Meneldil Tristelune

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Votre personnage

Nom : Tristelune
Prénom : Meneldil

Âge : une centaine d'année
Sexe : homme

Race : Démon
Classe : Lame noir
Métier : Aucun
Croyances : Etant un démon Menedil est bien entendu un athée
Groupe : Démonique, il obéit à son seigneur même si cela ne le convient parfois ...Hé seulement on ne fait pas toujours ce que l'on veut dans la vie !

Équipement : Plusieurs armes dont une longue et large épée noire accompagné de quelques dagues de jets cachées sa personne; de quoi faire du feu ainsi que des vivres quand il fait de bonnes chasses.

Talents de combat : Oh c’est simple, Meneldil à l’habitude de sauter sur ses proies et les hacher menu avec son épée !! Non trêve de plaisanterie, ce qu’il faut comprendre est que Meneldil ne possède pas vraiment de technique de combat, il fonce voila tout. En fait cela dépendra de la taille et la force de son ennemi, évidement il ne se battra pas de la même façon avec un monstre qu’avec un freluquet. A chaque fois c’est de l’improvisation pure et simple, certes l’on lui a appris quelques bases encore heureux, cependant le démon préfère tuer à sa manière. La seule chose que l’on peut noté est qu’il se bat plus souvent avec son épée qu’avec ses autres armes et encore moins avec ses poings seuls.

Talents de magie : Lui même n’en à pas vraiment, son épée par contre possède un terrible pouvoir qui n'est jamais sans conséquences sur l’intégrité physiques et mentale du démon. En effet celle ci peut « cracher » une sorte de flamme noire assez dévastatrice (sans non plus égaler le feu d’un dragon). Néanmoins à chaque fois que Meneldil utilise cette magie, il perd des fragments de son âme qui vont rejoindre son épée, à la longue l'arme finiras par vampiriser complétement notre pauvre Lame noir, finissant de lui donner vie. Ainsi il ne fait appel à ce pouvoir que très rarement, lorsqu’il n’en à pas le choix, non pas qu'il s'inquiete pour lui, seulement il n'a aucune envie de perdre le contrôle de son épée ...

Talent divers: Le démon est très doué pour trouver des bons coins ou dormir en pleine Nature; il arrive plus ou moins à sentir lorsque quelqu'un lui ment et est assez bon chasseurs quand il s'y met.

Apparence physique :
Et bien il n'est pas difficile de deviner que Meneldil est un guerrier lame noir en le voyant car, comme la plupart de ses confrères notre jeune homme est une taille et une carrure impressionnante. En témoigne d'abord son mètre 95 pour un poids de 80 kg constitués majoritairement d'une musculature sèche et puissante ; évidemment le démon peut se targuer de posséder une force brutale, presque animale, supérieure à celle de n’importe quels humains par exemple. Pourtant, Tristelune ne manque pas d'une certaine grâce, ses membres se mouvant avec finesse et non de la lourdeur comme l'on pourrait se l'imaginer. D'ailleurs cette finesse ce remarque lorsqu'il combat, on croirait presque qu'il dance. Ses mains sont grandes, fortes, dotées de doigts ciselés terminer par de longs oncles pointus. Recouvrant son corps, une peau aussi blanche que la craie, rude et recouvertes de cicatrces et de tatouages en tous genres. Son visage maintenant, épais avec de hautes pommettes (signe distinctifs de sa famille) ne parai jamais amical aux premiers abords et en fait on se rend vite compte qu’il reflète son état mental; son regard rouge sang semble vous percer à jour, son nez pointu n'a rien de particulier quant à sa bouche aux fines lèvres sombres, cachant une dentition peu nette, est le plus souvent étiré en une grimace peut aimable, même lorsqu'il essaye d’être amicale. Cependant, ce visage est le plus souvent caché par une épaisse chevelure blanche et raide tombant jusqu'aux creux de ses reins. On ne pourrait dire avec certitude si Meneldil est beau ou pas, en fait il fait plus peur qu'autre chose lorsqu'on le rencontre pour la première fois, encore plus à cause de ce visage sévère qui n’apporte rien de bon. Bien entendu le jeune démon est également pourvu de sens plus développés que la normal, ce qui l'aide parfois lors de ses combats. Niveau vestimentaire le guerrier lame noir porte le plus souvent une lourde armure stylisée, seulement il n’est pas rare parfois de le voir simplement vêtu de solides habits de voyages ; porte toujours de hautes bottes en cuir et ne se sépare jamais de son épée accrocher à son dos par des lanières également en cuir.

