''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!]

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Marius Azelan

Le libraire

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Marius Azelan
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Race : Humain
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Croyances : Athée
Groupe : Rebelles

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Fiche de Personnage : Fiche de lecture


La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] _
MessageSujet: La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!]   La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] EmptyJeu 12 Mai 2016 - 7:54

Le souffle bruyant de l'air fluvial. L'incessant vacarme des docks, où suaient marins et pêcheurs dès que l'aube pointait, et qui ne s'endormaient que tard, la nuit, à la sortie des tavernes enivrantes. Et l'odeur... que dire de l'odeur?

Des relents fétides de poissons oubliés sur le quai. L'odeur tenace de la pisse s'évaporant par une brûlante journée d'été. L'haleine alcoolisé des marins, tentative vaine de camoufler l'épouvantable puanteur de leurs dents gâtées en train de pourrir et de s'ébrécher. Un marin, là, bourre sa pipe de feuilles odorantes afin de ne plus subir une odeur qui pourrait rappeler le Pandémonium. L'odeur des ports d'eau douce et des rives intérieures est la pire, car le large ne la renouvelle pas à chaque marée.

Dans les dernières rues du port se trouvaient des échoppes particulièrement bien tenues, pour la plupart, et surtout épargnées d'une grande partie des arômes des docks. On y trouvait, entre autres, l'Allée de Jean, nommée ainsi en l'honneur d'un certain Jean du Val, qui fut le meilleur boulanger de toute la ville jusqu'à sa mort, à l'âge vénérable de quatre-vingt-dix ans. Sa boutique avait été depuis lors transformée en différentes échoppes en tout genre, avant d'avoir été acheté par un nouvel arrivant de Madorass, il y avait de cela quelques années. Le teint pâle, le regard sombre, le propriétaire convertit en librairie l'ancienne boulangerie, qui disposait, en outre, d'un excellent four bâti au temps des grands maçons.

C'est l'une des choses qui avaient attiré Marius, lorsqu'il avait conclu son achat avec l'ancien propriétaire - un alchimiste brillant, mais sans le moindre sens des affaires. Dès lors, il avait érigé une cloison afin de former une arrière-boutique qui lui ferait également office de cuisine et de laboratoire. Quant à la partie avant, il la bourra de ses grandes étagères qui furent rapidement remplies par ses nombreux livres, selon le même classement qu'il tenait à Madorass. En outre, il paya un ébéniste de talent pour former la nouvelle insigne de sa librairie, où des lettres creusées dans un style gothique et peintes en rouge vin indiquaient: Livres d'avant et de maintenant. Le Libraire n'avait pas cru bon changer le nom de sa boutique, puisqu'il était clair et concis. Quant à son logement, il se situait à l'étage de la librairie.

Les affaires n'étaient pas aussi bonnes qu'à Madorass néanmoins. Bien rapidement, Marius s'aperçut de l'illettrisme généralisé des habitants de Venill et du manque d'enthousiasme des bon bourgeois pour les livres. S'il disposait de clients réguliers, Marius ne voyait que rarement passer de nouveaux visages. De plus, depuis la création du pays de Feleth, il n'avait plus revu ses anciens camarades de la rébellion. Ce qui ne dérangeait pas outre mesure le Libraire, qui tirait de sa solitude un plaisir sincère. De plus, Koako, son corbeau parleur, était toujours à ses côtés.

Cette nuit-là, la chaleur estivale fut si étouffante que Marius, allongé nu sur la maigre paillasse de son lit, n'avait pu fermer l'oeil. Ces mauvaises nuits n'étaient pas rares, depuis, oh! déjà un moment. Néanmoins, même s'il ne dormait jamais beaucoup, le Libraire se sentait particulièrement fatigué ce jour-là. Il se leva et alla observer à la fenêtre. Le ciel gris et l'humidité lourde n'annonçaient guère une journée productive à la librairie. Il avait donc le loisir de prendre le temps de se laver à l'aide d'une bassine remplie d'eau, qu'il refroidissa magiquement à l'aide de ses quelques tours. L'eau glacée mit fin à ses derniers désirs de retourner se coucher, et il s'habilla légèrement.

