''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.'' Eto Hachiro ''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.'' Querel Sentencia ''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.'' Nagate Zetsubō ''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.'' Darn Butcher ''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.'' Aikanaro Myrrhyn ''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?'' Alcofrybas Grincebrume ''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.'' Etan Ystal ''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.'' Edwin Gwendur ''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.'' Tyrias Marchemonde ''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…'' Dimitri Morteury ''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.'' Yozora Adragnis ''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»'' Haar Wilder ''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.'' Le Peintre ''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.'' Le Violoniste ''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.'' Sill ''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.'' Setsuna Hendenmark ''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.'' Kaull Hendenmark ''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.'' Astryl Panasdür ''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.'' Sanaki Hearthlight ''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.'' Dolven Melrak ''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !'' Andreï Loknar ''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.'' Jazminsaa Alsan ''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.'' Alexandre Ranald ''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.'' Adam Moriharty ''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…'' Samaël Apelpisia ''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.'' Liam Gil' Sayan ''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.'' Héra Calliope ''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.'' Eurybie Pourrie ''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.'' Dante Waanig ''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !'' Jeyra Frozeñ ''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.'' Akira Satetsu ''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.'' Melpomène d'Ambre ''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...'' Cassandre Ombrelune ''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...'' Meryle Nightlander ''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.'' Luyak Salamya ''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.'' Clause Vaneslander ''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.'' Jack D'enfer ''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.'' Jim Stocker ''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.'' Shaquîlah Dresdeïorth ''Le pouvoir ronge l'homme.'' Balthazar Bel ''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.'' Dranek Barth ''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.'' Rodany Bleinzen ''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.'' Rin Mephisto ''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.'' Elrog Aniec ''Perdu quelque part, marche vers nulle part.'' Kyle Wate ''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.'' Karin Yzomel ''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient ! - Je connais déjà mon genre d'homme. - Vraiment... Et quel est-il ? - Les hommes morts.'' Naladrial Delindel ''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.'' Zedd McTwist ''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !'' Conrart Crowlore ''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.'' Dassyldroth Arphoss ''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.'' Lust Aseliwin ''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance. Passent les marées, soufflent les vents, en vain...'' Le Passant ''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.'' Lloyd Vilehearth ''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.'' Meneldil Tristelune ''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.'' Ezekiel Le Sage ''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.'' Karl Von Morlag ''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...'' Aznan Lauréano ''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !'' Aïden Sochlane ''- Faites taire votre cabot ! - Je ne suis pas votre servante ! - Alors je le ferai taire moi-même !'' Rosaly Von Gregorius ''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.'' Mirage Morteury ''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.'' Idryss Leeverwen ''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.'' Seïren Nepthys ''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?'' ShuiLong Zhang ''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.'' Camelle Elwhang ''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !'' Edouard Neuman ''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.'' Asgeïr Aslak ''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.'' Violette Dellylas ''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.'' Erwan Daermon Do'Layde ''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.'' Mio Raeth ''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.'' Aeli Seoriria ''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.'' Valt Horn ''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?'' Ledha Borolev ''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.'' Gigantus Corne ''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !'' Goudwin Didrago ''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.'' Uridan Sangried ''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.'' Leevo Shellhorn ''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.'' Moira Brawl ''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.'' Aoi Haandar ''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie. Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.'' Nargheil Eoss ''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis. Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.'' Meiro Fuuchiuse ''Notre futur exprime nos actes passés.'' Terence Ripper ''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant. Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.'' Tekian Varis ''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.'' Danarius Kyrarion ''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.'' Leroi-Gourhan ''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.'' Marc-Aurèle ''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.'' Malraux ''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.'' Weischedel ''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?'' Schopenhauer ''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.'' Nietzsche ''Ôte-toi de mon soleil.'' Diogène le cynique ''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.'' André Gide ''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.'' John Milton ''Nous sommes les histoires que nous vivons.'' Auteur inconnu ''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.'' Fuyumi Ono |
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| | Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) | |
| Auteur | Message |
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Faust Graves-Digger Le fossoyeur.
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Race : Ogre
Classe : Sorcier
Métier : Fossoyeur
Croyances : Athée
Groupe : Royaume
Âge : 27 ans
Messages : 6
Fiche de Personnage : Histoire de Personnage :
| Sujet: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 3 Aoû 2013 - 21:40 | |
| Pseudonyme Informations Nom : Graves-DiggerPrénom : FaustSurnom : Diggy, étant un diminutif de "Digger"Âge : 27 ansSexe : MasculinRace : OgreClasse : SorcierMétier : FossoyeurCroyances : AucuneGroupe : Royaume.
Équipement : - Une pelle solide et résistante, aussi utilisée comme arme lourde à deux mains. - La bague d'un aristocrate à son annulaire.Talents de combat physique :Faust ne sait pas se battre à l'arme, bien qu'il puisse se servir de sa pelle dont il ne se sépare jamais, comme ultime recours. Bien qu'habitué à l'user, il reste un maître d'arme assez médiocre.Talents de magie : Lorsque Faust se bat, il arrive à user de sa magie occulte, lui permettant d'infliger une maladie aléatoire, allant d'une gravité extrême à bénigne, afin d'handicaper son adversaire. Aucune de ces maladies ne peut causer la mort, à moins d'être cumulées habilement.Talents divers : - Séduction physique : Le charme de Faust, ainsi que son attrait pour la manipulation, ne laissent pas les hommes ou les femmes indifférent(e)s, à partir du moment où ces derniers surestiment l'importance de l'apparence. Grâce à ses traits fins, ses vêtements soignés et propres, et son sourire atypique, Faust sait afficher un sourire hypocrite, afin de mettre dans sa poche une personne qui lui serait bénéfique. Son habileté à séduire résulte de son envie de cacher son terrible manque de culture générale.Pouvoirs particuliers : - Carnivore : L’alimentation de Faust est presque essentiellement constituée de viande. Disposant d’un système digestif adapté à celui d’un Ogre, ses repas sont souvent des festins, et les quantités de nourriture qu’il peut ingérer sont, paradoxalement à sa finesse morphologique, démesurées. | | |
Faust Graves-Digger. "Diggy" |
CARACTÈRE Carpe Diem.