Caractère, personnalité :
Comment décrire le mental de Meneldil ?
Curieux mais notre démon n’est ni tout noir ni tout blanc, en fait l’on pourrait considéré qu’il se situ plus ou moins entre les deux. Evidement il à une tendance nette à être malveillant, cependant il peut arriver qu’il sauve quelqu’un pour en tuer froidement un autre dans la minute qui suis, il ne peut s’expliquer ce genre de réactions, sûrement pour cela que le démon a tendance à fuir dans des coins bien isolés, n’aimant peut les contact. Il est donc fortement solitaire, et se rapproche bien plus de la bête sauvage que de l’être civilisé, fuyant donc le plus possible les villes dans laquelle il se sent terriblement mal à l’aise. Il met tout le monde dans le même sac et porte son regard désagréable sur tous, ne prêtant guère importance à la race ou à encore à la classe, sauf en ce qui concerne le seigneur des démon, auquel il arrive à ressentir un certain respect ; ce qui ne l’empeche pas de faire des efforts et converser normalement, seulement cela reste bien rare . C’est un esprit tourmenter toujours harceler par des voix dans la tête lui murmurant des choses, le poussant alors à devenir cet être violant, sanguinaire qu’aucune blessures ne peut arrêter. Bien peut de choses lui fait peur (sauf sa lame) et ne reculera devant aucuns ennemis. N’ayant aucuns véritables amis Tristelune à tendance à parler avec son épée ou encore son cheval, s’imaginant avec conviction que ceux-ci arrivent à le comprendre. D’ailleurs le démon entretien une curieuse relation avec son arme, à la fois fasciner et légèrement effrayer par son pouvoir ainsi que par la vie qui semble l’animé. Pourtant son ce masque de froideur, le guerrier lame noir possède tout de même un certain sens de l’humour, qui se rapproche du cynisme, aimant se moquer de lui et de sa propre folie. Meneldil n'aime pas qu'on le dirige ou qu'on lui donne des ordres, ce qui est totalement paradoxale vue qu'il se soumet au seigneur des démons, ce qui prouve qu'il n'a pas toujours toute sa tête. Etant un athée il ne croit donc en aucuns dieux, néanmoins il croit aux forces Naturels et en la magie. Finalement il n’est pas aisé de le cerner en entier, comme draper d’un pan de mystère ....

Histoire :
Il y a de cela fort longtemps, un centaine d’année donc, un petit démon vit le jour dans une sombre battisse situer dans le Vein. Celle ci se trouvait alors dans les grandes plaines désolées, endroit peut joyeux pour un enfant normal. Cependant à peine Meneldil sut il tenir sur ses deux pieds qu’il y partait gambader, observant de ses grands yeux rouges les pauvres voyageurs égaré. Lui et ses parents étaient les seuls vivant dans cette contré mortes, du moins leur plus proches voisins se trouvaient à des distances bien trop extravagante pour même penser à aller leur rendre visite ; de plus il n’est pas connu que les démons soient des être particulièrement porté sur la camaraderie. Evidement son père ne tarda pas à l’initier aux arts des armes, avec des épées ou des dagues, ainsi que les combat à mains nues. Il était clair que le vieux démon désirait que son fils devienne un fort guerrier, pour qu’il reprenne ainsi le flambeau. Car, ses parents étaient tout deux au service du Seigneur, par simple logique l’enfant le devint à son tour, éduquer dans l’idée que cet homme était a respecter. Ce fut durant cette enfance en solitaire que Tristelune cultiva ce qui devint plus tard un caractère porter sur la solitude et le mépris de tout êtres, surtout les anges pour sûr, comme tout démons digne de ce nom ! Néanmoins lorsqu’il fut en âge de partir le jeune guerrier le fit sans regret ni regards en arrière, jamais il n’y avait eu entre ses parents et lui des sentiments d’amours ou autres émotions de ce genre, pour lui son père n’avait été qu’un bon professeur et sa mère la femme qui le nourrissait. D’ailleurs il ne les revit plus, ce qui ne le dérange guère, peut êtres sont ils morts, seulement cela ne fera aucune différences.

