''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Deydreus, le cavalier de la Pestilence.

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Deydreus Mograine

Cavalier de la Pestilence

________________

Deydreus Mograine
________________


Race : Démon Commun Majeur
Classe : Cavalier de l'apocalypse
Métier : Maître de la pestilence
Croyances : n/a
Groupe : Démons

Âge : Plus de 200 ans

Messages : 11

Fiche de Personnage : La source de la maladie...


Deydreus, le cavalier de la Pestilence. _
MessageSujet: Deydreus, le cavalier de la Pestilence.   Deydreus, le cavalier de la Pestilence. EmptyDim 21 Juin 2015 - 19:06

* * *

Personnage


Nom : Mograine
Prénom : Deydreus
Rang : Cavalier de la pestilence

Âge : Plus de 200 ans
Sexe : Masculin

Race :

Démons majeurs. (Démons communs "nobles")
Les démons majeurs sont techniquement des démons "communs", puisqu'ils viennent de la même branche évolutive. Mais a l'opposé des autres communs, ces démons sont souvent dotés d'une puissance colossale et dépassent de plusieurs têtes la majorité de leurs cousins inférieurs. Un trait qui les décris le plus souvent est la fierté, qu'ils tirent majoritairement de leurs statut considéré comme noble ou royal dans de nombreuses société démoniaques.

Classe :

Cavalier de l'apocalypse : Globalement, les cavaliers de l'apocalypse possèdent quatre domaines de compétences mais se spécialisent souvent dans un seul d'entre eux. Les quatre domaines sont la mort ( nécromancie ), la pestilence ( poisons, maladies ), la famine ( affaiblissement des corps et capacités ) et la guerre ( maniement des armes ). Chacun de ses quatre domaines est maîtrisé par un cavalier maître, qui est le meilleur dans son domaine de compétences, et possède de grandes connaissances dans les autres. Seul l'un d'eux est connu, Deydreus Mograine, le cavalier de la pestilence. On ne devient pas cavalier de l'apocalypse, on né comme cela. Généralement, il s'agit d'anciens humains perdus dans le Vein qui ont muté dans ce monde une fois devenu démons, ignorant tout de leur ancienne vie ou alors il s'agit de démons nés de la magie noire et possédant ces capacités.

Métier : Maître de la pestilence et ancien envoyé d'Arphoss.
Croyances : Anciennement Arphoss mais il commence à ne plus croire en lui.
Groupe : Démons

Équipement :

- Lames d'ébènes : Lames jumelles à doubles tranchants, parsemés de "pics" sur le tranchant pour augmenter les dégâts lors des perforations, des motifs sont gravés sur le plats des lames. Il est capable de neutraliser grâce à celles-ci toutes les formes de magie qui touchent ses armes. C'est ainsi qu'il se protège des sorts, une boule de feu touchant ses épées disparaissant presque instantanément. Si vous voulez le toucher avec vos sorts, essayez donc d'éviter qu'il puisse passer ses épées dessus... S'il lance ou lâche ses épées, celles-ci perdent leur capacité à neutraliser la magie, car elles ne fonctionnent qu'à son contact.

- Armure de cavalier de la peste : Armure noire unique, forgée dans le chaos du Vein et qui possède la particularité d'offrir à son porteur une résistance accrue aux attaques mentales, ainsi qu'une bonne protection contre les attaques physiques.

- Palefroi d'ébène : Monture de Deydreus, ce cheval possède une cuirasse. Ses yeux dégagent une lueur bleu/blanche et ses sabots semblent être en feu, et possèdent la même couleur bleutée. A chacun de ses pas, la créature brûle la terre pendant quelques instants, avant que cette dernière ne reprenne sa forme naturelle. La créature est en réalité une invocation inconsciente de Deydreus.

- Cape et tabard de cavalier de l'apocalypse : Un tabard et une cape simple, noirs et marqués d'une épée.

Talents de combat physique : En tant que maître de la pestilence, Deydreus possède une grande connaissance dans le maniement des armes, et s'est spécialisé dans l'utilisation de lames jumelles. Néanmoins, le combat n'étant pas la branche où il est devenu maître, il possède quelques lacunes qui lui ont valus de nombreuses blessures, même s'il est un excellent combattant.