“Cueille le jour sans te soucier du lendemain”. Cette maxime résumait ce qu’espérait vivre Faust tout le long de sa vie. Très dépendant du présent, refusant de se projeter dans le futur ou de s’attarder dans le passé, c’est sa facilité déconcertante à se focaliser dans l’instant présent qui fait que cette personne, aussi brillante soit-elle, est rejetée par la société. L’intelligence n’est pas que la finesse de la manipulation, et la connaissance presque millimétrée de l’anthropologie. Sous ces deux paramètres, Faust était un véritable génie, mais son attrait du présent, et son refus de penser au lendemain l’isolant des autres, il fut bien obligé de se rendre à l’évidence : Il devait faire un choix entre s’isoler encore plus et se couper du monde, afin de se satisfaire de créer une dernière demeure à des personnes qui sont arrivées à la fin. Cette fin, si belle, et si lugubre à la fois. Cette fin, qui se représentait comme le renouveau d’une nouvelle vie pour certains, ou un départ au paradis pour d’autres. Cette fin qui, pour Faust, n’était qu’un code barre génétique, tatoué sur l’Homme à sa naissance dans une partie intime de son corps : Son destin.
Le choix ne fut pas long, ni complexe. Il vivrait sa vie au jour le jour, souriant à la mort comme on sourit à la vie. Sa timidité était déjà loin, et de gigantesques sourires ornaient son visage de ce rictus si particulier qui offrait à Faust un air terrifiant, presque psychotique. Était-ce de la folie, ou de la bonne humeur ? Il s’agissait des deux. La folie d’une excitation face à une fin si fourbe que tous les hommes mourront de cette main vengeresse, la folie d’une excitation face à une fin si triste que des meutes de civils rincent la terre de leurs larmes chaque matin, une fin si belle que celle-ci sera à tout jamais l’endroit du dernier repos d’un mort.
Bien qu’incarnant la bonté humaine dans son quotidien, une fois en compagnie d’autres personnes, Faust ressent cette concurrence, ces conflits, peut-être même, s’imagine mourir par la main des hommes qui le dévisagent. Cette timidité maladive cache un mal-être profond, ancré en lui depuis son enfance, lorsque son père revenait ivre dans leur demeure, l’accrochait dans une cage de moins de deux mètres, et invitait ses collèges –tout aussi imbibés qu’il ne l’était-, à se railler de lui, de sa petite taille, de sa faiblesse. Le regard des autres, le fait d’appartenir à une communauté grandement minoritaire, tout ceci rendait les relations sociales de Faust très compliquées.
Ses crises de démence, annoncées par un rire extrêmement long et aigu, bien que très rares, le mettent dans un état de stase où plus rien n’a de sens pour lui, dans lequel il devient littéralement incontrôlable.
APPARENCE On pouvait voir dans les yeux de cet homme, ressentant les mains fines et angéliques de Faust, qu’il ne comprenait pas à qui il avait à faire, malgré le fait que ce dernier l’étranglait de toutes ses forces. Des mains si délicates, ornées de griffes d’ébène, qui se plantaient dans la chair de sa victime. Le regard de cet homme, suffoquant d’asphyxie, tournait dans le vide, tentant de regarder le corps de son agresseur.
Embrassant ses bras du regard, il put se rendre compte que Faust était un homme soigné. Son regard remontait lentement, envisageant ses bras recouverts d’un costume en tissu noir, dévisageant sa fine musculature, cachée par la finesse de son corps. Ses bras étaient gigantesques, tel le pied de l’homme pour la fourmi, et tout aussi puissants. Alors que son souffle se coupait, Faust relâcha sa prise une seconde, afin de pouvoir appuyer plus facilement sur sa carotide; une précision atroce qui mêlait la beauté d’un assassinat à l’horreur de la mort. Durant cette seconde, la victime put reprendre une infime quantité d’oxygène, pouvant alors continuer d’admirer son assaillant, sans même pouvoir se débattre, sans même pouvoir parler. Les longs cheveux d’argent de Faust lui tombaient plus bas que les épaules, camouflant ses yeux par leur longueur.
Les traits de son visage étaient excessivement fins, presque androgynes, lui offrait cette apparence de l’homme gentil, cachant en réalité ce tueur de sang-froid, sans remords, sans répit, enfoui à l’intérieur de son corps. Alors, la victime eut un haut-le-cœur. En appuyant trop fort sur sa carotide, Faust sectionna de ses ongles assassins la veine du jeune asphyxié, lui donnant une envie de vomir terrible tant la douleur était présente. Ses yeux se relevèrent au ciel, admirant la taille monstrueuse de son agresseur, qui devait facilement atteindre les trois mètres. Il n’avait plus pied au sol, et malgré son mètre quatre-vingt, il ne lui arrivait qu’au bas du buste. Derrière ce visage, bien trop haut pour être vu sans douleur, la victime réussit à distinguer une cicatrice, semblant partir du haut de son nez jusqu’à sa joue droite. Il observait sa cicatrice, attendant la fin, admirant la peau blanche immaculée de son meurtrier.
Dans les dernières secondes de son meurtre, Faust fit un mouvement de tête pour remettre sa mèche en place, laissant transparaître son œil gauche qui brillait d’un vert étincelant nuancé de fines lames d’or, et ce regard, ce regard si humain, fit oublier à la jeune victime la souffrance de la mort, pour se laisser bercer par le dernier souffle de la vie, gardant en mémoire un spectacle de couleurs.
HISTOIRE - ”Mal-aimé partout, mal-aimé par tous.” :
- Oppression.
