''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Dante Waanig

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Dante Waanig



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Dante Waanig
________________


Race : Humain.
Classe : Guérisseur
Messages : 2

Fiche de Personnage : Ma Fiche

Histoire de Personnage : Jamais

Dante Waanig _
MessageSujet: Dante Waanig   Dante Waanig EmptyDim 10 Oct 2010 - 16:34

* * *

Personnage


Nom : Waanig
Prénom : Dante
Rang : Main des plaines.

Âge : 50ans.
Sexe : Masculin.

Race : Humain.
Classe : Guérisseur
Métier : Médecin
Croyances : Aucune
Groupe : Rebelles

Équipement : Dante possède une large sacoche en cuir ainsi qu’un ceinturon possédant de nombreuses poches. Il transporte de nombreux cataplasmes, ainsi que des bandages, des ustensiles d’opération. Scalpel, pince etc… Il a aussi de nombreuses herbes, ayant quelque connaissances d’herboristerie. En tout cas, il a tout l’attirail nécessaire du parfait médecin, guérisseur. Il possède aussi une petite dague, aussi utile pour le travail, que pour la défense. Il possède une bonne vieille pipe qui le suit partout, ainsi qu'un stock d’herbe à pipe. Relaxantes, apaisantes…

Talents de combat : Pratiquement aucun. Étant un adepte de la non violence, Dante sait tout de même donner des coups de poing ou de pieds. Il ne manie pas sa dague, mais saura s’en servir en cas d’extrêmes urgences.

Talents de magie : Par contre, c’est une tout autre affaire. Ces talents de guérisseurs sont incroyables et reconnus! Il peut soigner au simple contact de ses mains. Désinfecter les plaies, agir sur le poison. Ses talents sont multiples, et sa magie de guérison folle. Mais, il aime mélanger ses talents magiques à une médecine plus traditionnel.

Talents divers : Praticien très compétent. Le corps humain n’a aucun secret pour lui, il peut opérer à tout moment et à grande vitesse. Sur un champ de bataille ou non.

Pouvoirs particuliers : Son plus grand pouvoir magique, celui qu’il a mis des années à perfectionner. Bien sur il ne peut pas l’utiliser à tout moment et quand il veut. Il lui fautune grande concentration. Il peut faire repousser un membre amputé récemment. Un grand pouvoir, qui peut l’épuiser plusieurs jour durant.

Apparence physique : Que puis-je dire sur mon physique? Bah, sincèrement je fais plus vieux que mon âge. J’ai 50ans, j’en fait au moins 60. Et je ne sais pas pourquoi, peut-être qu’une vie de service à détruit mon corps. Drôle de châtiment pour le bien ne trouvez vous pas? En tout cas, j’ai des cheveux gris et un front bien dégarni. Des rides sillonnent mon large front, suivit de mes épais sourcils encore noir. Mes yeux anciennement marron, ont été plongés dans l’encre qui écrit le temps. Il en on pris la couleur étrange et indéfinissable d’un noir de jais. Malgré que j’ai perdu de ma splendeur d’antan, je peut vous dire que mes yeux en font encore chavirer plus d’une. J’ai un visage émacié, des fossette en dessous de mes pomettes hautes. J’ai un nez des plus banal et des lèvres très fines. Ma peau est pâle, mais pas trop. Je suis relativement grand, 1m85, et mince. Pourtant, j’ai une apparence relativement pauvre. Une grande veste au d’un vert décoloré. De nombreux boutons y sont manquant, et plusieurs endroit on été rapiécés. Je porte en dessous une chemise blanche et fine. J’au aussi un pantalon de toile gris et des bottes montantes. Ah quelle personnage étrange, mais si vous m’aviez vu plus jeune. La guerre à laissé sur mon corps de nombreuses cicatrices. Mon visage en possède aucune, je préfère garder mes secrets sous mes vêtements. Toute les femmes se retournaient sur mon passage! Tout dans mon corps pousse cette plainte triste. Ce fantôme d’une beauté passé, et pourtant encore légèrement présente. Comme un fin voile, très fin.