Sur son perchoir, Koako, assomé par la chaleur, observait silencieusement le spectacle. La chaleur était telle qu'il n'avait presque pas touché aux morceaux de viande crue dans son écueil.

Marius, vêtu d'une pantalon et d'une simple chemise grise, descendit à l'étage pour se faire du thé lorsqu'un bruit sourd sembla provenir de la porte d'entrée. Un homme tentait-il de forcer la porte? En pleine matinée? Sur ses gardes, le regard si glacé qu'il en devenait effrayant, Marius s'approcha de la porte, et s'arrêta rendu à deux mètres de celle-ci que la cause du bruit sourd se manifeste...
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Dumbark Sang-Noir

Le Briseur

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Dumbark Sang-Noir
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Race : Orque
Classe : Berserker
Métier : Gladiateur
Croyances : Le Fléau/Dieu de la guerre
Groupe : Le Pays

Âge : 29 ans

Messages : 28

Fiche de Personnage : Qui est le Briseur ?


La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] _
MessageSujet: Re: La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!]   La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] EmptyMar 17 Mai 2016 - 11:13

Je suis complètement soûl. Je n'ai aucune foutue idée des raisons qui me permettent encore de me tenir debout. Le patron de la taverne a réussi à me mettre dehors, histoire de ranger un peu son trou avant que je revienne vider ses tonneaux demain soir. Demain soir, ou tout à l'heure ? J'ai l'impression que la nuit est déjà plus avancée que prévue. On pourrait être le matin, j'en saurais foutraque, avec ce temps de merde. Des nuages lourds d'été, qui n'attendant qu'à se déverser dans un déluge soudain sur les champs asséchés, et pourtant... rien. Les paysans désespèrent de ces températures de fournaise, de ce temps toujours à l'orage sans jamais une goutte de pluie. Et je les comprends. Une petite pluie maintenant, ça me ferait du bien. J'écarte les bras au milieu de la route, le visage levé vers le ciel. Mais rien. Pas une petite goutte pour me rafraîchir un peu. Putain de nuages. Ça me passe dans la tête que c'est sûrement un coup d'un mage quelque part qui joue avec le temps. Si je le trouve je lui fais sortir les côtes par le dos, ça lui fera de la décoration.
Je m'assois une seconde par terre et j’entends un « plouf ! » alors que mes bottes plongent dans l'eau. Dans l'eau ? Quelle eau ? Je regarde une seconde où je suis. Ah oui. De l'eau. Je suis tout simplement assis sur un des quais. Je dois être à Venill. Je m'allonge sur le sol et me penche, plongeant sans hésitation la tête dans le fleuve. Ça, ça rafraîchit. Malheureusement, ça me dessoûle aussi un peu. J'en profite pour essayer de me remettre la tête en place, quitte à faire quelque chose de cette sobriété. Oui, je suis à Venill. J'ai brisé le cou d'un type à l'arène hier soir, et je suis allé fêter ça à l'auberge... Des trois cochons ? Ou du marin vert ? Une des deux. Une des tavernes sur les quais, en tout cas, avec les petits bouts de femme au service. Oui, c'est ça. Et j'ai... Je regarde une seconde dans mes poches. Oui, j'ai déjà balancé tout l'argent que j'avais gagné. J'observe le ciel un instant. Oui, malgré les nuages, on peut voir que le jour est en train de se lever. Bonne nouvelle, j'ai pas eu besoin de payer une chambre cette nuit.