« Salopard ! » C’était presque immédiat. Je vis la main de mon père se diriger droit dans ma figure, et frapper ma mâchoire d’une force telle que je ne la sentis plus avant le lendemain. Évidemment, je m’en doutais, lorsque la main de son paternel mesure, à quelques choses près, une fois et demie la taille de son propre visage, il n’est pas étonnant de subir une telle violence d’une simple gifle.
En pleine crise d’adolescence, je tentais par tous les moyens d’affirmer mon autorité contre mon père. Ma mère était partie le jour de mes quatorze ans, sous prétexte qu’elle devait aider une de ses amies à organiser son mariage. Depuis, plus de nouvelles. Certaines rumeurs, dans les rues malfamées de Feleth, disent qu’elle est morte. D’autres, qu’elle est partie rejoindre le mouvement d’Hendenmark. Mon avis restent, et subsistent, que ma mère reviendra un jour. Quant à mon père, il ne m’en a jamais parlé. La peur d’une confrontation entre une présumée mort, balançant avec une supposée disparition, personne ne saurait jamais ce qui était arrivée à Mère. La relation entre mon père et moi était chaotique, il aimait le combat et le sang, j’aimais la beauté et la vie. Père me considérait faible, lâche : Une mauviette. Par esprit de contradiction, je me laissais alors pousser les cheveux, jusqu’à ce que ces derniers n’atteignent mes épaules.
- Railleries. Ce qu’est la douleur ? Beaucoup répondront qu’il s’agit de violence. De violence physique, évidemment, des coups attribués arbitrairement dans le but de défigurer, blesser, briser, trancher, tuer, faire du mal. D’autres répondront qu’il s’agit de mots qui blessent. C’était mon cas.
Chaque jour, je devais supporter les moqueries de mes camarades, qui trouvaient toujours à redire sur ma personne. Il est vrai, avec une rétrospection sur moi-même, que je n’étais ni beau, ni futé. J’ai malheureusement hérité de mon père sur ce point : Un visage ravagé par les coups, et une intelligence qui ferait frémir de honte un nouveau-né. Alors que je me contentais de relire encore, et encore, et encore, et encore les livres qui étaient distribués gratuitement par les professeurs, me satisfaisant d’avoir quatre livres abîmés tandis que les autres en avaient une quinzaine, tous neufs, offerts par leurs familles richissimes, les capacités intellectuelles de mes confrères me faisaient perdre espoir. Il leur suffisait de lire une fois le livre, en diagonale, pour le connaître par cœur, alors que moi, digne héritier de la stupidité culturelle des ogres, je n’arrivais à retenir qu’une série de bribes effritées d’un chapitre du livre après l’avoir lu au moins trois fois entièrement.
J’étais seul. J’errais seul. Coupé du monde. Une respiration lente. Des pensées saccadées. Me retournant à chaque fois que j’entendais une voix agréable saluer quelqu’un près de moi, me rendant toujours compte qu’ils m’ignoraient, pire, me fuyaient. Étais-je un monstre, ou un adolescent comme les autres ? Laissez-moi tranquille, allez-vous en, soyez punis par la main divine de vos dieux respectifs.
- Découverte.
Alors que chacune de mes journées était un supplice, lorsque les hurlements d’un humain nous indiquaient qu’il était temps de rentrer chez nous, il ne me restait qu’une quinzaine de pas à faire pour enfin être libre, détaché des chaînes de la soumission offerte par la vie et mes origines, ces quinze pas étaient les plus durs. J’avais beau marcher vite, il me semblait que le temps s’arrêtait; que les insultes à mon égard se multipliaient comme le feraient une bande de cafards dans un appartement abandonné. Je sentais les mots, je sentais les coups, les coups des élèves qui passaient à côté de moi en me bousculant, me faisant dévier de ma trajectoire tangente qui me permettait de faire quinze pas, non pas seize. Je rentrais alors chez moi, suivi par l’un de ces enfants qui se moquait ouvertement de moi. Je m’engageais dans une ruelle, sombre, où la seule lumière était celle de mes vêtements sales qui reluisaient de graisse animale. Je sentis une main se poser sur mon épaule, et un surnom déplaisant le soutenir. C’en était trop.
D’un naturel calme, je me retournai alors dans un fracas contre le sol, allant attraper à pleine main la gorge de l’adolescent qui était allé trop loin. Je le soulevai alors du sol, le plaquant contre le mur, sentant entre mes doigts quelques bulles se former. Cet adolescent s’appelait Erik, et savait de quoi il parlait lorsqu’on s’adressait à lui dans le but d’apprendre la sorcellerie de l’eau. Peut-être essayait-il de se protéger en me chatouillant avec ses bulles ? C’était ridicule. J’avais beau être stupide, et lui intelligent, il ne pouvait se débattre de mon étreinte. Je serrais donc de plus en plus mon mouvement, entourant toute sa gorge d’une seule de mes mains, avant d’entendre un bruit étrange, comme une grosse bulle qui éclatait. Je sentis un liquide me gicler sur le visage en de nombreuses et fines gouttelettes. Alors je lâchais son cou, sentant le même liquide probablement projeté par le sorcier aquatique, fuyant d’un pas rapide en espérant qu’il ne se lance pas à ma poursuite. L’adrénaline était redescendue, je savais que s’il m’attrapait, je serais mort, il me tuerait, c’est sûr.