Caractère, personnalité : Parler de mon caractère? Difficile n’est-ce pas? De ce décrire soit même bien sûr. Mais pourtant, je pense être un des rare humain qui se connaît presque parfaitement. Mon apparence sèche et sévère donne l’impression à beaucoup que je ne suis pas approchable et surtout irréprochable. Mais tout est faux. Mes yeux reflètent un caractère bon et protecteur. J’aime les gens, j’aime moins la vie qu’on leur donne. Bizarre… Mais bon, quand vous aurez vu autant de batailles, de maladies et de souffrance que moi, vous penserez la même chose. Je suis calme, un calme gênant, énervant même. Ce genre de calme qui pousse les autres à crier pour espérer une quelconque réaction de ma part. De ma qualité de médecin guérisseur j’ai hérité d’un flegme à toute épreuve. La mort est devenu une compagne courante, et je ne m’en offusque pas le moins du monde.
J’ai la voix grave du sage, même si je n’en suis pas un. La qualité du sage n’est-elle pas d’aimer apprendre chaque jour? Dans ma jeunesse j’étais avide de savoir, maintenant, non. J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrait hermétique à tout contact. Je crois tout savoir dans mon domaine qui est la médecine et la magie de guérison. C’est faux bien sûr, et même si j’en connais un paquet, jamais je n’accepterais que quelqu’un de plus jeune ou même plus vieux essaye de me contredire.
Je suis dans l’ensemble relativement vaniteux et fière de ma vie. J’aime la raconter et offrir aux gens tel ou tel exploit accomplit ou non par ma personne. Je n’hésite pas dés fois à embellir la réalité. Que celui qui n’à jamais pêché sur ce fait me jette la première pierre. Bizarre je ne reçois rien au visage, alors j’ai raison n’est-ce pas.
Mais, j'ai en moi cette rébellion. Cette horreur et ce feu brûlant quand je vois les hommes et les femmes oppressaient. J'ai gardé le feu ardent de la jeunesse. Ce bouillonnement incessant qui me pousse à toujours aller plus loin. Peut-être est-ce aussi pour ça que j'ai rejoint les rebelles.
Sans me vanter, je crois n'avoir peur que d'une chose. Bien que la mort soit courante dans mon métier, j'en est peur. Peur pour ma personne bien sûr. Je redoute le jour ou viendra mon dernier souffle, et ou la main de la magnifique mort viendra me lacérer le coeur et l'âme. Je redoute ce moment, et j'essaye de ne pas y penser. Quand j'y pense, de nombreux frissons parcourent mon corps. Comme si sont souffle froid s'insinuait en moi.

Histoire :
I. Enfance, Adolescence, découverte...
Je suis né dans les grandes plaines de Feleth. Lieux partagé en hameaux et village. C’est un hameau des plaines qui a vu ma vie commencer. Et, malgré que j’en sois partit, il est en moi comme le lieu d’enfance de tout à chacun. Je me souviendrais toujours du vent fouettant nos maisons. Le vent faisant courber l’échine aux herbes folles. Le vent qui leur donnait la forme de vagues vertes et infinis. Ce village il est moi, comme tout ceux que j’ai pus y voir. Nous étions tous paysans là-bas. Ma mère, fabriquait des pommades et des cataplasmes à prix très bas. Elle effectuait aussi les premier soins à quiconque en avait besoin. Une activité que mon père n’appréciait guère, il la souvent rossé de coup pour ça. Mon père s’appelait Herbet Waanig, et il est mort quand j’avais 8ans. C’était un alcoolique notoire, et en rentrant d’une beuverie un soir, il tenta de traire une vache avec ses pieds. Je me levais tôt le matin, même enfant. J’avais pour tâche de traire les vaches, et c’est moi qui l’ais trouvé. Le corps écrasé par la vache qui s’était couchée sur lui. Un mort sale, sans honneur et débile. Malgré tout, je ne pense pas que ma mère est été réellement peiné par cette disparition. Elle pouvait pleinement s’exercer à sa passion, et aider les gens. Maman… Elle est la première personne à m’avoir enseigner la bonté et le pardon. La gentillesse gratuite envers autrui. Je n’ais pas attendu de connaître une quelconque religion débile pour connaître ce genre de choses. C’est aussi elle qui m’enseigna les rudiments de l’art du guérisseur et de la médecine. Ses connaissances magiques n’étaient pas grande mais suffisantes. Bizarrement et ça me fait mal de le dire, c’est à la mort de mon père que la vie devint belle. Aussi loin que je m’en souvienne c’est depuis ce jour ou je l’ais trouvé dans la grange mort, jusqu’à mes 19ans, que la vie fut réellement belle.