Je me lève finalement, après de longues minutes à réfléchir sur ce qui a bien pu se passer à la soirée, et je me met à remonter lentement la rue, les mains enfouies dans mes poches maintenant vide. Les marins s'agitent en tout sens, en cherchant à faire leur travail sans bousculer ma carcasse qui occupe tout l'espace du centre de l'allée. Qu'ils aillent se faire foutre. S'ils avaient picolés autant que moi cette nuit, ils bougeraient pas trop non plus. Malgré tout, le voile flou devant mes yeux semble s'estomper. Est-ce que le ciel se découvre ou est-ce que je dégrise encore ? Qui sait. Je remonte vers les barraques cossues du bout du quai, quand je remarque finalement un pauvre connard qui essaie de rester à ma hauteur, trottinant à mes côtés.. Je m'arrête pour regarder l'importun merdeux. Qu'est-ce que c'est que cet avorton ? Je suis du genre à mettre au moins cinquante centimètres aux types que je croise, mais celui-ci doit pas être plus grand que mes hanches. Un minuscule vieillard, avec une petite barbiche grise et des yeux entièrement noir. Sans blanc, ni iris. Juste du noir. J'arrive pas à me rendre compte si c'est important ou pas, mais j'ai pas souvenir d'avoir vu jamais ça. Ce qui est sur, c'est que c'est pas banal.

-Dumbark Sang-Noir ? demande-t-il immédiatement, avec une petite voix aiguë qui me vrille les tympans. Je vous ai vu hier à l'arène. J'ai besoin de vos talents.
-Explique, vite, ou dégage, vieillard, dis-je finalement, à la limite de la conscience.
-C'est très simple, reprend-il. J'ai besoin d'un guerrier - d'un vrai tueur, même ! - pour récupérer quelques effets d'une valeur inestimable qui m'ont été dérobé par ruse par un brigand qui se dit marchand ambulant, Thérophin d'Albea. De précieux artefacts magiques, de très anciens ouvrages et...
-Donc, vous voulez que je tue quelqu'un et que je récupère du bordel qui ne vous appartient probablement pas. Et je vous dit merde.

Je résume et je simplifie, mais j'aime pas cette version raccourcie d'un homme, avec ses yeux vides et sa voix de cauchemar. Et surtout, j'ai vraiment pas envie de faire quelque chose d'illégal, surtout pas à Venill. Oui, je casse des bouseux, et je tue des types de temps en temps, mais l'ambiance vol à la demande et meurtre sous contrat, c'est du genre à me balancer dans une taule pour un moment, exécuté, ou au moins en fuite. Et j'aime bien cette ville, je veux ni la connaître de derrière des barreaux, ni la quitter, ni y mourir.
Mais le vieux insiste, et il continue à trottiner à côté de moi, encore et encore, en répétant sa proposition, mais tout ce que j’entends c'est une longue note suraiguë et ma tête qui commence à me faire mal. Au point qu'arrivée au bout de la rue, je finis par craquer, et balance une grande mandale dans sa direction, sans même regarder. J'ai le sentiment que quelque chose déconne instantanément. Au lieu de sentir la mollesse d'un visage sous ma main, j'ai droit à la version mauvaise nouvelle, du genre poigne de fer autour de mon bras. C'est le genre de truc qui me fait dessoûler d'un coup, presque autant que me faire réveiller par un crétin qui croit pouvoir me pisser dessus parce que j'ai l'air de dormir. Le gnome se balade avec un garde du corps, que je n'avais même pas remarqué. Une forme sombre dans une armure de cuir noir, avec une cagoule sur le visage, qui a l'air d'avoir jailli de l'ombre alors que je m'apprêtais à frapper le vieux et a saisi mon bras au vol pendant que son ami disparaissait. Où est passé le nain ? J'en sais rien et je m'en fous, maintenant je suis parti pour briser son ange gardien. D'une ruade, je le force à me lâcher et l'envoie contre le mur d'une échoppe, mais il se reprend et se jette sur moi comme un tigre des plaines. Pauvre con, si tu valais quelque chose, ton patron chercherait pas un tueur chez les gladiateurs... Il a à peine esquissé son geste que je l'ai attrapé par le cou d'une seule main et le plaque contre la porte de la boutique. Ça fait un sacré bruit quand son crâne vient cogner contre le bois, mais il est encore plutôt en forme, vu qu'il essaie de saisir son poignard à sa ceinture. Le geste de trop, pauvre con.
Un coup de poing dans le ventre lui coupe le souffle une seconde, précisément le temps qu'il me faut pour attraper mon marteau et frapper un grand coup dans sa direction. Il a de l’entraînement, le gamin, il réussit à éviter que je lui brise le crâne. En revanche c'est son bras qui prend, avec un coup si fort que la porte se brise derrière, et je suis pas sur de ce qui fait le plus gros craquement, ses os ou la porte.. Son corps est projeté dans la boutique, à travers les débris de ce qui était une entrée, poussant des hurlements de truie qu'on égorge et commençant à déverser du sang partout. Je ne porte pas une seconde attention à ce qui m'entoure et me précipite sur lui pour le finir. Je pourrais être dans les couloirs du palais royal à Madorass, l'essentiel c'est de tuer ce merdeux. Je jette mon marteau au sol, j'ai envie de le finir à main nue, et me place au-dessus de lui, à marteler son visage à coups de poings, encore et encore. Le sang commence à couler à flot mais il fait encore du bruit quand je m’interromps une seconde, prenant soudain conscience de la présence de notre hôte.
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Marius Azelan