- ”Dangereuses liaisons post-mortem ” :
- Émancipation. « Espèce de sale enfoiré de-… » Et voilà, encore une autre. Plus je grandissais, plus les gifles que je recevais étaient violentes. Ça me faisait les joues, et surtout, ça me faisait rire. C’était douloureux, mais amusant, de voir que lorsqu’on se sied sur une autorité, le moindre petit rebelle devient un ennemi public à abattre en priorité. Il m’interdit de sortir en ville afin de me punir. Toujours par esprit de contradiction, je sortis. Je ne savais pas du tout quoi faire dehors, mais je m’en allai, marchant aveuglément en regardant dans les airs. J’observais les rues vu d’en bas, afin de me faire sentir petit, puisque ma taille exceptionnelle me démarquait habituellement des autres. Du haut de mes vingt-et-un ans, j’étais devenu un homme, de la taille de deux autres. Aux alentours de deux mètres quatre-vingt dix, je dépassais de peu mon père. Toujours pas de nouvelles de ma mère, mais je m’en moquais. Elle n’a pas fait l’effort de venir me voir lorsque j’en avais besoin, désormais, je l’ai oubliée. Soudain, je me sentis tomber en avant. Je venais d’heurter quelque chose avec mon pied, et une fois le visage au sol, une odeur putréfiée me monta à la tête. Je me plaçai sur le dos afin de voir ce qui avait causé ma chute. Je n’avais même pas le temps de crier que mon corps agissait seul, reculant, tétanisé, à la vue d’un corps en décomposition, la moitié des côtes arrachées. Cette odeur nauséabonde marquait mes vêtements, et c’est avec stupeur que je vis à son cou un collier représentatif des sorciers de l’eau. Je regardais autour de moi. En plein jour, cette obscurité représentait cette ruelle. Le corps en décomposition face à moi était celui d’Erik, que j’avais donc très probablement tué, avant qu’il n’ait le temps de faire de même. Je m’enfuyais, courant de toutes mes forces, m’éloignant du cocon familial, me ruant comme si la mort me poursuivait, toujours droit devant.
- Isolement. Assis à la table de la bibliothèque la plus éloignée des autres, je consultais des livres concernant les morts, me rendant compte que l’odeur que j’avais sentie n’était pas naturelle. En plus d’être nauséabonde par la décomposition du corps, il y avait une odeur, plus subtile, qui se cachait derrière cet amas horrible d’odeurs désagréables. Je lus donc attentivement un énorme livre à la couverture grise, nommé « Flairer la mort », me concentrant pour repérer dans le texte les mots « nauséabond », et « mortel ». Rien ne correspondait à ma recherche. Je me rappelais alors que j’avais essayé de tuer par strangulation le jeune étudiant. Je retirais donc ce « mortel » de mon filtre visuel, afin de me concentrer sur les mots décrivant les odeurs. « Odeur nauséabonde ». Je venais de trouver quelque chose qui correspondait à ma recherche. « Odeur nauséabonde », oui. « subtile odeur de gaz », oui ! Je regardais donc le nom de la mort dont Erik avait été la cible. Gangrène. La Gangrène ? C’est pourtant une maladie éradiquée depuis si longtemps… et ce n’est pas possible, l’ayant touché, j’aurais moi aussi été contaminé. Cette explication n’était pas plausible. Frustré, je posais le livre sur la table sans même prendre le temps de le ranger, me dirigeant vers la sortie, suivant le chemin fleuri de la bibliothèque, laissant glisser mes doigts dans les fleurs. Je réfléchissais alors, et tentait de me convaincre que je n’avais tué personne, que ce n’était pas ma faute, mais celle de la Gangrène. J’entendis un hurlement venir de mon dos. Je me retournais alors, et vit une jeune femme elfe, propriétaire de la bibliothèque, la main devant la bouche, vraisemblablement paniquée. Je suivais la direction de son regard, qui était posé sur ma main droite, que je baladais dans les plantes. Toutes les plantes que j’ai touchées étaient fanées. Plus que fanées, mortes. En cours de décomposition. Je pris les jambes à mon cou, ne sachant pas quoi penser, de peur d’affronter le regard de la bibliothécaire, probablement paniquée.
- Attirance Je suppliais mon père de me pardonner pour mes agissements. Je lui suppliais de me reprendre à la maison familiale, lui expliquant que j’étais terrifié, dehors, la nuit. J’avais déjà passé 72 heures dans les ruelles, n’obtenant même pas un sou de la part de vieilles personnes dont je connaissais les fils. En échange, je lui imposais la règle qu’il ne devait plus me frapper. J’étais devenu un très bel homme, à la chevelure d’argent. Mais il refusa. Sa première réaction fut de serrer le poing, et de le lever au-dessus de son épaule. Venant d’un ogre, un coup de poing n’est pas négociable : Il faut fuir, ou le parer. J’hésitais, je ne savais pas. Alors que le poing approchait de mon visage, mon corps venait –à nouveau- d’agir seul. Je serrais la main de mon père de mes deux paumes ouvertes, le regardant droit dans les yeux en sachant pertinemment ce qui lui arriverait. J’attendais, j’attendais que la Gangrène se forme. Mais sa réaction me surprit. Il n’avait aucune douleur. Je m’approchais alors de lui, afin de placer le premier coup, lorsque je fus interrompu par un de ses propos qui me laissa de marbre. « Qui es-tu ? », venait-il de me demander. Il avait instantanément perdu la mémoire. Je venais de comprendre, en me souvenant d’une certaine Nécrose Cérébrale, lue dans le même énorme livre que je feuilletais à la bibliothèque, que lorsque je touchais un organisme vivant, j’arrivais à le corrompre pour lui faire subir le terrible courroux d’une infection. Je m’amusais alors contre mon père, qui avant me battait. Je plaçais ma main contre son buste, observant ses réactions pour découvrir ce qui lui arriverait, y trouvant un certain amusement, dans le fait que le hasard ait raison de mon bourreau d’enfance. Je sentais à mon contact ses articulations se raidir. Cette fois-ci, il n’allait pas seulement être risible, mais il allait aussi souffrir. L’Arthrite Infernale ferait lentement gonfler ses articulations à un point extrêmement douloureux, tout en immobilisant progressivement son corps. Je le laissais alors là, assis au coin de la salle, le laissant se tétaniser avec le temps.