Talents de magie : Maître de la pestilence, il peut créer naturellement tous les poisons existants, sans avoir besoin des ingrédients, seulement par la volonté, enduisant ainsi de façon permanente ses armes de poisons divers. Il peut également s'il le désire faire pourrir la matière qu'il touche, causant sa mort. La terre devient également malade à son contact et il est capable de propager la peste et bien d'autres maladies.

Talents divers : Deydreus est un excellent médecin botaniste, aussi paradoxal que cela puisse être. Il peut ainsi soigner de nombreuses blessures grâce aux plantes qu'il trouve.

Pouvoirs particuliers :

Armée des morts : Deydreus peut, grâce à de la poudre d'os, invoquer des goules sur le champs de bataille. Celles-ci sont assez faibles physiquement mais possèdent la capacité d'être nombreuses. Elles ne restent vivantes qu'un temps duré, leur durée de vie et leur force ne dépendant que de la puissance de l'être qui est à la base de la poudre. C'est là la seule capacité "nécromancienne" du cavalier de la pestilence.

Apparence physique :

Peu de gens savent vraiment à quoi il ressemble. Portant presque toujours son armure, le cavalier de la pestilence ne laisse presque jamais entrevoir son visage. Sa peau semble pâle, presque malade. Ses yeux ne sont pas visibles, une lueur bleue-pâle se dégageant de ces derniers. Il est assez grand et musclé. Le fait qu'il ne descende que très peu de sa monture donne également une impression de grandeur au personnage et impressionne généralement ceux qui le croisent. En dessous de l'armure, il possède un visage fatigué marqué possédant une barbe blanche taillée, et des cheveux blancs rarement visibles, car souvent maintenus sous son heaume. Étrangement, il ne possède aucune cicatrice malgré toute les blessures qu'il a reçu depuis son "réveil".

Caractère, personnalité :

Malgré son amnésie, Deydreus a gardé de nombreux traits de caractères de son ancienne existence. Il semble toujours blasé par les autres et les différentes situations dans lesquelles il peut se retrouver. Il est un bon stratège même s'il le montre assez peu. Froid et distant, il n'éprouve que rarement le besoin de collaborer avec quelqu'un, et reste souvent en route, cherchant à comprendre qui il est. Néanmoins, il était un vrai fidèle d'Arphoss est recevait de temps à autres des ordres de ce dernier, les exécutant toujours avec un zèle déconcertant. Si un ordre lui était donné, et que cet ordre était de vous abattre, alors il valait mieux creuser vous même votre tombe et vous trancher la gorge, ça restait l'option la moins douloureuse, car si le cavalier de la pestilence vous trouve lors d'une mission ou d'une attaque personnelle, il se fera un plaisir de vous torturer avec ses maladies ou ses poisons avant de vous achever, cette pointe de sadisme tranchant avec son caractère habituellement blasé.

Histoire :

Qui suis-je ? Ou plutôt qui étais-je ? Je ne le sais pas. Lorsque je me suis réveillé, j'étais entouré de cadavres dans un petit village paumé. Tous étaient couverts de pustules et semblaient avoir souffert le martyre. Le seul souvenir que j'avais était que je me nommais Deydreus Mograine. J'étais là, dans une grande armure noire, avec deux épées incroyablement faciles à manier et qui me semblaient familière. Je ne me posais alors qu'une question : qu'est-ce que je fichais là? Voulant passer une porte, je me retrouvais instantanément dans un lieu chaotique, où tout semblait instable et dangereux. Je commençais à voyager à travers ce monde, au début seulement à pied. Lorsque la fatigue me gagna, une étrange monture fit son apparition devant moi, elle aussi étrangement familière. Je la chevauchais et parcourais ainsi ce monde hostile. Je ne ressentais aucun plaisir, aucune émotion. Un jour, je tombais sur une sorte de cerf. Je me jetais sur elle après avoir mit pied à terre. Je ne ressentais pas de faim, je n'avais pas besoin de me nourrir je le savais mais tuer cette créature me faisait enfin ressentir du plaisir. Par la suite, je mit fin à la vie d'une  personne cette fois, prenant encore plus de plaisir. Chaque fois que je tuais, je ressentais cette sensation agréable.. J’apprenais un jour que je n'étais pas le seul à être comme ça, qu'il en existait au moins trois autres. Je ne voulais pas les rencontrer, même si je savais que je les croiserais un jour. A force de voyager dans ce monde, je découvrais mes capacités. Apprenant à invoquer des créatures à l'aide de poudre faite à partir d'os, que je pouvais répandre la maladie comme quelqu'un pouvait respirer. Cela était amusant au début d'apprendre cela, mais lorsque vint le jour où je maîtrisais mes pouvoirs, la lassitude me regagna, ainsi que cette errance stupide en quête de mon passé. C'est après un autre meurtre que je rencontrais les miens, ceux que l'on nommait les cavaliers de l'apocalypse. Ils voyageaient en bandes et me demandèrent de les rejoindre, m'appelant maître de la pestilence sans que je ne leur ai adressé la parole. Je me souvenais d'eux, comme des membres de ma fratrie, mais ne connaissais ni leur nom, ni leur âge. Je les quittais après quelques années à avoir voyager avec eux, trouvant que la solitude m'était plus agréable que leur compagnie.