Nous avions gardés quelques bêtes, faisions le commerce du lait de vache et du fromage de brebis. A côté de ça j’aidé les gens, faisait mes premières visites médical gratuites. Puis, avec mon meilleur ami Jacopo, qui lui aussi suivait avec moi les « cours » de guérison de ma mère, nous allions jouer dans la plaine jusqu’à ce que le jour tombe. Nous découvrions le monde d’un œil pur, innocent et naïf. Nous découvrions les filles, les jeux coquins dans les bosquets entourant le village. Les premiers baisers, les premières bagarres. J’étais beau, grand et intelligent. De tout les surnoms que j’ai pus recevoir dans ma vie, ceux de cette période étaient les plus intéressants, surtout ceux venant des femmes. Je ne le nie pas et j’en suis même fière, j’ai eu de nombreuses compagnes dans mon lit (au grand désespoir de ma mère), et toute ont gardés un bon souvenir.
Tout été beau, trop beau. Quelque chose en moi fourmillait. Une envie et un désir profond, impropre. L’envie de m’échapper de tout ça. M’enfuir vers l’horizon, suivre le soleil couchant, le suivre sans jamais perdre sa lumière des yeux. Jacopo était de mon avis, et pourtant nous ne partions pas car, nous savions que ce bonheur entre nos mains était une chose fragile. Un cristal magnifique qui au moindre choc se brise en morceaux. A l’époque, les plaines étaient encore imperméable aux religions, et pourtant… C’est dans l’année de mes 18ans, qu’un prêcheur de pacotille est arrivé au village. Avec Jacopo, nous en rigolions au départ, pourtant mon vieil ami se laissait embarquer doucement dans ce sombre navire.
C’est en regardant le passé qu’on peut donner un nom aux choses. A l’époque je ne le savais pas, mais la religion est une gangrène. Elle survient du jour au lendemain, et pourrie lentement ton corps. La religion pourrie les âmes.
Nous avions entendu parler des guerres qui éclataient un peu partout dans Feleth, mais tout ça été du domaine du conte pour nous. Pourtant Jacopo avait décidé de s’engager comme guérisseur dans une quelconque armée religieuse. Nous avions 19ans, et je l’ais suivi. C’est ainsi qu’on se rend compte que nos vie ne sont jamais tracés. J’ai quitté ma mère et la ferme. Des larmes dans les yeux et un dernier baiser, voila tout ce que j’ai gardé d’elle, car je ne savais pas qu’elle mourrait deux mois plus tard. Je partais à la guerre, je perdais mon innocence, je perdais le bonheur, je perdais une vie. Très vite Jacopo s’engageait en tant que soldat, quittant sa qualité de guérisseur. Je ne le reverrais que plus tard.




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Dante Waanig



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MessageSujet: Re: Dante Waanig   Dante Waanig EmptyDim 10 Oct 2010 - 16:35

II. Guerre, Adulte, Retrouvailles…
La guerre est sale. Les contes pour gamin, ou les preux chevaliers traversent le champ de bataille l’épée levé, c’est des conneries. Le mec qui traverse la bataille l’épée levé, il se fait couper le bras, tout simplement. Mon intégration avec les autres guérisseurs fut difficiles. Cela va vous surprendre mais je connaissais peu la langue pratiquait dans Feleth. Je parlais le patois des plaines depuis mon enfance, et c’est à la guerre que j’ai appris la langue. Puis, mon physique avantageux me valait le sobriquet du « Donjuan ». Même ma façon de travailler était bizarre. J’utilisais un peu de magie de guérison et un peu de mes talents de praticien, répartissant les tâches entre mes mains, associant la magie et la médecine normal. J’avais du talent pour ça, je le savais. Et de nombreuses personnes l’ont remarquaient. Si je suis aussi bon aujourd’hui dans la médecine, c’est que je n’ais pas eu un seul maître, mais toujours plusieurs mentors qui me montraient leur méthodes. J’étais passionné, j’assemblais le tout et je crée ma propre méthode. Mais, la guerre apprend aussi de nombreuses choses. Elle apprend à aller vite, mais mains parcouraient les corps comme des petits papillons de nuit. Dans la lumière que crée la magie lors de son utilisation, un guérisseur m’avait dit qu’une nuit il avait crut que mes mains étaient bien des petits papillons de nuit. Je me suis vite, très vite fait un nom. Et le surnom que j’ai par la suite toujours gardé ma été donné. Main des plaines. Des mains et une magie parcourant les corps comme le vent des plaines. Entre temps j’essayais de retrouver Jacopo. Je captais des bribes de son existences par ci, par la. La guerre se déplaçait vers les côtes de l’est. Je rejoignais alors un groupe de guérisseur neutre, qui agissait chez n’importe quel camps. J’ai rencontré des gens exceptionnel dans ce groupe.
La guerre apprend une seconde chose. La guérison, la magie, la médecine. Rien n’est infaillible. Quand vous voyez le mec que vous êtes entrain de soigner crever comme une merde dans la boue, ça fait chier. Ouais, y a pas d’autres mots. Car, pendant que vous vous échinez à faire rebattre ce bon dieu de cœur, vous voyez pas la mare de sang dans laquelle baigne vos genoux. Alors après la bataille, quand ton chef d’équipe te tire de la, tu gueule. Tu gueule pendant que les flèches pleuvent autour de toi. Tu hurle à la mort de te laisser un peu de temps, de te laisser faire!