- ”Elizabeth, ma bien-aimée” :
- Elizabeth Elizabeth était une fille ravissante. Je l’avais rencontrée dans la rue, d’une façon tout à fait insolite. Elle cherchait une petite boutique ouverte pour s’acheter un nouveau haut. Pensant en connaître une, je lui servais de guide, afin de me diriger avec elle au fond de la ville. Nous discutions énormément, afin d’en connaître un peu plus l’un de l’autre. Le courant passait. Après une demi-heure de marche, je me rendis compte que la boutique en question avait fermé. Nous avions marché pour rien. Alors, elle ria aux éclats, et je ne pus m’empêcher de sourire. Depuis ce jour, je n’arrête plus de sourire. J’ai maintenant 25 ans, je suis en couple depuis trois ans avec une femme humaine merveilleuse qui me respecte malgré mon intelligence, je suis aux anges. J’eus rencontré les parents d’Elizabeth au bout d’un an. Ils étaient adorables. Sa mère était une petite humaine assez vieille, adorable, n’arrêtant pas de proposer de la nourriture ou à boire : Elle représentait le cliché de la grand-mère humaine. Quant à son père, il était un ancien guerrier réputé. Sur lui, il portait toujours ses innombrables insignes, affichant sa toute puissance au combat, mais me considérant comme son fils. Pour la première fois, j’avais une mère présente, et un père attentif. Je n’avais pas encore été frappé une seule fois. C’est à ce moment que je fis la chose la plus insensée. Le père d’Elizabeth parlait de la période où il avait rejoint le mouvement de Karl Hendenmark, et qu’il devait protéger toutes ses troupes en n’utilisant que ses mains nues. Je lui coupais alors la parole de la façon la plus impolie qu’il soit. Plaçant ma main droite dans ma poche, je me souviens en avoir sorti une petite bague, enfermée dans une merveilleuse boîte en ébène. Je l’ouvris, faisant apparaître une bague modeste, qui représentait toutes mes économies. Son père se leva de sa chaise et me fusilla du regard. Sa mère observait son mari, proposant d’aller chercher une boisson sucrée pour apaiser l’ambiance, mais le mal était fait. Je venais de déclarer ma flamme à Elizabeth. Son père ouvrit la paume, reculant sa main. Je voyais de nouveau les gifles de mon père, me sachant en danger. Je me contentais de baisser la tête en attendant sa paume heurter mon visage. Je me trompais. Il me tapota l’épaule vivement, malgré sa poigne puissante. « Si ma fille est d’accord, tu seras le bienvenu dans la maison, fils. »
- Mariage J’étais gêné de porter un si beau costume. Offert par le père d’Elizabeth, c’était un merveilleux costume noir, des plus chics. Je me sentais beau, pour la première fois. Face à un miroir, je venais de me rendre compte, au bout de 25 ans, que j’étais beau. Mes yeux étaient constamment cachés, et pourtant, lorsque je les dévoilais, ils étaient magnifiques. Ce vert si bien avec ma tenue qu’on aurait dit que leur couleur avait été faite pour cette tenue, et non l’inverse. Alors je souriais. Encore, et toujours, comme chaque jour depuis trois ans. Dans moins d’une heure, le mariage commencerait, et le couple que nous formons avec Elizabeth sera solidifié, je serais bien dans ses bras, et je la rendrais heureuse. Et c’est à ce moment que j’en vin t à une conclusion horrible, qui mit mon couple en danger. Pendant ces trois ans, lorsque je la touchais, je devais trouver une excuse pour porter des gants, ou le faire sans poser ma paume. Et maintenant ? Et si je caressais son épaule un soir, involontairement ? Je la transformerais en une goule horrible, atteinte d’une infection abominable dont je serais le créateur. Je refuse de me marier avec elle sans le lui avoir dit. Nous approchions de l’Autel. J’étais de plus en plus anxieux à l’idée de lui révéler le pot aux roses. Elle était si belle dans cette tenue blanche. Elle était magnifique, plus belle que jamais, et même aujourd’hui, il m’est impossible de dire à quoi je pensais à ce moment là. J’étais troublé, par elle, par sa beauté, par sa toute-perfection. Elle lâcha le bras de son père, me laissant avancer à mon tour, ayant à mon bras sa mère qui me considérait déjà comme un fils. L’assemblée n’était composée que de membres de la famille d’Elizabeth, et ça valait peut-être mieux. Si mon père était venu, il serait probablement arrivé ivre-mort, prêt à se battre. Je ne voulais pas de ça, pas de ça un jour aussi idyllique que celui-ci. Alors, sa mère lâcha mon bras, et je m’approchais d’elle. Mon cœur battait si vite, je pensais qu’il se décrocherait. « Je dois te dire quelque chose… » avouais-je en bafouillant, tout en murmurant pour ne pas être entendu. Elle me sourit. « Moi aussi je t’aime », me répondit-elle. Elle savait pertinemment que je ne souhaitais pas parler de ça. Alors, suivant sa volonté, j’acceptais de me taire. Les vœux étaient prononcés. J’affirmais d’un « oui » peu encourageant lorsque la question me fut posée. Elle fit de même. J’étais désormais sien, elle était mienne. Elle enfila une bague aux allures extrêmement chères à mon doigt, tandis que j’y déposais ma bague modeste, remplaçant le prix de mon bijou par l’amour que je lui portais.
