''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Kyren Antus

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Kyren Antus

♘ | L'Ombre de la Mort

________________

Kyren Antus
________________


Race : Humain
Classe : Roublard
Métier : Assassin
Croyances : Aucune
Groupe : La Lame d'Argent

Âge : 27 ans

Messages : 102

Fiche de Personnage : Kyren Antus  Altair

Histoire de Personnage : Kyren Antus  Th_AssassinsCreedLogo_thumb_481

Kyren Antus  _
MessageSujet: Kyren Antus    Kyren Antus  EmptyDim 13 Mar 2011 - 19:17

* * *

Personnage


Nom : Antus
Prénom : Kyren
Rang : L'Ombre

Âge : 25 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Classe : Roublard
Métier : Assassin
Croyances : Aucune
Groupe : Lame d'Argent

Équipement : Diverses lames ( Epée, lame cachée au poignet, couteaux de lancer,...)
Talents de combat : Bon épéiste ?
Talents de magie : /
Talents divers : Discrétion, Escalade,...
Pouvoirs particuliers : /

Apparence physique :
Kyren est un homme assez bien bâti, il mesure un mètre quatre-vingt cinq, pour quatre-vingts kilos répartis comme il se doit. L'homme a des cheveux bruns, coupés assez courts. Ses yeux sont de couleur marron, et il les a très perçants, évidemment, sinon, ça poserait problème avec son métier. L'assassin porte en général une tenue longue blanche ou noire, lui permettant une grande liberté de mouvements pour mieux surprendre ses ennemis. Une imposante ceinture en cuir lui sert à tenir sa tunique, et à y poser ses couteaux de lancer. Il lui arrive quand même de varier ses tenues, mais en général, une capuche lui cache légèrement le visage. Il affiche la plupart du temps un visage neutre et ne montre que rarement ses émotions. Sous ses vêtements, il y a en général plusieurs armes, dont sa préférée, une lame rétractable ( au bras gauche) qu'il utilise pour les meurtres rapides et discrets. D'ailleurs, il lui manque l'annulaire de la main gauche suite à un incident, mais d'un côté, cela lui a permit d'améliorer sa technique avec la lame. Enfin, petit détail assez insignifiant, Kyren a une cicatrice sur les lèvres, perpendiculairement à celles-ci.
Malgré tout, il arrive quand même à se fondre parfaitement dans la masse, et sans avoir besoin d'un sort de discrétion ou autre...


Caractère, personnalité :
Kyren est un homme taciturne, il ne parle jamais pour rien dire, et le seul moyen de le voir parler plus que d’habitude est de faire partie de la Lame d'Argent, ou encore mieux, de son cercle privé. Sinon, comme la plupart des assassins, il pose peu de questions quant à ses missions. Mais bon, c’est une qualité appréciée chez lui, qui ajouté à ses talents, ont fait de lui un assassin renommé au sein de la guilde.
Hé oui, en dehors de la guilde, peu de personnes vivantes connaissent son existence, et encore moins son nom. C’est son côté « Ombre ». Un de ses nombreux surnoms dû à son attitude discrète. La plupart du temps, il se contente d’observer, ce qui fait que les gens oublient qu’il est présent. Quoi que, des fois il peut être présent dans la salle sans que vous ne l’ayez remarqué.
Mis à part son métier d’assassin, il se contente de peu de contacts extérieurs. Il ne vit quasiment que pour l'argent que lui procure son métier. Son travail est apprécié, sa rapidité, sa discrétion, et son efficacité en font un assassin doué.


Histoire :
Pour vous raconter mon histoire, je dois aussi prendre en compte celle de mes parents. Lui, un assassin silencieux et taciturne au service de la guilde, et elle, une tueuse d’un autre genre. Elle passait du temps avec ses cibles, car en général, elle devait leur soutirer des informations capitales. Hé oui, certaines infos peuvent être revendues à bons prix ici. Et en supplément, il lui arrivait de prendre un petit supplément dans les objets de valeur de ses victimes… Voilà donc une rapide description de mes géniteurs.
Je ne suis donc pas un enfant de l’amour. Ma "mère" ne me voulait pas, et j’ai donc été confié à la Lame d'Argent, étant donné que mon "père" n’avait pas de temps à perdre avec un petit garçon. Peu importe. C’était sans doute mieux ainsi, de toute manière, aucun des deux n’aurait réussi à élever un enfant convenablement. Je les voyais juste une fois de temps en temps, ces visites devaient sans doute alléger leur mauvaise conscience, ou alors ils n’avaient rien d’autre à faire. Quoi qu’il en soit, je passais mes premières années sous la tutelle d'un vieil assassin qui m'apprit tout ce que je sais.
Certains trouveront ça étranges, moi non, j’ai grandi dans ça, je n’ai donc aucun élément de comparaison. Dès mon plus jeune âge, je fus habitué à croiser divers mercenaires, assassins, espions et je ne sais quoi de toutes sortes. Je suivais en même temps un entrainement physique, surtout pour mon agilité, et un entrainement mental portant sur diverses choses plus ou moins triviales. Je commençais sans le savoir à suivre les traces de mon paternel.

