solon lors de la naissance de leur fille.
Talents de combat physique :
Ce jeune homme n'a jamais eut la passion de se battre, ainsi il ne s'est jamais donné au combat et ne sait alors pas lui même ce qu'il vaut. Par contre, Silas lui à eut de nombreuses occasions pour se tester, se dépasser. Ce dernier est rapide, extrêmement rapide, des réflexes dont il faut se méfier adroitement, mais ce n'est pas tout, il est d'une précision chirurgicale, ne ratant son coup que très rarement. Au combat, il combine ces deux qualités à sa discrétion afin de devenir un tueur implacable.
Talents de magie :
Comme pour ses talents au combats, Solon n'a jamais essayer de découvrir les talents magiques qui étaient présents en lui, laissant alors à son alter ego tout le loisir de l'utiliser. La magie de Silas est assez variée, elle peut guérir des plaies profondes et peut renforcer la puissance de son utilisateur, le rendant plus endurant, plus rapide, plus fort etc...
Talents divers :
Solon n'est pas quelqu'un de très spécial, il ne possède ni pouvoirs extraordinaires ni dons mystérieux. Il n'a que pour lui son esprit de réflexion, son intelligence et la maîtrise de son métier, celui de médecin qu'il exerce comme personne d'autre.
Pouvoirs particuliers :
Le jeune médecin a parfois de graves maux de têtes, ils précèdent ou succèdent souvent l'arrivée ou le départ de Silas, et y sont liés quelques trous de mémoires pouvant s'étaler sur parfois une journée toute entière selon l'emprise de Silas.

Physique :
Solon est un homme d'une grande taille et d'une finesse prononcé. Une hauteur d'un mètre quatre vingt-neuf pour soixante et un kilos ne font pas de lui une masse. Son teint est blanchâtre, ses muscles normalement développés, son allure : mystérieuse.
Il porte aux pieds une paire de bottes brunes montantes en cuir s'arrêtant un peu en dessous de ses genoux, serrées par des lanières sombres. Son pantalon est marron clair, tirant entre le beige et le brun, fait de toile avec quelques dorures en dentelle au niveau de la taille et des poches. Ce pantalon est bien serré par une ceinture grise à laquelle est accroché l'épée courte que porte en permanence Solon. Passant par dessus la ceinture, il porte un veste lourde, chargé à nouveau de dorures légèrement ouverte en haut du torse laissant apparaître son pendentif si précieux. Sur ses épaules reposent des fourrures liées, constituant donc sa cape, dissimulant adroitement la dague accrochée dans son dos.
Solon possède des traits d'une finesse sans pareil, pourtant, ces traits semblent parfois dur, appuyés prononcés à certains moments, comme si le calme de ce doux visage laissait place à l'excitation, aux mouvements... à la folie. Son menton bien droit accentue ce phénomène. Il possède une bouche aux lèvres fines, sèches, rosées et pincées précédant un long nez droit et fin, séparant deux yeux colorés d'un bleus éclatant et mystérieux, ses sourcils sombres renforçant le caractère perçant de ceux-ci. Finalement ses cheveux sont très longs, tombant dans son dos, la plupart rejetés en arrière mis à part quelques mèches traînant sur son front.

Psychologie :
Comment décrire la psychologie d'une personne comme Solon... Ou du moins comme Silas... ou alors comment décrire une personnalité à la fois si partager, si contraire et si ambigu... Pourquoi alors, ne pas plutôt vous faire la psychologie de ces deux êtres à la fois ? Allons s'y.