- Noces. Nous étions dans la suite de l’une des plus belles bâtisses de Feleth, savourant des alcools inconnus, et goûtant au plaisir de la vie. Mais toute cette journée, aussi merveilleuse soit-elle, je pensais à ce que je devais lui avouer. Je devais lui expliquer que si je la touchais, elle risquait de mourir. Je ne voulais pas penser à ça, mais j’étais obligé de le faire. Je n’eus même pas le temps de lui parler, elle me coupa dans mon élan. « Que voulais-tu me dire ? », demanda-t-elle, un sourire aux lèvres. Je n’avais pas le courage de lui dire en face. Je me contentais de retirer les gants de soie qui ornaient mes mains, pour saisir l’un des fruits dans la corbeille garnie. Celui-ci commença à pourrir immédiatement dans ma main, jusqu’à finir complètement noir, ridé comme un pruneau. Elle baissa la tête. Elle comprit que je ne pourrais jamais la toucher sans mes gants. La chose était dite, elle savait quel était mon horrible secret, et pourtant, elle ne semblait pas dérangée. Je trouvais presque ce moment malsain, me posant des milliers de questions durant son silence qui me paraissait interminable. « Enlève ton gant. Je veux voir si tu me feras du mal en me touchant. », me dit-elle d’une voix calme. Évidemment, je refusais. Je savais de quoi était capable l’art occulte des infections. Mais elle s’en moquait. Pour elle, l’amour était plus fort que la mort, et elle savait que si je la touchais, mes sentiments pour elle envoûteraient le maléfice et feraient rompre le sort. Je continuais de refuser, n’acceptant pas un taux de réussite inférieur à 100%. Je ne voulais pas lui faire de mal. Je ne voulais pas la rendre malade. Je ne voulais pas la perdre. Elle n’en fit qu’à sa tête, et s’approcha de moi. Sa longue robe blanche traînait sur le sol, dans un mouvement de balancier presque hypnotisant, que je regardais, admiratif. Je sentis la main brûlante d’Elizabeth se poser sur mon gant, afin de me le retirer dans une extrême lenteur. Elle retira de la même façon mon second gant, les laissant tomber sur le sol, laissant ses doigts près des miens, à quelques centimètres d’un toucher. « Si je devais mourir, je voudrais mourir avec toi ». Ses mots étaient terribles. Je venais de recevoir cette phrase comme une épée me tranchant la gorge. J’imaginais ce qu’il se passerait si elle touchait mes doigts. Perdu dans mes pensées, je regardais fixement devant moi, me moquant de ce qui m’entoure, dans un état de réflexion proche de l’hypnose. Puis, je sentis ses doigts s’entrelacer dans les miens. Il était trop tard pour faire marche arrière. Je priais, je priais aussi fort que je pouvais pour qu’il ne lui arrive rien. Je fermais les yeux, me blessant gencives à serrer les dents. J’ouvris alors les yeux, observant ses mains. Elle n’avait rien. Intacte. Aucune blessure, aucun trouble. Je la regardais dans les yeux, et je vis une larme couler le long de sa joue. Ce n’était pas une larme de joie. Dans ses mains commençaient à se nécroser les tissus. Cette maladie, qui commençait à la ravager, était la Gangrène. Je fis un mouvement pour retirer mes doigts, mais elle ne me laissa pas faire. Elle conserva ses doigts dans les miens, pleurant de douleur, tout en se serrant contre moi. Elle me chuchota, aussi fort qu’elle le pouvait, bien que ses mots n’étaient à peine plus forts qu’un murmure. « Promets-moi… promets-moi de penser à moi, toujours. Je t’aime, Faust. Je t’aime, je t’aime, je t’aime. », elle répéta ces mots jusqu’à son dernier souffle, et plus encore. À bout de souffle, je voyais ses lèvres remuer, à travers mes yeux gorgés de larmes qui coulaient sur mes joues. J’essayais de ne pas pleurer, si j’haletais en gonflant ma poitrine, je lui ferais mal. Je voulais profiter de chaque seconde avec elle. C’était Elizabeth, elle était, et elle restera ma femme. Je me blottissais alors dans ses bras, laissant les larmes couler contre son visage, qui s’éteignait, allongé contre mon torse. Les larmes avaient fait couler son maquillage, mais elle souriait.
EN CE QUI VOUS CONCERNE | | | À quelle fréquence serez-vous present sur le forum ? : Je n’ai pas de limite. Disons que si je n’ai rien de prévu dans la journée, je peux y passer plus de douze heures consécutives s’il y a du monde à qui parler ! Comment avez-vous découvert le forum ? : J’en faisais déjà partie avec un personnage abandonné il y a longtemps (comme expliqué par Cb) : Ether N. Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? : Aucune remarque. C’est très beau.
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Dernière édition par Faust Graves-Digger le Sam 28 Sep 2013 - 17:41, édité 2 fois |
| | | Faust Graves-Digger Le fossoyeur.
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 3 Aoû 2013 - 21:43 | |
| CE MESSAGE EST SÉPARÉ DE MA PRÉSENTATION. Avec le temps, il se pourra que ce qui se trouve dans le message qui suit (l'apparence du code que j'utiliserais pour mes RP, les maladies) vienne à changer. Étant donné que mon message change de lui-même à chaque édition (ajout de sauts de lignes, changement de couleurs), je préfère le dissocier du message comprenant mon histoire, mon caractère, et mon apparence, afin de laisser ces derniers intacts. Merci de votre compréhension.TEST RP. Faust Graves-Digger - Faust Graves-Digger
Faust était présent dans le cimetière où il travaillait. Trois mois après la mort d'Elizabeth, venant chaque jour se recueillir sur sa tombe, il avait vu passer de nombreuses personnes, et couler de nombreuses larmes sur les tombes des défunts. Faust entendait les remords, les regrets, les excuses des vivants, et cherchait toujours à les réconforter. Lui-même avait des milliers d'excuses à présenter à une seule personne, sa bien-aimée. De plus, Faust savait que si cette dernière était encore en vie, elle aurait aimé que tout le monde soit chéri autant après la mort qu'elle l'est elle. Afin de respecter cet engagement qu'il s'était fixé, seul, en l'hommage de sa femme, il décida de s'enrôler dans ce cimetière. En tant que fossoyeur, son travail était de s’assurer de la bonne harmonie de cet endroit, qui était après tout le dernier lit des âmes des défunts. Il mettait son cœur à la tâche, pensant à une personne qu’il aimait tant. Alors que beaucoup meurent de façon simple, comme de vieillesse, ou d’un simple arrêt cardiaque, qui meurent dans leur sommeil, ou en jouant à des jeux, certains autres meurent de maladies, attaqués par des rats, des chiens, dévorés, dévorés par les chiens, dévorés par la maladie, rongés comme des os de l’intérieur, comme cette gangrène l’a fait pour Faust. La gangrène est impitoyable : Elle ronge quiconque se trouvant sur son passage, ne laissant derrière elle qu’une mort atroce, la désolation de décès en série, explosant comme des bulles les plus infimes partie d’un corps n’ayant rien demandé.