Son long voyage le mena jusqu’aux rives du lac des âmes perdues, là bas il rencontra un vieux sorcier à moitié fou ; celui ci tellement heureux d’avoir enfin de la compagnie, accueillie le jeune démon avec grand joie. Le sorcier était vieux et lui manquait bien des cases, néanmoins il était puissant et surtout spécialisé dans la conception d’artéfacts en tout genres. C’est ainsi qu’il améliora l’épée de Meneldil, y ajoutant toutefois une sorte de malédiction (il était heureux de ne plus être seul, ce qui ne l’empêchait pas d’être totalement malveillant, aimant faire des coups en douce). La raison qui poussa ce vieillard à faire cette amélioration ne fut connue du jeune homme, qui encore maintenant se le demande. De plus Tristelune ne s’en rendit compte de cette malédiction que le jour ou il usa du pouvoir de son épée pour la première fois, sentant quelque chose en lui se déchiré pour aller rejoindre la lame maudite. Effrayer au début, le jeune guerrier fini par ressentir de la fascination morbide à l’idée qu’un jour son esprit finirait en entier dans cette chose de métal à moitié vivante. Son errance dans le Vein le mena à rencontrer bien des créatures et démons fort intéressant qui à chaque fois lui apprirent leurs savoirs et leurs expériences, le dernier en date fut un Lame noir et ce fut grâce à cet énigmatique grand démon qu’à sont tour il devint comme lui. Pourtant au fil des rencontres le jeune homme fini par devenir de moins en moins sociable et fini par éviter toutes les gens.

Ce fut durant cette période que les voix dans sa tête commencèrent à lui tenir gentiment compagnie ; celles ci le poussant à tuer tout et n’importe qui, sans réelles distinctions, dans un hasard presque chaotique. Le guerrier Lame noire ne fit pourtant rien pour les arrêter de parler, ces voix désincarnées devenant peut à peut ses seules amies, en comptant les chevaux qu’il prenait au gré de ses voyages et son épée. Comme l’on peut se l’imaginer, Meneldil ne resta pas dans le Vein et repérant une faille, il y passa pour se retrouver dans le monde du milieu ; ce fut une expérience étrange ou les images ainsi que les sons se mélangèrent dans tourbillon qui faillit le rendre encore fou qu’il ne l’était déjà. Ce fut les hautes montagnes que l’être démonique visita en premier, étant atterrie sur le glacier de l’une d’elle, le rude climat le surprit, cependant il s’y fit bien vite étant plus fort physiquement. Bien entendu le peut d’autochtones qu’ils croisa le fuyaient plus qu’il ne l’accueillerent, effrayer par son allure de monstre albinos à l’armure dentelé de partout. Tristelune resta un bon moment dans ces hautes montagnes, se plaisant à la rude vie de bête sauvage, devenant de ce fait un bon chasseur et expert dans l’art de trouver de bons coins ou dormir. Il ne revint peut de fois au Vein, préférant parcourir le monde du Milieu, le fait est que les voix aussi s’y plaisaient Parfois le démon projette d’aller rendre visites aux anges, histoire de rire un peut, mais sais pertinemment que cela est infaisable ....

En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ?
Une fois par semaine j'espére (surout le week end)