Solon est un homme très intelligent, depuis sa tendre enfance il se passionnait de lecture et sa curiosité l'amenait à accroître ses connaissances. Depuis tout petit il adora le Dieu des Songes, pour des raisons inconnus que lui même ne put expliquer. Peut-être étais-ce lié à sa future vocation, celle de soigner les mauvaises pulsions, ou peut-être étais-ce lié à Silas, sûrement un peu des deux, quoi qu'il en soit, son adoration en ce Dieu lui amena une foi minime, légèrement entretenue, laissant en son être qu'une toute petite place aux divinités. Solon est un homme peureux, oui, il a peur de se battre, il a peur de l'ombre qui nous entoure, il a peur de l'extérieur et de ses mystères, c'est un homme qui n'est rassuré d'une chose à la seule condition où il connaît parfaitement son fonctionnement. Ainsi, peu de choses le rassurent. De ce fait, ce médecin n'a pour ainsi dire jamais côtoyer la magie, laissant son mysticisme aux plus courageux et aux plus curieux, lui préférant rester terre à terre, étudiant le corps humain qui paraissait moins obscur que n'importe quoi d'autre. Finalement, Solon est un homme qui a besoin de ses repères, de ses habitudes sans quoi la peur et la folie peuvent bel et bien l'atteindre, il ne laisse à la foi qu'une place bénigne et se méfie de tout. Solon n'a pas conscience de l'existence de Silas, ou tout du moins il ne le sait que quelques secondes précédant ou succédant le départ ou l'arrivé de Silas. C'est Solon lui même qui l'appelle, sans le savoir, il lui demande de l'aider, quand il a peur, quand il est inquiet, quand il ne va pas bien. Il est comme un petit frère pour Silas qui a besoin d'être aidé, protégé...

Silas quant à lui, est un homme très différent, malgré la même intelligence poussée se transformant presque à de la malice malsaine, il n'a jamais peur. Ou tout du moins, ce qui génère la peur pour lui attisent sa curiosité. C'est un adorateur profond du Dieu des Songes auquel il lance une offrande à chacun de ses meurtres car oui, Silas est un meurtrier tandis que Solon n'en est pas un. C'est un homme détenant un esprit tordu, il aime voir la mort, la douleur, la souffrance sur les visages hormis celui de Solon. Le seul point faible de Silas, c'est bien son alter ego. Il est doué à la magie et s'en passionne, comme le combat, il tente de repousser toujours ses limites préférant le mysticisme aux valeurs scientifique qu'adore tant Solon. Silas apparaît lorsque son alter ego se sent en danger et demande de l'aide, le tueur redoutable qui sommeille en lui prend alors le relais et protège l'existence de ce tandem, de cette oxymore formé par l'union de ces deux esprits, l'un bienveillant, l'autre malveillant. On ne sait pas vraiment ce que souhaite Silas, on sait qu'il aime protéger autant que faire souffrir Solon, mais on ne sait à vrai dire pas du tout quel est son but alors que celui de son petit protéger souffre-douleur est de trouver le meurtrier de sa femme et sa fille, cela faisant bien rire ce tueur fou.

Histoire :

Solon ouvrit son Journal à la première page, chose qu'il n'avait jamais faite depuis qu'il l'avait commencé. Non, jamais il n'avait entrepris de relire ses écrits, ces fragments de sa vie scellés à jamais sur le papier. Pourtant en cette douce soirée, seul, dans sa petite demeure éclairée par les flammes de quelques bougies fondantes, l'envie lui prit de se replonger dans la passé, d'y jeter un œil, portant un regard nostalgique...

[11 ans auparavant...]
Une première lettre, un premier mot, une première phrase de ce qui pourrais être l’œuvre de ma vie. Pourquoi faire cela ? Je n'en ai pas vraiment l'idée, j'y vois plus une impulsion, l'envie de figé certains moments de ma vie que j'écrirais ici pour ensuite pouvoir les vivre de nouveau. Peut-être j'en éprouve le besoin moi même. Quoi qu'il en soit c'est en ce jour que j'ai décidé de commencer cette œuvre qui me suivra tout au long de mon existence...


Le médecin tourna quelques pages afin d'arriver à un moment bien précis qui lui rappela tant de moments, d'odeurs, de sensations... Il retint tout de même ses larmes et continua sa lecture.