Nous étions une équipe de 4. Il y avait moi, puis Granie. Une jeune femme, douce et fluette. Elle sortait de ses montagnes. Elle me ressemblait étrangement dans son comportement. Elle était arrivé ici pur et innocente. Elle est repartit de la guerre, une corde autour du cou, pendu dans sa chambre. On s’était arrêté dans une taverne en allant vers les côtes de l’Est ou la guerre faisait rage, pauvre Garnie, elle ne supportait pas la guerre. Il y avait aussi Jön! Un elfe complètement barjo. Le plus doué d’entre nous, mais le plus fou aussi. Il soignait les blessés par paquet de 5, créant un halo magique autour de lui. C’était magnifique. Mais, quand ils mourraient, tu le voyais se lever, déchirer ses vêtements, et présenter son corps à moitié nu face à l’ennemi. Il hurlait alors d’essayer de le tuer, pour voir si la mort oserais approcher celui qui lui avait retiré tant de travail. Je ne sais pas ce qu’il est devenu. Et il y avait Travïs. Le chef du groupe. La cinquantaine à l’époque c’était le plus expérimenté. Combien de discussions sur la médecine et la philosophie j’ai pus avoir avec lui. Sa pensée était révolutionnaire et j’en ais hérité. Mais, c’est une autre histoire, car Travïs je l’ai revus après les guerres.
Quand nous sommes arrivés sur les côtes de l’Est, les batailles de religions étaient presque terminés. Le travail n’en été que plus important. Alors Travïs m’a envoyé à l’extrême Est, voir comme ça se passait. Là-bas, les guerriers, épées et arc brisés, revenaient eux-mêmes brisés. Mais, il y a des choses qui marques plus un homme. Des images, des moments qui restent en vous à jamais.

Arrivé sur la plage, le soleil se couchait. Paysage tragique de mes retrouvailles avec Jacopo. Son corps était la, à moitié enseveli sous le sable. Sa peau légèrement bronzé, ses cheveux blond encadrant sauvagement un visage fin. Ses yeux mi-clos qui m’observaient. Il était encore en vie. Quand j’ai voulus appliquer mes mains pour le soigner il ma pris les poignet et a pris mes mains dans les siennes. Son dernier sourire sur les lèvres. Alors je me suis assis sur le sable, son corps couché sur mes genoux. Je ne sais pas si c’est mon imagination, mais un soldat survivant joué de l’harmonica plus loin sur la plage. Le son de l’instrument se mélangeant aux vagues battant mes pieds. Le vent fouettant mon corps et mon cœur meurtrie. Le soleil couchant embrasant l’océan tout entier. Il suffisait de fermer les yeux pour que l’on soit chez nous. Jacopo est mort dans mes bras, quand les premières étoiles apparurent. Et, à ce moment la, et je crois que c’est la seul fois de ma vie, je me suis sentie apaisé. J’aurais pus crever sur cette plage ce soir la. Crever apaisé, sans avoir peur de la mort. Mais… les choses étant ce qu’elles sont, je ne suis pas mort de chagrin ce soir la. J’ai donné Jacopo à l’océan, et je suis partis. Je n’ais pas rejoint Travïs, je suis retourné vers les plaines.