Comment avez-vous découvert le forum ?
Sur un top site

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ?
J'aime beaucoup ^^

Test-RP

La nuit était froide et noire, aucunes étoiles ne se faisaient voir dans le ciel à peine découvert par les branches des arbres centenaires. Une brume stagnait entres les troncs cachant le sol de sa couleur blanchâtre, elle donnait une désagréable sensation de vie malsaine, comme si elle n’était qu’un monstre imprenable. Rien ne se faisait entendre dans cette forêt de désolation, de toute façon quels genres d’animaux voudraient vivre en ce lieu ? Aucuns sauf peut être des créatures dégénéré ainsi que des démons et justement il y en avait un. Se tenant totalement immobile, l’être démoniaque se fondait totalement dans le décor, au point qu’on croirait à une statue. Sa peau cadavérique était aussi blanche que la brume et son armure dentelée renforçait cette impression de malveillance. Les yeux fermer, Meneldil semblait méditer dans de profondes pensées, ne venait il pas d’utiliser encore une fois le pouvoir maléfique ? Combien de temps se passerait il, avant que sa lame devienne la prison de son âme ? Ouvrant son regard de sang, le guerrier Lame noir observa attentivement l’objet de métal noir, une grimace déformant son visage de craie. L’on pouvait se demander pourquoi il ne s’en débarrassait pas et bien, peut être parce qu’elle était une amie, pas bavarde pour un sous certes mais, qui était fort utile. Jetant un regard autour de lui le démon fini par se remettre en marche, peut troubler par le froid mordant de la forêt noire. Sa cape d’une sombre couleur violette voletait derrière lui sous l’action du vent, donnant alors à Tristelune l’allure d’un rapace monstrueux. Soudain les voix dans sa tête, qui ne parlaient pas toujours, retentirent histoire de le tourmenter un petit moment ; ce qu’elles racontaient n’étaient pas toujours cohérant, de toute façon elles n’étaient que l’incarnation d’une folie grandissante. La présence de quelqu’un se fit ressentir et voir, les yeux perçant de Meneldil le repérant à quelque pas de sa personne, qu’allait il faire ? En premier lieu, le démon fut tenter de rebrousser chemin et de partir à l’opposé de cette encombrante présence, seulement l’envie de tuer était présente elle aussi. Serrant plus fortement le pommeau de son épée, le guerrier Lame noir se senti alors déchiré entre deux envies, jusqu’à ce qu’il prenne une décision.

Malheureusement pour l’étranger l’envie de meurtre du démon prit le dessus et se mouvant lentement pour ne pas se faire entendre, l’albinos s’approcha de sa victime. Un rictus déforma son visage tatoué dévoilant de ce fait, une dentition tirant sur le jaunes et joliment pointue. Au moment ou l’être démoniaque fondit sur l’étranger, celui ci tira une longue épée et engagea alors le combat, au font de lui le démon salua cette preuve inutile de courage. Plusieurs fois il tomba au sol, se relevant assez vite pour ne pas se prendre de coup mortel, pas une seule fois il ne pensa à utiliser la flamme, n’en voyant pas l’utilité. Il ne su de qu’elle race ce guerrier solitaire appartenait et ne s’en préoccupa guère, pour lui ce ne fut qu’un combat et un mort de plus dans sa propre liste sanglante. De plus cet ennemi avait réussi à le blesser à quelques endroits de son corps blanchâtre, malgré la protection de son armure, finalement tout deux avaient usé pratiquement de la même force, sauf que le démon avait bien entendu gagnée. D’un regard absent Meneldil essaya sa lame sur les habits du cadavre, hésitant désormais à l’idée d’en manger des bouts ou non. Ce ne serrait pas la première fois qu’il s’amuserait à manger de la chaire non animal, et qui l’en empêcherait dans cette forêt ? Certainement pas un autre démon, parfois il en rencontrait des plus illuminés que lui. Pourtant il n’en fit rien et tournant les talon reparti tranquillement comme si de rien n’était, son épée passer dans on fourreau accrocher au dos. C’est alors que pour la première fois depuis que le démon se trouvait dans cette forêt, des animaux se manifestèrent ! Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévora le valeureux mort. Il se retourna pour voir alors ce qu’ils faisaient ; les bruits et la vue de cette chaire déchiqueter par de nombreux becs noirâtre en aurait dégoûter plus d’un, sauf le guerrier Lame noir qui se délecta du spectacle jusqu’au bout, qui ne supportait que la présence de la faune et de la flore. Cela ne dura que quelques minutes avant que le cadavre ne devienne squelette et les immondes créatures partirent laissant alors les os se voiler dans la brume. Un léger rire retenti puis enfin Meneldil Tristelune repartie curieusement de bonne humeur ....

Excellent, très bien écrit. Bon personnage.

Et... Comme le dirait un allemand :
Ich validich ! (en fait ça veut rien dire mais essaye de comprendre : "Je te valide !")

Meneldil Tristelune 90053

Validé

Ti peut aller RP

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