[10 ans auparavant...]
Elle est entrée dans mon cabinet, le visage affolé, accompagnant un enfant légèrement blessé, mais on pouvait lire une profonde inquiétude sur son visage. J'abandonnais mes soins bénins pour une vieille dame et alla de suite la voir, lui pria de s'asseoir en jetant un coup d'oeil à la plaie du jeune garçon, un sourire réconfortant aux lèvres je lui annonça qu'il n'y avait la rien de grave, que je m'occuperais de son cas très rapidement. Le regard toujours posé sur elle j'allais finir de m'occuper de cette vieille cliente qui se trouvait toujours un prétexte pour que je regarde que tout allait bien avec elle. Après l'avoir chassé rapidement de mon cabinet je fis signe à cette femme et à son garçon d'approcher. Tout en appliquant un pansement nous parlions. Où ais-je trouver la force de me délier la langue devant sa beauté ? Je me le demande bien. Elle me raconta la mésaventure du garçon qui s'avérait être son élève, elle était maîtresse d'école. Elle doit maintenant partir, elle me sourit, je fais de même, le garçon avec elle la presse sûrement jaloux de ce si court instant de complicité. Mais je connais pas son nom...
Une semaine passe sans que je puisse la revoir, quand le temps s'offrait à moi j'allais me balader dans les rues bondés de Madorass espérant voir son visage apparaître dans la foule mais seul le spectre de ce visage se rappelait à moi. Soudain, la porte de mon cabinet s'ouvre alors que je congédie cette même vieille femme se plaignant de douleurs au dos sûrement imaginaires. Devant la porte se trouve cette femme, le visage rayonnant, un bouquet de fleurs à la main, un petit sourire en coin. Elle m'offre le bouquet prétextant un manque de couleurs dans ce cabinet austère et aussi en guise de remerciements pour son élève maintenant tout à fait guéri. Je lui demande si elle a dîner, il est tard mais elle répond que non. Sur ce nous partons. Nous faisons connaissance, elle s'appelle Hélèna... Hélèna... Hélèna...
Cela ne fait que peu de temps que l'on se connaît mais l'amour est présent, un amour passionnel. Tant de choses se dégagent d'elles et je pense soudain que je n'aimerais dans ma vie qu'une seule femme si il le fallait. Notre amour nous immerge dans une chaude bulle réconfortante nous faisant oublier le monde extérieur, ses conflits, ses ombres planantes... Nous ne prêtons aucune attention à ces rumeurs qui traînent dans les rues, nous faisons mine de ne pas entendre ce nom qui est lancé comme un cri fanatique : « Kaull Hendenmark... Kaull Hendenmark ! ». Cela n'a aucune importance pour nous.


Un coup de vent fait tourner les pages et éteint quelques bougies amplifiant les ténèbres de la pièce. Pourtant, mine de rien, Solon continue de lire, imperturbable.

[8 ans auparavant...]
Je l'aime, elle me répond qu'elle aussi et c'est tout ce qui compte. Un soir, par hasard nous parlons d'enfants, sans retenu, soudain son visage se crispe, une expression d'inquiétude folle frappe son visage. Je tente de comprendre et elle me dit qu'elle est enceinte avec une voix faible emplie de peur. Quelle peur la tourmente ? Je souris, je jubile, quelques larmes roulent sur mes joues et soudain tout va mieux pour elle, la peur se dissipe. Nous fêtons la nouvelle comme il se doit, je vais être père et elle mère... Je ne puis rêver mieux. Mais dans ce cocon, à l'abri de l'extérieur quelques sombres échos parviennent à mes oreilles et une partie de moi y prête tout de même attention. Le nom de Kaull Hendenmark provoque terreur et souffrance à Madorass et ce qui n'était auparavant juste un mouvement commence à prendre une ampleur gigantesque. Certains parlent de rébellions. D'autres parlent de sbires, vêtu de blancs tels des fantômes, apportant la mort aux ennemis de leurs Roi. Roi ? Quelque uns parlent de Roi alors que le Royaume vit en démocratie depuis plusieurs siècles. L'on décèle la peur à chaque coin de rue, quelques voix murmurent « tyrannie », « dictature »... Je ne m'inquiète peut-être pas assez, ou peut être trop. Le Royaume a su se débarrasser des tyrans et cela depuis autant de siècles, pourquoi un arriverait au pouvoir maintenant. Je prie le Dieu des Songes pour que j'ai raison.


Tout semble s'accélérer, les pages se tournent automatiquement, Solon spectateur de sa propre vie sent se rapprocher l'inévitable, le moment noir et sombre de sa vie, celui succédant à tant de lumières.

[4 ans auparavant...]
Nora à maintenant trois ans et demi, elle n'a jamais manqué de rien, surtout pas de notre amour à Hélèna et moi. Mais la réalité brise notre cocon, fait disparaître notre bulle, notre nuage sur lequel nous étions, et la chute fut difficile. Le retour à la réalité nous donna bien des craintes. Kaull Hendenmark fut couronner Roi du Royaume et la tyrannie s'installe amplifiant la misère, la souffrance...