Tuant à peu près tout ce que je croisais, je tombais un jour sur celui qu'on nommait le "seigneur Arphoss". Curieusement, je n'eus pas envie de l'affronter ni de le tuer. Je m'approchais de lui naturellement et lui jurais fidélité. Il était une personne qui me semblait familière, comme si il était à l'origine même de mon être, comme un père. Cela était stupide mais était présent en moi. C'est pourquoi j'acceptais de le servir. Cette allégeance ne fut pas regrettée, lorsqu'il m'ordonna de massacrer un village de ce qu'il appelait les cloportes, ces créatures qui  pullulaient dans ce monde bâtard qui s'appelait Feleth. Répandre ma peste ne fut pas très difficile, et voir ces gens mourir lentement alors que je les observais me comblait de joie. C'est ainsi que je continuais ma route, alternant mes passages entre le monde des Hommes et celui de notre espèce, appelée "démons".

J'étais l'Envoyé d'Arphoss, je l'écoutais alors sans hésitation aucune, lui prêtant une allégeance sans faille. Mais... Mon seigneur est devenu silencieux depuis trop de temps, me laissant errer sans but. Mon ennui me mena à un tel point où j'intervins même sans son autorisation à plusieurs reprises, répandant un fléau sur le monde bâtard, des fois dans des petits hameaux, des fois dans des capitales... A vrai dire, je ne sais toujours pas si ce dernier est encore en vie, mais tout ce que je sais, c'est que la lassitude qui me ronge habituellement se fait plus forte, plus violente. A un tel point que je me suis mit à douter de sa légitimité, de l'envie de servir tel démon. Je regrette certains de ses suivants que je n'ai pas vu depuis pas des siècles, ou seulement quelques années pour certains. Mon errance continue alors que je cherche ma nature, mais si je ne suis plus aussi fidèle qu'avant à Arphoss, je reste convaincu que les Felethiens ne méritent qu'une chose face à leur faiblesse: une mort longue et douloureuse.

En ce qui vous concerne

DEYDREUS IS BACK BITCHES!

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Comme d'hab

Comment avez-vous découvert le forum ? Comme avant

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? Ça manque d'épidémies.



Test-RP

*** Il y a quelques siècles... ***

Indar, petit village situé dans le creux des montagnes de ce monde appelé Feleth. C'est là bas que m'envois Arphoss, mon nouveau seigneur. Mon but? Tous les tuer, sans exception. Je ne devrais pas avoir trop de mal d'après ce qu'il m'a dit, ceux ne sont que des cloportes misérables. J'arrivais, à dos de ma monture aux abords de ce village, et observais un moment la vie s'y dérouler. Des hommes revenant des champs, leurs épouses les accueillant plein de ce que ces êtres appelaient amour. Des enfants courants un peu partout, jouant avec des bouts de bois, imitant des lames.

Sentant l'envie de tuer monter en moi, j'avançais doucement, mon cheval soufflant bruyamment alors qu'il brûlait ce sol ridicule. Lorsqu'ils me remarquèrent, leur réaction fut étonnante. Ils envoyèrent de types armés, qui me posèrent tout un tas de question leurs lames au clair. Ils me demandaient si je faisais partie de cette bande de bandit qui les harcelaient ou si j'étais venus les aider. C'est donc naturellement que je répondais.

