''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Prisca - Innocence Maudite

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Prisca



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Prisca
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Prisca - Innocence Maudite _
MessageSujet: Prisca - Innocence Maudite   Prisca - Innocence Maudite EmptySam 5 Oct 2013 - 10:09

 * * *

Personnage

Nom : Aucun
Prénom : Prisca
Rang : Innocence Maudite
Âge : 13 ans
Sexe :
Race : Semi-elfe bien que se pensant humaine.
Classe : Illusionniste
Métier : Aucun
Croyances : Aucune. Ça fait longtemps qu'elle n'a plus d’espoir.
Groupe : Solitaire

Équipement : J’ai depuis longtemps appris à ne pas accorder d’importance au choses, matérielle ou non. Il suffit que j’oublie ne serais-ce qu’une fois de faire le rituel qui m’empêche de dormir où que je m’énerve un peu trop pour que tout parte en fumé. Je ne garde donc sur moi que le strict minimum. C'est-à-dire à dire une bourse pendant à mon cou contenant le nécessaire pour mon rituel et un bracelet à mon poignet. Je ne pourrais jamais m’en séparer. Il est constitué d’une fine chaine en argent dans laquelle est incrusté un morceau de bois de chêne poli au point que l’on pourrais croire que c’est une pierre précieuse. Ça m’a couté cher de faire fabriquer se bijou mais j’y tenais beaucoup, il représentait le bonheur que j’avais connu il y a longtemps. Un mot que j’ai depuis oublié.
Talents de combat physique : Agile et rapide mais sinon plutôt faible.
Talents de magie : Un claquement de doigts et hop ! Vous voilà transpercé par un sabre. Un autre et vos yeux éclatent, giclant sur vos joues pâles. D’un simple geste anodin elle créé ce qu’elle souhaite. Son imagination sans borne lui offre beaucoup d’opportunités pour faire souffrir…votre esprit. Car si la douleur vous semble bien réelle, ce qui vous déchire ne l’est pas. Doué dans le domaine de l’illusion, vous pouvez être heureux qu’elle ne l’utilise pas souvent.  Quoi que… et si vous l’agacer ? Ce n’est qu’une enfant après tout, même si son passé l’a rendu plus mature.
Talents divers : A tendance à attirer la pitié des autres sans le vouloir.
Pouvoirs particuliers : Elle n’en a pas besoin. Ses illusions n’ont jamais laissé aucune chance à ceux touché.

Apparence physique :
« Votre regard parcoure le paysage soudainement embrumé. Le temps semble s’y être accordé une pause tendit qu’un air étrange vous fait frissonner. La mélodie de ce lugubre vent résonne sans fin à vos tympans mais l’idée de s’enfuir ne vous effleure pas. Vous savez d’avance que c’est impossible. C’est tel les cauchemars où l’on cour désespérément sans pour autan avancer. L’humidité ambiante vous donne l’impression que la brume pleure. Inquiet, vous l’observé de coin de l’œil s’écarter non loin. Une silhouette s’y découpe.  C’est une jeune enfant. Très jeune, du genre innocente et naïve. Tous en son corps incarne la paix et la beauté à l’état miniature. Pourtant c’est la pitié qui vous empoigne votre cœur  frappé par l’aura de tristesse sans espoir qu’elle dégage. De ses doigts fins semblant fait de verre elle écarte quelques mèches immaculées de son visage puis relève la tête pour vous le montrer. Ce sont deux grands saphirs humides que vous devez alors affronter. Tel des cris de détresse ils vous transpercent, attisant votre peine. Vos malheurs vous semblent futiles par rapport aux siens, même s’ils vous sont inconnus. Toutefois elle vous tend la main pour vous aider et offre un merveilleux sourire des plus pur. Votre cœur chavire devant cette colombe enchainée par la misère de sa vie. Nulle personne égoïste ne le reste bien longtemps en présence de cette mignonne petite fille. »