Solon regarde le journal, il s'en approche et pourtant il continue, il souhaite regarder le passé en face. Se rappelant la réalité. Il voit des tâches d'humidité laissées par ses larmes lors de l'écriture de ce passage.

[2 ans auparavant...]
Les Capes Blanches sont venues au cabinet, renversant tout le matériel sur leur passage, ils ont tirés leurs épées et m'ont exigés un impôt. Ils ont dit qu'un médecin comme moi devait pas mal gagné, le Royaume manquait d'argent, il fallait en trouver disaient-ils. Je leurs donnais tout ce que je pouvais, ce n'était pas assez. Ils reviendraient plus tard, ils devraient être satisfait ou mes proches mourront. Une peur s'empara de moi. Je vécu une semaine épouvantable cherchant de l'or partout mais le cabinet en rapportait moins, la populace semblait moins enclin à dépenser pour leurs soins, même la vieille habituée n'avait pas mis les pieds au cabinet depuis des mois. Peut être était-elle morte... Non, je ne dois pas avoir de telles pensées. Un soir ils reviennent, leurs gantelets de fer s'écrasent sur ma mâchoire me rappelant leurs menaces et je rentre à la maison, la lèvre éclaté, le visage décomposé, l'allure d'un mort. Je contemple ma ravissante femme et ma petite fille, si adorable... alors que je sais qu'elles mourront dans peu de temps. Je ne sais pas comment leur dire, enfin comment le dire à Hélèna. Devrais-je ? Je n'en ai pas la force malheureusement. Je ne sais quoi faire, je suis terrifié et ma tête semble être en train d'exploser... N'y aurait-il aucun moyen d'arrêter tout cela ? Je pense avoir encore plus peur pour moi que pour elles... Je dois trouver une solut...


Solon se rappelle s'être évanoui ou endormi à ce moment laissant ce mot « solution » sans fin. Ensuite il s'était réveillé chez lui. Ses mains étaient humides, un liquide épais coulaient sur elles. Il était allongé et entendait un bruit qui se répétait... Plop, plop, plop... plop... plop... …plop. Il se relevait doucement, un mal de tête ralentissait tout ses mouvements, recouvrant ses yeux d'un voile flou. Il vit une forme grande dans les airs se déplaçant de droite à gauche, il clignait des yeux, plusieurs fois pour mieux distingués... l'horreur. Hélèna, saa belle Hélèna, que s'était-il passé ? Le corps de cette femme qu'il aimait tant était pendu à une des poutres soutenant le toit de leur maison, son corps se déplaçait de droite à gauche, inanimé, comme un tic-tac d'une veille horloge. Plop... Du sang coulait le long de ses bras blancs, profondément entaillés, des gouttes de sang tombaient au sol. Plop ! Tic-tac le corps se balançait, une expression d'horreur frappait le visage de Solon. Plop, il suivit du regard une goutte de sang quitté l'index d'Hélèna pour ensuite tombé au sol dans une flaque ou non loin se trouvait un autre corps, plus petit... Nora portait sa robe blanche aujourd'hui... la couleur avait viré maintenant au rouge bordeaux. Un couteau de cuisine reposait sur son ventre, elle ne bougeait pas... Il n'y avait que le tic-tac qui bougeait dans cette pièce... La folie bourdonnait dans un recoin de sa tête, un recoin oublié, tût. C'était tout ce qu'il se rappelait. Depuis il avait toujours rechercher le meurtrier de sa femme et sa fille sans pour autant le trouver... Son seul indice était inscrit dans son journal quelques lignes en dessous du fameux mot « solution » laissé à l'abandon, infini. Il y était écrit, sous une calligraphie différente :

[2 ans auparavant...]
...Je dois trouver une solut...

Voilà ta solution Solon, j'ai hâte de te revoir.
Silas Elonor.

● En ce qui vous concerne ●A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Autant que je pourrais.

Comment avez-vous découvert le forum ? Par hasard.

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? Tout simplement magnifique.