Faust Graves-Digger ▬ « Je… suis… désolé… » murmurait Faust, d’un air las, d’un ton plat, de façon lente. Il répétait cette phrase d’innombrables fois, tout en soulevant des mottes de terre, afin de recouvrir le corps de jeunes gens morts de vieillesse, souriant alors.
Faust Graves-Digger ▬ « J’aurais espéré que tout se finisse comme ça pour nous aussi », dit-il, puis il répéta ses mots. « Je… suis… désolé… », effectuant alors son travail d’une lenteur extrême, méditant sur le sens de la vie, et de la mort. Copyrights : "Madouce" sur Epicode LES MALADIES Une maladie est infligée à l'adversaire à chaque fois que celui-ci est en contact avec les paumes ouvertes de Faust. Terribles ou inefficaces, aucune n'est néanmoins capable de tuer, même si dans son histoire, Faust tue son père avec l'Anémie et la Nécrose Cérébrale. Afin de limiter un peu les handicaps, qui peuvent en excès déranger l'autre rôliste, la maladie n'est valable que dans le sujet comprenant Faust, et se termine lorsque le sujet se clôt. De plus, toujours par souci de respect pour le RP de mon adversaire, les maladies ne se cumulent que tous les trois coups, à charge d'un coup par post. Afin de savoir quelle maladie est infligée, il n'existe pas de "lancer dé à 20 faces" sur le forum, c'est pourquoi je le ferais moi-même depuis un simulateur de lancer de dé. Chaque face du dé correspond à une maladie (ou une inefficacité si le chiffre indiqué est 1). Chiffre obtenu au dé : 1 ▬ Aucun effet. Maladies bénignes Chiffre obtenu au dé : 2 ▬ Arthrite.Irritation, inflammation des articulations.Chiffre obtenu au dé : 3 ▬ Chancre de rouille.Démangeaisons, tuméfactions, douleurs et spasmes musculaires.Chiffre obtenu au dé : 4 ▬ Ataxie.Douleurs dans tout le corps, raideur progressive des membres.Chiffre obtenu au dé : 5 ▬ Anémie.Perte d'énergie, et grand essoufflement.Chiffre obtenu au dé : 6 ▬ Fièvre des marais.Forte température, crise de délires.Chiffre obtenu au dé : 7 ▬ Jaunétique.Tâches sombres bleutées, très sensibles au toucher.Chiffre obtenu au dé : 8 ▬ Déprime Spasmodique.Spasmes musculaires, montée de flemme.Maladies sérieuses Chiffre obtenu au dé : 9 ▬ Dermotoxines.La peau est irritée, couverte de plaques rouges.Chiffre obtenu au dé : 10 ▬ Putréfaction infernale.Somnolences, putréfaction lente de l'endroit touché.Chiffre obtenu au dé : 11 ▬ Dégénérescence Musculaire.État de faiblesse grave, grande mollesse des muscles.Maladies graves Chiffre obtenu au dé : 12 ▬ Arthrite infernale.Gonflement douloureux des articulations, tétanie progressive des membres.Chiffre obtenu au dé : 13 ▬ Nécrose cérébrale.Perte rapide de mémoire, et des facultés de raisonnement.Chiffre obtenu au dé : 14 ▬ Spasmophilie.Violents frissons, terribles spasmes musculaires.Chiffre obtenu au dé : 15 ▬ Le Chancre des Cendres.Puissantes brûlures dans tout le corps, formation de cloques sur la peau.Chiffre obtenu au dé : 16 ▬ Tremblote.Spasmes incontrôlables, fatigue chronique.Chiffre obtenu au dé : 17 ▬ Le Sombre Cœur.Essoufflement rapide, grande faiblesse musculaire.Chiffre obtenu au dé : 18 ▬ Désynchronisation.Grande maladresse, état de confusion.Chiffre obtenu au dé : 19 ▬ Leptospirose Biliaire.Grande susceptibilité, crises de violences passagères, et légère démence.Chiffre obtenu au dé : 20 ▬ Gangrène mentalePerte des facultés de raisonnement, mentales, envie de ne rien faire, somnolences.