Extrait du journal du scientifique Scora Serra, 23 janvier – 8h49

---------------------------------------------------

« Je ne comprend pas. L’ange que j’ai recueillis ce matin même semble subir une transformation. Ses cheveux mi-longs d’un blanc intense se noircissent un peu plus à chaque secondes. Allant de la racine jusqu’aux pointes l’étrange phénomène a duré précisément une minute. Il semble avoir débuté lorsqu’elle c’est endormis. Par précaution je l’avais attaché avec des chaines solides, craignant qu’elle ne résiste au traitement qu’on m’avait ordonné de lui administrer. J’ai bien fait car une poignée de secondes plus tard elle ouvre les yeux. Eux qui étaient auparavant unique le restent mais d’une autre manière. Le sang y semblait omniprésent. C’était une toute autre personne. Elle rigole hystériquement à l’instant où j’écris ces lignes. Je vais chercher un sédatif puissant, comprenant que le liquide que j’avais injecté dans ses veines n’était pas celui que je pensais, censé lui donner une bonne dose d’énergie. J’avais du prendre par erreur celui qui d’apparence lui ressemblait, renfermant un démon des plus vil. Je revins dans la pièce et fis tomber ma seringue en la découvrant vide. [Écris semble-t-il à la vas vite] J’ai peur. Les lumières s’éteignent. Je vais mour… [Des taches de sang couvrent la fin du texte]. »

Extrait du journal d’un assistant scientifique, Lucas Gautier, 23 janvier – 23h15


Caractère, personnalité : Voyez vous le lac, là-bas ? Oui, celui qui semble fait d’un rond parfait et dont la surface est lice. Il pourrait faire penser à mon esprit. D’apparence calme et imperturbable, peu sont ceux qui en voient le fond…et encore plus rare les chanceux qui survive après cette intrusion mentale. Car peut de gens au monde est capable de supporter sur ses épaules autan de misère, et encore plus à un âge aussi jeune que le miens. D’après les autres, je suis du genre insensible lorsque je n’aime pas quelqu’un. Voir même sadique. Je ne comprends pas pourquoi ils disent ça, le derniers qui m’a embêtait je lui ai juste fait quelques illusions pour qu’il aille à l’hôpital… et il y est toujours. Mais bon, faut bien s’amuser quand on a une force que les autres ne contrôle pas. Avoir eu l’esprit d’un démon illusionniste dans mon sang doit bien avoir des avantages de temps en temps. Pour le reste il parait que je suis un peu trop gentille. Je ne vois vraiment pas comment le mot « trop » et « gentille » peuvent s’allier dans une seule et même phrase. Surtout lorsqu’elle contient aussi peu de mots. Personnellement je ne trouve pas que j’exagère, mais je reste une enfant malgré tout. J’évite de me lier avec qui que ce sois et refuse chaque amitié qui se présente, sachant que tous ce qui m’est cher disparaitra un jour à cause de cette malédiction qui pèse sur moi. Bon, ce n’est pas un super résumé de mon caractère mais que voulez vous, se décrire est toujours ardu. Vous n’aurez qu’à voir par vous-même.  

Histoire :