III. Vie restante…
 « Est que reste t’il après ça? ». « La vie peut-être, et tout le reste. »

En rentrant chez moi, j’avais 26ans. J’avais passé 6ans à soigner les blessés de guerre, et une autre année à rentrer. Ma mère été morte, je n’étais presque pas surpris. Alors sur sa tombe j’ai pleuré à chaude larmes, j’ai pleuré Jacopo, je l’ai pleuré elle, j’ai pleuré la vie. J’ai pensé à m’installer comme médecin là-bas, mais je savais que je ne pourrais pas. Ce n’était plus chez moi. La nuit avant de partir, j’ai mis le feu à la chapelle construite en l’honneur d’un de leur quelconque dieu à la con, et je me suis enfuis. J’ai erré pendant 4ans à travers le pays. Soignant les plus pauvres sans presque rien demander en retour. La main des plaines parcourait le monde, ça se savait. Ma technique avait pratiquement la perfection, j’ai sauvé de nombreuses vies. Entre temps j’ai commencé à fumer à la pipe, et le mystère entourant mon personnage s’étoffait. Les femmes m’aimaient toujours autant, et je pensais finir ma vie ainsi, grand guérisseur itinérant, mais la vie encore une fois en a voulut autrement. Travïs refit son apparition. Dans une taverne paumé au milieu des montagnes je l’ai revus avec joie. Il avait bien vieillit, presque la soixantaine, alors que moi j’avais 30ans à l’époque. Il me fit part de son idée de crée une grande organisation de guérisseurs parcourant le monde et soignant à prix dérisoire les habitants de Feleth. Une idée magnifique, dans laquelle je me laissais emporter. Malheureusement, nos idées ne charmaient pas grand nombre de médecins et guérisseurs qui voyaient surtout le profit. Puis, les années passant, la santé de Travïs se dégrada, il mourut lui aussi sur les côtes de l’Est. Les terres de son enfance. J’étais alors seul dans ce combat utopique. Je vieillissais, le monde évoluait et un monarque diabolique prenait le pouvoir en Feleth.
Mon éternel insatisfaction, mon dégout de l’horreur et des atrocités commises par cette homme m’ont poussés à rejoindre la rébellion, sans m’ôter de la tête ma grande utopie. Crée une corporation de guérisseurs ayant pour seul but le soin et la gratuité.






En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ?: Le plus possible. Je bosse surtout le matin, et j’ai une semaine de cours par mois, étant en apprentissage.

Comment avez-vous découvert le forum ?: Ont s’est croisé sur le trottoir et on est aller voir un film ensemble, c’était cool.

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ?: Magnifique, ça suffit?



Test-RP

De ma main droite se dégageait un halo bleuté. En suspend au dessus de son poitrail béant. Les tissus se refermaient lentement, cachant les poumons. De ma main gauche c’était une lumière verte. Je lui réparait ses côtes cassés. Bon, ce vieil homme était mort il y a 5 minutes. Autant lui donner une apparence décente. Sa femme m’observait inquiète, elle ne savait pas encore. Elle était vieille, plus de 90ans, et lui était mort à 94ans. Un âge honorable. Ah! Ces vieux, ils tiennent de plus en plus. Quand l’ouverture que j’avais fait juste avant fut refermé, je me laissais aller contre le dossier de la chaise sur laquelle j’étais assis. Je sortais ma pipe, en bourré la cheminée. Je l’allumais lentement et laissé la fumée entêtante envahir les lieux. Je me tournais vers la vieille.

«Désolé m’dame… Il est mort. »

Elle lâcha un soupir suivit d’un « oooh ». Elle se laissa tomber sur sa chaise et observa ses mains. Je cherchais les mots. Même après tant d’années c’était dur de trouver les mots. Je me trouvais à l’orée de la forêt des Amanites. Un hameau complètement paumé, presque abandonné et miteux. C’était pas la première fois que je venais ici. Je me décidais à lâcher la chose.

 « Il avait de l‘encre aux poumons vot‘ mari. Fallait m‘envoyer un messager avant, j‘aurais pt‘être put faire quelq‘chose, mais la… »

A chaque fois que je revenais en campagne, mon vieil accent de paysan revenait. Puis fallait parler avec des mots qu’ils comprenaient, pas se la oêter et utiliser un vocabulaire trop complexe. De l’encre au poumons, en clair, c’est de des tumeurs. Ce type à lui seul il en avait quatre. Deux sur chaque poumons, et trop propagés d’ailleurs. Je poussais un soupir, relâchant un peu de fumée, et je décidais de ne pas m’attarder. Je sortais de ma sacoches deux pots. Un de pommade pour els douleurs articulaires, et un de cataplasme.