- Les bandits ne seront plus un problème désormais. Plus... Jamais...

Ma voix était déformée par la magie, semblable à quelqu'un parlant dans un tube métallique. Cela sembla les étonner mais ils prirent ma phrase avec intérêt, considérant que j'avais nettoyer la région de bandits. Chose stupide, je n'avais pas le temps de m'attaquer à des insectes parias, j'en avais déjà assez à faire avec ces insectes là. J'avançais donc vers le village, accompagné des gardes. Les villageois m'accueillirent en grande pompe, des acclamations et applaudissements s'élevant dans les airs. Un enfant s'avança de ma monture alors que j'étais au centre du village, sur la grande place. Je plongeais mon regard sur lui, alors qu'il me tendait une fleur. Je me penchais pour la prendre, et au moment où je la touchais, je la faisais mourir, contaminant l'enfant par la même occasion. C'est ainsi qu'il s'écroula sur le sol, le corps rongé par la maladie.
Un cri se faisait entendre alors que les gardes et habitants se jetaient sur moi armés. Ma monture disparut presque aussitôt dans un nuage de fumée, alors que mes lames étaient sorties et que de la poudre d'os avait été consommée. Des goules se jetaient sur ces misérables, tandis que la peste se répandait et que mes épées tranchaient des membres. Ce ne fut pas difficile en effet, mais ce fut divertissant. Au bout de quelques minutes, les goules disparaissaient, ne laissant que la maladie et un survivant. Un seul homme, couvert de pustules et crachant du sang, à quelques mètres de moi.

J'avançais donc vers lui tranquillement, mes armes pleines de sang. Lorsque j'arrivais à son niveau, il supplia pour sa vie, me demandant de l'épargner. La seconde d'après, il voyait son corps pourrir, la putréfaction se répandant le long de son bras et avançant sur son corps. Il ne fallut que trois secondes pour que la putréfaction ne gagne son coeur et le laisse s'écrouler sur le sol. Un petit rire s'échappa de ma gorge alors que je retrouvais ma monture qui sortais de nul part. L'enfourchant, je passais à travers une faille et revenait dans le Vein, ma demeure, alors que ma mission s'achevait...


*** De nos jours ***

Le cavalier soupira en relisant Shagarakti, le livre de l'Envoyé. Il ne savait pas depuis combien de temps les dernières pages étaient restées blanches et attendant qu'on les noircisse. Ses missions n'étaient plus qu'un lointain souvenir agréable, et son errance atteignait un point qui commençait à le faire s'ennuyer de nouveau, au point de se demander même si chasser son ancien seigneur ne serrait pas une idée amusante... Las de cette pensée, le cavalier repris sa route, lâchant le livre dans une rivière alors qu'il s'éloignait de Madorass, une capitale du royaume. Le livre grésilla et une aura verte se répandit rapidement dans l'eau, alors que dans un sifflement, le cavalier de la pestilence et du fléau disparaissait dans une faille..

* * *
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Carl Sorince

Grand lâche - Le Squelette

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Carl Sorince
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Histoire de Personnage : Je ne me souviens plus de mon histoire...A vrai dire je ne sais même plus quel âge j'ai...Ma mémoire me fait défaut de plus en plus souvent en ce moment...Quel dommage.

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MessageSujet: Re: Deydreus, le cavalier de la Pestilence.   Deydreus, le cavalier de la Pestilence. EmptyLun 22 Juin 2015 - 12:49

Puisqu'à part quelques lignes, rien ne change de la fiche originelle, je ne vois pas pourquoi je te retiendrais plus longtemps, voici :
Deydreus, le cavalier de la Pestilence. 111

Bon retour parmi nous Crâne riant
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Néro Elem

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MessageSujet: Re: Deydreus, le cavalier de la Pestilence.   Deydreus, le cavalier de la Pestilence. EmptySam 27 Juin 2015 - 14:57

Bon bon
Je te valide :
Deydreus, le cavalier de la Pestilence. 211
Néro, Elem est venu ici...
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MessageSujet: Re: Deydreus, le cavalier de la Pestilence.   Deydreus, le cavalier de la Pestilence. Empty

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