L’histoire commence
Car notre vie avance
Oublié par la chance
Voici mon enfance

Comme la plupart des êtres, vivants ou non, je n’ai plus beaucoup de souvenirs d’avant mes dix ans. Et pourtant je suis jeune. Lorsque je cherche à retrouver cette mémoire perdu elle s’efface à moi, échappant à mon esprit. Toutefois dans mes rêves ils se déchainent jusqu’à ce qu’ils deviennent cauchemars. Pourtant pour rien au monde j’aimerais qu’ils arrêtent de me hanter. Car c’est notre passé qui forge notre présent et nous prépare au futur. Et c’est aussi lui qui me rappel ma mission et me donne l’énergie de vivre. Je n’ai pas le droit de faillir. Je n’ai pas le droit de dormir. Je n’ai pas le droit de mourir. Sinon, des milliers d’innocents vont périr.
~~~~~~~~~
Mon souvenir le plus lointain est chaleureux. Un peu trop, même. Des flammes tous ce qu’il y a de plus normales, lèchent inlassablement un beau bois de chêne à présent enrobé de cendres et de braises. Je suis devant, les larmes coulant à flot, sous le choc. Ce bois, c’est tout ce qui reste de l’orphelinat où je vivais. C’était la deuxième fois que le feu me volait ma famille. Je me mis à le détester, et à  haïr les inconnus qui l’avaient emmené avec eux. J’ai bloqué la sortie du bâtiment une fois dehors. Je savais mes amis déjà mort. Il fallait que les assassins paie. Et c’est moi, fillette de huit ans, qui m’en étais chargé.
Par la suite j’avais marché au hasard, pensant ne plus avoir longtemps à vivre dans cette infinie plaine couverte d’un manteau de brume. Mais c’est alors que l’espoir m’avait quitté que j’aperçus une ombre. Il ne fallut quelques pas pour découvrir un homme nimbé de blanc. Comme il semblait avoir peur de moi je lui tendis une main, paume ouverte, indiquant que je ne voulais que l’aider. Il l’attrapa doucement et me pris dans ses bras. Fatigué par mon voyage dont j’ignorais la durée je m’évanouis.
Lorsque je rouvris les yeux il était là. Un autre aussi. Ils me sourirent et nous discutâmes un petit moment. Ils étaient vraiment gentils. Quand ils apprirent mon malheur ils proposèrent immédiatement de me donner un fortifiant car ils craignaient pour ma vie. Il est vrai que je me sentais faible malgré ma sieste et le repas que nous venions de prendre. J’acceptais.
Dans les couloirs menant au labo ou j’allais recevoir mon traitement je croisais un grand nombre d’Hommes En Blancs. Certains étaient grognons, d’autre sympathique. Il y avait de tout. Je leurs offris mon plus beau sourire. Enfin nous arrivâmes. Celui que les HEB appelaient l’Assistant était inquiet. Je crois que c’est la première fois qu’il faisait ça. Le premier HEB que j’avais vu dit qu’il y avait une urgence et que l’Assistant devrait se débrouiller sans lui. Ce dernier devint blanc et je me dis qu’il devrait s’administrer le remède lui aussi. Sa main tremblé et hésita longuement lorsqu’il prit un flacon où il plongea la seringue. Il la gorgea d’un liquide rouge emplis de taches noires puis se tourna vers moi, toujours aussi peu rassuré. Il m’injecta le produit là où l’HEB avait dit c'est-à-dire à mi chemin entre mon nombril et ma poitrine. Je sentis mes forces disparaitre et mes paupières se fermer d’elles même. La suite m’est inconnue.    

Blanc et rouge se mêlent
Le démon se réveille
L’ange pleur sous son aile
Ses yeux deviennent vermeils

Mes rétines ne pourront jamais oublier ces images qui les ont marquées à vif. Sur les murs aussi purs que les ailes d’un ange des marques écarlates se dessinaient allègrement. Tel un feu sanglant elles brulaient la pureté de l’endroit pour transformer ce paradis de paix en enfer blanchâtre. Sans vraiment comprendre je me lève. A mes cotés j’aperçois des cadavres. Ils sont tellement difformes que je n’arrive pas à dire si ce sont des démons ou des humains. Je parcoure de long en large les tunnels souillés par le sang de mes sauveurs, et finit par remarquer que si mon corps ne porte pas la moindre blessure, il est entièrement recouvert par ce liquide rouge semblable à ces flammes meurtrières qui m’ont avalé mes deux familles. Je fulmine, même si cette fois elles ne brulent pas, elle reste chaudes et assassines. Je les déteste. Elles venaient de m’arracher mon troisième foyers qui m’avais était offert.  

Le sang semblable au feu
Brule ce qui m’est précieux
Et souille mes yeux bleus
D’un passé malheureux