Le libraire

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Marius Azelan
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MessageSujet: Re: La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!]   La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] EmptyMer 18 Mai 2016 - 8:32

Deux secondes. En deux secondes, la vie du Libraire aurait pu se terminer en bouillie, puisqu'il n'eut que cet instant pour éviter de recevoir au visage une porte dingue, défoncée par un orque écumant de rage. Tout sembla se passer avec une fluidité étonnante: Marius, mû par une intuition salvatrice, avait déjà posé un pied plus à gauche lorsque les gonds avaient cédé; puis, le second pied avait rattrapé le premier, tandis que l'immensité d'un homme cagoulé au bras en miette s'était étalé de tout son long, renversant par le fait même une étagère bien garnie. Apparemment, une histoire de violence s'apprêtait à se terminer dans sa boutique; à moins que cet orque entrant à son tour, un énorme marteau à la main, ne soit à la recherche d'un livre sur la botanique.

Hélas, les gens ne cherchaient jamais de livres sur la botanique.

Pendant un moment, le Libraire songea que son idée d'avoir déménagé à Venill n'était peut-être pas si bonne finalement. Combien de fois cette pauvre porte avait-elle fait les frais de l'action brutale des malfrats de la ville? Il lui semblait que cette porte, peut-être, était maudite; pourtant, un sorcier de son expérience aurait décelé la moindre once de malveillance en celle-ci. Non, semblait-il simplement que certaines personnes ne pouvaient jamais trouver la tranquillité, quoiqu'ils tentent. Et cette malédiction n'avait, hélas! rien de magique; elle semblait s'acharner pourtant sur les gens les plus désireux de trouver une routine saine, entre la vente de livres occultes et les expérimentations en magie noire.

L'orque leva son marteau, bien décidé à en finir avec son vandale d'adversaire. Par habitude, Marius sonda son esprit; rien de bien nouveau, un autre dur à cuire désireux d'abattre son adversaire; toutefois, une colère sourde semblait gronder au fond de l'orque, une rage noire bien plus profonde et bien plus lourde. Pourquoi n'ai-je donc pas appris à aller plus loin avec ces divinations, songea le Libraire. Son regard fatigué et légèrement (très légèrement!) embêté, regard type de celui qui a souvent affaire avec des petites frappes, se posa ensuite sur l'homme encagoulé, duquel il n'émanait maintenant plus que souffrance et terreur. Son bras était en miette; le coude avait éclaté sous l'impact du marteau, et les tendons semblaient s'être arrachés. Visiblement, le mercenaire serait chanceux s'il s'en tirait sans amputation.