 « Gratuit ma p‘tite dame, faut que vous preniez soin de vous. »
 « Oooh, merci. Qu‘est-ce qu‘on ferait sans vous… »

J’ai faillis répondre, « Vous seriez tous entrain de crever lentement dans le trou du cul de Feleth ». Mais je me retenais. Bizarrement elle eu l’air de lire dans mes pensées et de savoir que c’était vrai. Elle me lança un regard gêné, puis m’indiqua la sortie. Je lui faisais un signe de main passais la barricade miteuse qui entourait sa maison. Que des vieux croulant au crépuscule de leur vie ici. Les jeunes étaient partit depuis longtemps, les abandonnant à leur sort. Le croquemort était déjà devant la maison. Il ne répondit pas à mon bonjour et ouvrit la porte de la maison sans frapper. Ce type ne m’aimait pas, je lui avais enlevé trop de boulot ces derniers temps. Je rigolais intérieurement. Fallait que je reparte vers Madorass, des gens m’attendaient là-bas.



* * *

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Dante Waanig _
MessageSujet: Re: Dante Waanig   Dante Waanig EmptyMar 12 Oct 2010 - 15:30

Cela faisait plusieurs jours que l'épais dossier dossier reposait sur le bureau. Il l'avait ouvert plusieurs, et l'avait feuilleté. Dante Waanig avait un passé chargé. Et un lourd passé était aussi difficile à supporter qu'à raconter. Karl était bien placé pour le savoir. Alors, le Général avait peur. Il avait peur de découvrir la souffrance de cet homme. Ses peines. Ses blessures. Ses cicatrices. Ses plaies encore béante. Pourtant, Dante était parvenu à vivre avec. Il avait même réussi à mettre sa vie par écrit. Il était un homme courageux. Et fier. Fier de son passé. Faire de celui qu'il était devenu. Il était maintenant temps pour Karl de faire preuve de courage et de se plonger dans la vie d'un autre. Quitte à réveiller d'anciennes blessures...

Il décida le moment venu. Alors que le peuple se révoltait contre le Roi Kaull dans les rues du Royaume, Karl s'enferma dans son bureau et étudia le dossier de Dante. Du moins pensais-t-il avoir fermé la porte. Il n'en était rien et fut dérangé une fois, puis deux, et enfin trois fois. Il parvint enfin à lire l'intégralité du dossier. Il ne releva pas d'incohérence, laissant ses collègues apprécier l'histoire, les guerres de religion et l'avènement de Kaull. Les subtilités su scenario lui échappaient toujours. Il note enfin les projets de Dante, et se promit un jour, de l'aider à construire cette organisation de médecins qui feraient dons de leur vie pour sauver des vies, quelle qu'elles soient...

Karl fit fondre son bâton de cire au dessus de la dernière page, laissant le liquide visqueux et rougeâtre former une petite flaque. Il frappa cette dernière avec son sceau :

BAM !

Dante Waanig 111

Il referma le dossier, et le laissa sur le bureau à l'attention de ses collègues. Il fallait une seconde validation...
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Le Violoniste

Fondateur | Simple passant

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Le Violoniste
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Race : Démon Commun
Classe : Sorcier
Métier : Musicien / Conteur / Sculpteur / Boutiquier
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Âge : L'âge des mondes

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Fiche de Personnage : ♣️

Histoire de Personnage : ♠️

Dante Waanig _
MessageSujet: Re: Dante Waanig   Dante Waanig EmptyMer 13 Oct 2010 - 16:08

Très bonne fiche. Je ne trouve rien à redire (sauf quelques petites fautes d'orthographe, fais attention.)
J'ai trouvé l'histoire bien écrite, et ai beaucoup aimé le côté réaliste du récit de guerre. De plus ce personnage est original et intéressant.

En réalité.. Héhé.. Je vous ai caché mon identité.. Je ne suis pas Le Violoniste mais.. SUPER VALIDATOOOOR !! *Déchire ses vêtements pour dévoiler un V flamboyant, entouré d'un triangle, minablement gribouillé à l'encre sur son torse.* ET JE VAIS TE... EUH.. EUH.. EUH.. *se rend compte qu'il a un peu "trop" déchiré ses vêtements : En slip devant la foule.* TE DIRE AU REVOIR !! *Se barre en courant, vexé.*
(tout ça pour dire que je te valide. Remplit ton profil et va RP !)

Dante Waanig 90053

Dante Waanig 211
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