Je me souviens avoir résidais dans cet hôpital sinistre, avant d’avoir craqué et d’être partis en quête de vie. Heureusement bien que je ne le sache pas auparavant, une petite ville était plantée non loin. Pensant avoir enfin de la chance, j’y entrais joyeusement. Je fis ami-ami avec des habitants et tout allé pour le mieux. Lorsque la nuit tomba je compris que finalement j’allais encore être. Bien que tous sachent que je n’avais nulle part où dormir ils m’abandonnaient sans remords pour rejoindre leurs doux chez-eux. J’ai beaucoup pleurée, seule, dans mon coin. J’en suis même venue à vouloir un peu de ce feu démoniaque pour réchauffer mes pauvres membres que la neige tombante avait gelés. Cachée sous mes cheveux humidifiés par mes larmes et la neige fondu, j’aperçus une main tendu. Je levais mes yeux humides et découvris un couple habillé en haillon qui me souriait gentiment. Je leur souris également et attrapais la main enveloppée de moufle rapiécé pour me relever. Ils m’invitèrent chez eux et m’avouèrent qu’ils avaient toujours voulu avoir une fille mais qu’à cause d’un problème chez la femme ils ne pouvaient en concevoir. Je finis même par les convaincre de me dire le nom qu’il lui aurait donné. Prisca. Quel joli nom. Par la même occasion je leur dis le miens, loin d’être aussi agréable à l’oreille que celui qu’ils avaient dit. Ils me dirent tout de même qu’ils l’aimaient bien et ça me fit chaud au cœur. Vers la fin de la discutions nous avouâmes d’un même souffle que nous souhaitions vivre tout les trois comme si j’étais leur fille. Nous éclatâmes de rire, comblaient. Nous n’avions rien, mais nous avions au final bien plus que nécessaire.

Quand l’espoir pointe son nez
Prend garde à la vérité
Dont la sentence va tomber
Sans que l’on puisse t’aider


Au petit matin, réveillé par le chant du coq, je me levé lentement. Il me fallu quelques secondes pour comprendre. Je dormais sous amas de planches calcinées. Elles étaient encore tièdes. J’en sortis péniblement et observais les alentours. Le visage de mes parents adoptifs avait brulé. La vérité m’avait rattrapé. Il était temps de l’accepter. J’étais mon propre danger.

On nous dit souvent de ne faire confiance qu’à sois même. Mais que faire lorsque notre propre conscience nous trahis ?

En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Cela dépend, je devrais mettre moins d’une semaine à répondre à mes RPs mais je ne serais pas trop présente sur la CB où le flood.

Comment avez-vous découvert le forum ? Wylda me l’a conseillée.

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ?
Rien à redire, c’est le meilleur que j’ai vu.


Test-RP

Je n’ai pas vraiment un niveau de RP super… mais je fais avec.

✗ Je sentis mon cœur flamboyer comme jamais auparavant. Les flammes de la rage déferlaient des flots de haines dans mon esprit, le transformant vite en lac de lave. Mes idées n'étaient plus que néant, ma logique avait fondu en même temps que mon calme réputé dans l'académie. Je frémis de plus en plus, au point d'être soudain pris de convulsions. Une veines jaillit de ma tempe, chose rare, accompagnant à la perfection la crispation de mes mains à présent fermement closes. Des envies de meurtres tintèrent de sang mon âme encore pure de ce genre de scène. Mon environnement me semblait rouge. Je voyais rouge. Ma main tremblante se posa lentement sur ma joue, ne comprenant pas. J'entendis mes lunettes tomber et se briser, provoquant au passage un jet de lames miniatures sur mes mains. Deux paires en un et même jour. Mon record. Une odeur nouvelle et attirante emplis l'air. Celle du sang. Ce n’était pas moi qui l’ai trouvé attirante, non. Ce n'est pas mon genre. J'irais même jusqu'à assurer que je déteste cette odeur que je n'ai que trop sentit lors de mon enfance à l’hôpital. C'était ce monstre qui se trouvait devant moi. Celui qui se disait être mon frère. Celui qui je devais l'avouer, me ressemblait beaucoup en apparence. Celui qui martyrisait à cou de mots violents la paix que j'avais depuis peu réussis à mettre dans ma vie. Il aimé mon sang. Il était identique au siens. Il pouvait le sentir. Et moi aussi.  

✗ C'est donc ça un Grand Cannibale? Cette créature immonde et impressionnante ? Ses yeux n'étaient plus que deux fines fentes emplis de sang. Quand au reste... Des griffes longues aux bouts recourbées, projetaient des reflets mortels sur l'acier des casiers. Ses crocs acérés ruisselaient d'une bave nauséabonde qui les faisait briller d'une manière sinistre. Sa peau semblait bouillonner de la même chaleur que ma colère, changeant même de couleur tout en se recouvrant d'arabesques noires. J'observais un moment la monstruosité qui me faisait fasse alors qu'une goute écarlate tombait de mon visage immaculé. Une expression de dégout se pain sur moi bien que je doute que ça plaise à Nyo. Je me fais soudain soulever par le col et me retrouve plaqué contre mon propre casier tendit que cet idiot hurle à s'en casser la gorge;