● Test-RP ●Silas regarda le Journal de Solon avec un sourire, puis il alla droit vers le salon où une femme magnifique lisait un livre. Lorsqu'il approcha ce fut silencieusement, tel un prédateur, elle sursauta lorsqu'elle remarqua sa présence. Puis elle se calma mais sur son visage se lisait l'inquiétude et la crainte. Il tira sa dague et elle se leva, recula, faisant tomber le fauteuil à terre il approcha plus rapidement, elle gémissait... De sa main libre il lui attrapa le bras droit le plaquant contre le mur derrière elle sur lequel elle était maintenant appuyé. Elle criait quelques mots inutiles. Silas ne les écoutaient pas, ce n'étaient pas à lui qu'ils s'adressaient, mais à quelqu'un qui n'était pas ici, qui ne pouvait écouter, qui était trop submergé par la peur pour répondre. Il leva son bras gauche tenant la dague et la planta dans le bras droit de la femme à plusieurs reprises éclaboussant la pièce de son sang. Elle se débattu longtemps, criant au secours. Du coin de l'oeil Silas vit une petite fille magnifique regarder la scène horrifié et paralysé. Les deux bras entaillé, la femme commençait à faiblir, Silas en profita pour se saisir d'une corde. Il passa un bout par dessus une poutre de la maison et fit un nœud avec l'autre bout, un nœud qu'il noua autour du coup de la femme. Puis il tira la corde soulevant la femme dans les airs, les pieds et les jambes s'agitant dans tous les sens, sa bouche cherchant affreusement de l'air... en vain. Il attacha la corde afin de laisser la femme dans les airs. Il regarda ensuite la petite fille. Il s'en approcha mais elle recula à son tour, telle mère telle fille. Il la rassura, bizarrement la petite fille l'écouta. Il s'abaissa et elle le prit dans ses bras ce qui lui donna envie de vomir. Envahi par une fureur sans nom il attrapa le premier couteau qu'il trouva pour l'enfoncer dans le corps fébrile et tremblant de la petite fille. Elle ne cria même pas et Silas en fut satisfait. Il déposa son corps sur le sol non loin de celui de sa mère flottant dans les airs et se balançant de droite à gauche telle une horloge. Tic-tac... Un mal de tête empli le cerveau de Silas, il était déjà l'heure de partir... Non pas encore, juste un moment. Il retourna dans le bureau prit une plume qu'il trempa dans l'encre et inscrit ces mots :

Voilà ta solution Solon, j'ai hâte de te revoir.
Silas Elonor.
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Solon Lieras



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Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... _
MessageSujet: Re: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... EmptyJeu 8 Aoû 2013 - 19:19

Bonsoir, ce serais juste pour savoir quand un admin passerais pour les validations ou juste pour regarder les fiches.

Merci.
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Néro Elem

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Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... _
MessageSujet: Re: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... EmptyVen 9 Aoû 2013 - 16:15

Bonjour, Tut tut tut ♫
Bienvenue.

Quel personnage intéressant ! Je trouve que la double personnalité de celui-ci transparaît merveilleusement bien par ton style.
Néanmoins, je trouve qu'il manque une chose, une chose importante... En effet, tu ne parlés pas une seule fois de sa jeunesse, tu remontes jusqu'à ses 20 ans, mais au delà : Rien. Cela, justement, m'intéresse. D'où vient-il ? Sa famille était-elle noble, ou du moins bourgeoise pour lui donner une telle éducation ? Ou alors à-t-il appris sa profession grâce à un médecin itinérant sans magie (ce qui serait particulièrement rare) ? À moins qu'il ne soit un orphelin recueilli par un culte et ayant été éduqué là-bas ? Silas existait-il avant ?
Tant de questions que je me pose et auxquelles, tu ne réponds pas.

Rajoute cela à ton histoire s'il te plaît. ̂ ̂
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Solon Lieras



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Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... _
MessageSujet: Re: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... EmptyVen 9 Aoû 2013 - 16:24

Merci de ta réponse Néro Elem, je vais m'occuper de ça au plus vite, si je ne l'avais pas fait c'est parce son histoire est transporté par son journal.
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Néro Elem

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MessageSujet: Re: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... EmptyJeu 22 Aoû 2013 - 17:57

Bonjour, y a-t-il des nouvelles de ce coté ? ^^

Edit : Absence depuis un moi. J'archive. Envoie un MP à un admin si tu veux la rouvrir. ^^
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MessageSujet: Re: Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle...   Solon Lieras | Quand le désespoir nous appelle... Empty

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