Dernière édition par Faust Graves-Digger le Mer 14 Aoû 2013 - 18:03, édité 1 fois |
| | | Camelle Elwhang ♘ | Elh
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Mar 6 Aoû 2013 - 17:19 | |
| BONJOUR ET... Non pas bienvenue du coup! Bande de Belettes, vous me frustrez, jpeux plus souhaiter la bienvenue à n'importe qui! Pfff ! *part bouder* Bon mon ptit Faust ! Jsuis désolée de l'attente déjà, mais j'ai un petit soucis au doigt qui m'empêche de taper vite, longtemps et sans appuyer sur 3 touches en même temps xD Mais comme tout vient à point à qui sait attendre, voilà ton bonbon à la cerise: ma super rarissime super trop klass correction ! Epaté hein ? Donc entrons dans le vif du sujet ! Tout d'abord, j'aime beaucoup! Ton style est très plaisant et le personnage totalement attendrissant et atypique malgré tout. Cependant, il y a des petites incohérences qui me chiffonnent un peu tu vois! Par exemple le fait que tu ais inversé pouvoir particulier et talent divers. Le premier concernant le pouvoir (la séduction donc pour toi) et le deuxième... Tout et n'importe quoi concernant ton personnage. Donc je te demanderais de modifier ça ! Ensuite et là, c'est un peu plus gros que ça... L'école et le mariage. Nous sommes au moyen âge et donc, seul les bourgeois et les nobles ont accès à un minimum d'éducation. Education dans une 'école', qui je précise, est sous la tutelle d'un ordre religieux. Aussi il est peu probable que Faust ait reçu un enseignement de là. Cela dit, il peut tout à fait avoir appris à lire mais pas au travers du tutorat ecclésiastique mais plutôt auprès d'une personne qui aurait bien voulu l'aider. Sa mère peut être puisqu'elle n'est partit qu'à ses 14 ans. Le second hic est que Kaull n'a eu accès au pouvoir seulement quatre ans avant le placement du BG. Donc sa mère n'a pas pu s'enrôler dans la rebellion qui est née un an à peu près après l'accession du Roi Fou. C'est un petit anachronisme... A moins que les rumeurs sur ta mère la concerne à l'heure actuelle et non quelques temps après son départ. Auquel cas, ce sera bon! Le troisième petit accrochage mais ça, on te l'a déjà fait remarquer sur la CB c'est pour le mariage. Je t'ai déjà donné toute les informations, je te laisse donc modifier. Ensuite vient le détail de la bibliothèque: le soucis c'est qu'il n'y a pas d'imprimerie, donc les livres sont rares et très précieux. Je doute qu'un jeune homme lambda entre comme ça, surtout pour consulter des livres plutôt obscurs. Essaie de trouver une explication valable... Et réfère toi au premier commentaire aussi xD Pour ce qui est des pouvoirs ! Alors le lancé de dé... Sur des joueurs... Je ne suis pas pour du tout! Aussi, les maladies sont plutôt acceptables et bien détaillées mais ne concerneront que les PNJ's et les joueurs CONSENTANT. Pour ça, nous survolerons un temps tes rps pour nous assurer du bon respect de ce véto. Même si ce sont tes seuls capacités, dis toi qu'en face, les joueurs ne sont ptêtre pas d'accord que tu rendes fou leur perso! Et enfin, juste une question: Tu souhaites faire fossoyeur dans quelle ville et pourquoi ? Tu n'en parles pas du tout alors que je pense qu'un métier comme ça... C'est pas rien, surtout vis à vis du personnage qu'est Faust! Je te demande de préciser tout cela ! Ah et j'allais oublier! Tu ne peux pas être sans groupe! Aussi, je te propose d'être Solitaire ou de te rattacher à l'Alliance des Ombres-Confrérie des Ombres: ces deux groupes sont les plus à même de répondre à ton personnage. Si tu as des questions sur la Confrérie, n'hésite pas à envoyer un message privé à Bael Nergal, le modérateur du groupe. Un fossoyeur, ça peut toujours être intéressant pour des assassins ! Bon courage pour les modifications, je reste à ton entière disposition, Ta future admin préférée, Camelle :) |
| | | Faust Graves-Digger Le fossoyeur.
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Mer 14 Aoû 2013 - 18:07 | |
| Bonjour Camelle ! Je vous annonce mon grand retour, et aussi la bonne nouvelle que j'ai réussi, depuis mon téléphone, à éditer mon message principal et secondaire sans que les cassures de mise-en-page soient trop importantes ! Donc, tout a été modifié ! Pour les lancers de dés, il est évident que je ne le ferais pas contre l'accord d'un joueur, et comme je l'ai précisé je crois, une fois le RP fini avec le joueur en question, la maladie s'enfuira. Je ne peux, de plus, pas tuer simplement avec les maladies (contrairement à ce qui s'est passé dans l'histoire, avec le père notamment.)
Pour sa mère, il s'agissait en effet de rumeurs au présent, puisqu'elles continuent d'avoir lieu en parlant de Faust. C'est ma faute, j'ai donc modifié la phrase de façon à la mettre au "présent narratif".
J'espère que tout ira pour le moment. J'ai remplacé les livres par des fiches gribouillées, l'école et les professeurs par une salle où se rassemblent les enfants démunis pour avoir un semblant d'éducation aussi important que le QI d'Ève Angéli.
Bisous-bisous à tous, de la part de votre Psychopathe-Attendrissant-Presque-Emouvant. (PAPE) |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Dim 22 Sep 2013 - 17:45 | |
| Est-ce que tu es encore là ? Je crois que Cam a un peu oublié. ^^ Je te validerais aussi, si tu veux. |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 28 Sep 2013 - 16:28 | |
| Toujours présent chef ! En attente de vos ordres et de votre gradation, sergent ! |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 28 Sep 2013 - 17:35 | |
| Alors, comme l'a dit Camelle, je rappelle que les joueurs sur lesquels tu voudras exercer ton pouvoir devront être consentants.
Ensuite, "D’autres, qu’elle est partie rejoindre le mouvement d’Hendenmark." Elle serait donc partie pour rejoindre un mouvement qui naîtra 3 ans plus tard ?
Pour la bibliothèque, c'est peu fréquent mais reste possible.
Enfin, je ne comprends pas pourquoi tu ne t'es pas mis dans le Royaume, car tu sembles y être relié. Le groupe du Royaume ne sert pas uniquement aux Capes Blanches et aux gardes mais aussi aux citoyens. |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 28 Sep 2013 - 17:40 | |
| Les rumeurs sont rapportées de maintenant. Elle serait partie et aurait rejoint le mouvement trois ans plus tard. Dans tous les cas, je compte faire un petit RP (seul ? Accompagné ?), ou la mère de mon personnage apparaîtra, de façon directe ou indirecte ! Mais puis-je ne pas en dire plus ? Haha.
Je m'ajoute donc au Royaume, peut-être ferais-je plus tard partie d'une guilde. Merci pour ce renseignement. |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) Sam 28 Sep 2013 - 17:52 | |
| L'attente se termine presque. Bienvenue. ^^ Je te valide, n'oublie pas de modifier ton profil et passe ici pour ton rang :
Néro, Elem est venu ici... |
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| Sujet: Re: Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) | |
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| | | | Présentation de Faust, le Fossoyeur. (Prepare to die!) | |
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