« T'ES CON OU QUOI ?! TU CROIS VRAIMENT AU COÏNCIDENCE ?! TU CROIS VRAIMENT QUE C'EST NORMAL QUE TU TE TRIMBALES AVEC LA MÊME PHOTO QUE MOI ?! ALORS A MOINS QUE TU NE SOIS UN FOU QUI ME HARCÈLE, CE QUE JE DOUTE, J'AI DU MAL A TROUVER D'AUTRES EXPLICATIONS!!!! ALORS ?! TU VAS NIER LONGTEMPS QU'IL EXISTE UN LIEN ENTRE TOI ET MOI ?! SI TU VEUX JE PEUX T'AIDER !!! JE SAIS TRÈS BIEN M'Y PRENDRE AVEC LES GAMINS DURENT DE LA FEUILLE !!! »

✗ Bien que connaissant les caractéristiques de ce genre de Deamon je lui donne un coup de point rageur dans le visage, ne réfléchissant plus pour une fois. Tout mon corps est crispait, j'en ai mare de ce mec qui m'agresse sans raison. Je n’ai pas envie d'être son frère et alors ? Ça ne regarde que moi. J'ai vécu dix-sept ans sans l'aide de personne et je peux tout à fait continuer. Enfin je ne suis pas tout à fait honnête... les gens de l’hôpital m'ont nourris et loger comme le font ceux de l'académie. Et puis la vérité c'est que je déteste ma famille mais que j'ai souvent souhaité la retrouver... mais même lui... mon propre brrr... frère, semblai ignorer mon existence. J'étais si inutile que ça ? Moi qui avais donné tout mon possible pour avoir un beau métier et retrouver ma famille pour qu'elle soit fière de moi et me reprenne parmi eux ?

« Laisse-moi tranquille ! Tu ne comprends pas que je ne veux pas de toi comme frère ? Ma famille m'a abandonnée sans un mot et n'est jamais venue demander de mes nouvelles ! Comment voudrais-tu que j'en veuille ?! »

✗ Sans attendre je me mis à lui donner une série de coup de pieds rageurs un peu partout, sans effet. Mes mains ne tardèrent pas à suivre le rythme, toute sagesse perdue. Tirant ses cheveux ébène ou frappant ses joues rouges elles tentaient de faire le plus mal possible. Ce qui n'est pas chose facile  fasse à un monstre. Surtout quand malgré tout, on l'aime. Comment ? J'ai vraiment pensé ça ? Moi ? Apprécier ce... ce... ce conard ? Cet assassin ? Je me mis à trembler d'émotion cette fois, et finis même par me figer. Sans pouvoir faire quoi que ce sois je me mis à pleure, cachant maladroitement mes larmes à l'aide de ma chevelure. Je ne voulais pas qu'il sache qu'au fond, j'étais fou de joie de me découvrir un grand frère...et que je n'aurais pu avoir mieux que lui.

« Ne... ne me regarde pas !! Ce n'est pas ce que tu crois !!  Je... je te déteste ! Je.... »


Si un quelconque dieu existe et m'entend, je vous en supplie, faite qu'il parte et oublie tout de ce qu'il a vue...je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie....

* * *
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Néro Elem

Administrateur | Doux Seigneur de l'Orage

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Néro Elem
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Prisca - Innocence Maudite _
MessageSujet: Re: Prisca - Innocence Maudite   Prisca - Innocence Maudite EmptySam 5 Oct 2013 - 13:31

Bonjour, bienvenue.
Un personnage original, une enfant ("Les enfants règneront sur Feleth !" Détruire ! )


Alors il quelques petites erreur :
Tout d'abord, il te faudrait un nom, c'est obligatoire. Cela peut être un nom que tu t'ai donnée toi-même, ou alors celui de personnes que tu considères comme ta famille, ou même un surnom que tu as gardé. Pour te dire, même les démons qui n'ont pas de parents et qui apparaissent comme ça dans le Vein ont un nom. ^^

Ensuite, c'est plutôt relatif au contexte. En effet, sur Feleth, il n'y a pas d'outils si perfectionnés que de telles seringues. Les rares soigneurs qui n'utilisent pas de magie ont des techniques assez primaires ("Vous avez mal à la tête ? Ah ! Il faut vous faire une saignée. À la gorge aussi ? Un saignée ! ...").
Enfin bref, rien d'aussi perfectionné que de telles seringue. Il y en a bien qui existent mais avec un tube en fer énorme donc ça fait très mal et c'est surtout pour aspirer parce que ce qu'on injecte risque de couler en grande partie en dehors de la plaie. Je te conseille ça de remplacer ça par une potion qu'ils t'auraient donné.

Je rappelle que les démons, ni les anges d'ailleurs, ne sont pas connus par la presque totalité des habitants de Feleth. Essayez de dire qu'il existe un autre monde dans la rue, et on vous prendra pour un fou.

Enfin, il y a de nombreuses erreurs de conjugaison et d'accord dans ta fiche. Essaye de relire un peu. ^^



Par contre, le Test RP, ce n'est pas avec ton personnage, non ?


Règle-ça et ce sera bon. ^^
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Prisca - Innocence Maudite

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