Le regard balaya le sol, et soudain, le Libraire aperçut un de ses plus beaux ouvrages au sol: il avait dû tomber avec l'étagère. «Si ce n'est pas triste, un si beau livre», fit-il en le récupérant. Puis, se tournant vers l'orque et sur le même ton neutre, il ajouta: «Dites, la prochaine fois que vous comptez tuer un homme en pleine ville, assurez-vous de ne pas défoncer la porte des honnêtes gens. C'est impoli.»
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Dumbark Sang-Noir

Le Briseur

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MessageSujet: Re: La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!]   La nouvelle boutique du Libraire [Ouvert au premier venu!] EmptyMer 18 Mai 2016 - 9:17

Je lève les yeux du morceau de viande qu'est devenu mon adversaire en entendant la voix du propriétaire de la baraque. Sombre forme mince dans un vieille chemise grisâtre. Pas vraiment du genre à poser un problème physiquement. Mais quelque chose ne va pas. Il est trop détendu. C'est pas que ça me réjouisse, du moins pas tout le temps, mais je suis plutôt du genre à faire chier dans son froc. Et ce type se contente de me sermonner tranquillement sur toute l'affaire destruction de porte et invasion de propriété. Merde à lui. Je ne lui prête plus attention et me retourne vers ma victime du moment. Je vais reprendre le travail de destruction à coup de poing sur le brave connard au bras désarticulé, mais quelque chose cloche.  Y a encore une bonne part de moi qui reste lucide et qui s'interroge sur ce type trop calme. Un combat trop facile, et trop court, une ivresse pas encore digérée et une gueule de bois qui se prépare, ça limite assez ma rage pour que je continue à avoir une putain de conscience. Et je déteste ça. Cette petite voix au fond de moi qui me rappelle que je voulais pas d'ennui avec la justice, et que je suis en train de m'en faire à l'instant, et qu'un type qui n'a pas peur d'une bête comme moi est toujours à prendre au sérieux. Alors que je réfléchis à ça, les poings serrés prêts à frapper, je sens ma colère disparaitre petit à petit. Pff. A quoi bon finir le gosse, il a déjà pris plus qu'il n'a jamais encaissé.
Et en même temps... Pourquoi lutter ? C'est dans ma nature. J'attrape le bras brisé du garde du corps de mes deux, et tire lentement mais surement des deux côtés de la blessure. Alors, oui, ça gueule. Ça gueule même beaucoup. Mais j'adore ça. Tout doucement, je transforme un bras qui était en parfait état de marche quelques minutes plus tôt en deux morceaux. Il y gagne au change, il devrait me remercier !
Quel pied de regarder la chair se déchirer, les os se disloquer, les tendons se tendre, encore, encore, un petit peu... Et clac ! Ça y est. Plus rien ne rattache ce brave branleur de ce qui fut autrefois son avant-bras et sa main.
Je me sens soulagé. Un plaisir de s'amuser comme ça. J'arrive à peine à m'entendre penser avec les hurlements que pousse le gosse, alors je le mandale une dernière fois. Un grand coup sur le côté du crâne avec sa propre main, et le voila qui s'évanouit. Ce que je peux me marrer, quand même. La vie, c'est des petits plaisirs comme ça. Je regarde un peu autour de moi et m'attarde sur le boutiquier. Un libraire. C'est pas ça, qu'il voulait le nain aux pupilles noires ? Tuer un libraire ? Je me souviens plus...

-Désolé pour la porte, l'ami, mais c'est le petit qui voulait voir l'intérieur, que je dis, histoire de faire courtois et civilisé.

Je m'époussette vite fait avec la main de l'autre. Le boutiquier ne flanche pas, même face à ma carcasse toute entière, du genre à toucher son plafond avec les genoux pliés.

-Tu serais pas un certain... Théro-quelque chose ? que je demande. D'Alba ou d'Albin ? Le papa du gamin veut la peau d'un type qui a des livres...

Eh ! Qui ne tente rien, n'a rien. Je me souviens que le nain parlait de livres. Et y a que ça, ici, des putains de bouquins à perte de vue ! J'avoue, tout ça m'a chauffé les oreilles. C'est pas un crime de trouver la cible qu'on voulait que je casse et de lui en parler. Si c'est un vrai connard, j'aurais qu'à me le faire, et à moi les livres et le pognon de la revente, et si c'est un type bien, il aura pas de problème à récompenser son sauveur pour le généreux renseignement.
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