L’adolescence arriva, après quelques années d'apprentissage. J’étais de plus en plus calme, je ne parlais déjà que peu, et surtout, je n’étais pas encore l’assassin que je suis aujourd’hui. J’étais chétif, mais assez agile pour faire quelques taches basiques. Je n’étais encore jamais allé en ville tout seul, à chaque fois quelqu’un m’accompagnait, une fois ce furent même mes "parents". Malheureusement, quelqu’un reconnut la femme qui m’avait donné la vie comme étant celle qui l’avait dépouillé. Visiblement, elle aurait du le tuer. Elle s’enfuit sans dire un mot, forçant mon géniteur à me prendre avec lui et à monter sur les toits de la cité pour s’enfuir.
Au bout de quelques minutes de fuite, il me dit avec un sourire un peu gêné que c’était sans doute l’heure de mon baptême, que c’était le bon moment pour mettre à exécution ce que j’avais appris. J’étais sous le choc, il me distança en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, alors que du haut de mes treize années, et seulement six courtes années à m’entrainer, j’eus beaucoup de mal à faire la moitié de ce qu’il avait fait. Je me ratais plusieurs fois, me faisant assez mal sur certaines chutes. Mais tant bien que mal, je continuais. Jusqu’au moment où je ne fis pas attention à un tout petit détail. Un grillage entre deux toits me couta l’annulaire de la main gauche, et une superbe chute, qui finit par chance dans un tas de foin.
Je me retrouvais plus tard, après un gros trou noir dans ma mémoire, à l’hospice de la Lame d'Argent, un bandage au doigt, et une douleur lancinante dans la tète, qui passa en quelques jours. Mes "parents" allaient bien, ma mère s’en était sorti. Bref, mis à part ma chute, rien de spécial.

Malgré cet incident, le reste de mon adolescence se déroula tranquillement, je devenais chaque jour plus fort, plus agile, plus discret. Je reçu même une arme idéale, en plus de mon épée, pour tout assassin qui se respecte. Une lame rétractable que je cachais à mon bras gauche. Mon doigt manquant me facilitait la tache. Il laissait un espace permettant à la lame de circuler. De cette manière, en serrant le poing, je pouvais l’activer sans problème. Mais l’adolescence réserve son lot de problèmes, malheureusement. On se croit tout puissant, invincible. Malgré mon caractère discret, j’avais moi aussi le "droit" à ça. Je faillis me faire tuer deux ou trois fois en ratant une mission trop difficile pour moi. Heureusement que la guilde envoyait toujours quelqu’un derrière moi pour me surveiller à cette époque, sinon, ça nous aurait valu de sérieux ennuis.

Avec le temps, j’appris de mes erreurs, et fis mon possible pour ne plus les refaire. Je commençais à devenir un excellent assassin. La nuit était mon alliée, je me servais des ténèbres pour me fondre et frapper sans crier gare. Mais comme tout bon assassin, j’étais aussi capable de travailler de jour, de me confondre avec la masse des passants avant, et après avoir fait ce que l’on me demandait. Personne ne me voyait, et je disparaissais aussi vite dans l’obscurité ou sur les toits.
Ces mêmes toits qui me servaient de perchoir pour mieux repérer mes trajets, l’emplacement de mes cibles. Car au fil du temps, j’avais appris à me repérer tel un oiseau, voyant ce que les gens au sol ne pouvaient pas, ce dont ils n’imaginaient pas l’existence. J’étais devenu une véritable ombre, à part le clan, et encore, pas tout le monde ne me connaissait chez les Jalg, du moins, les tètes pensantes faisaient attention à ce que, comme tous les assassins, personne ne puisse me dénoncer ou remonter jusqu’à eux par moi.
Bref, vous le voyez, ce n’est pas un métier facile tous les jours. Beaucoup de solitude, peu de temps pour soi, mais on s’y habitue, d’ailleurs, je ne m’imagine pas faire autre chose, tout ma vie j’ai été élevé pour faire ce travail…

Le temps passa encore, sans grand incident, je continuais de faire mon travail pour le clan au sein de la ville. Je changeais un jour de lieu, rejoignant une autre succursale de la Lame d'Argent. Un nouveau secteur, il y a un an. J'en appris bien vite les endroits idéaux pour mon travail. Là, les membres locaux du clan m’accueillirent normalement, sans cérémonie, sans manifestations superflues. Juste un "Bienvenue" par certains, ou un hochement de tête.
Et là, je fis quelque chose qui ne m’avais jamais été demandé. Je dus travailler en équipe. Il faut dire qu’avec les rebelles, autres, il y avait du boulot. Enfin, par je ne sais quelle raison, j’ai toujours eu du mal à accepter les contrats me demandant de tuer un supposé rebelle, ça m’était pourtant bien égal qu’il aide à renverser ou pas le tyran qui était sur le trône. Hé oui, au fond de moi, je voulais que tout ça change. Tout d’abord parce que qu’en cas d’affrontement, ou même de simple guerre verbale, ça nous ferait plus de boulot. Ça me donnait du temps libre, mais comme je n’en avais quasiment jamais eu, je me sentais un peu perdu au début.

Il y avait bien des nouveaux à former, mais la patience n’était pas mon fort. La plupart des autres boulots me semblaient trop ennuyeux, je me rendis compte qu’à part tuer sans être vu, je ne savais pas faire autre chose. Tel était sans doute mon fardeau. Le même que mes parents sans doute, le même que Leylane, une jolie elfe qui m’étais fort sympathique, mais aussi de quelques autres membres de la guilde du coini. Le temps libre dont je disposais ne m’avais pas rendu moins solitaire et taciturne, mais de temps en temps, il fallait bien se sociabiliser. Ces gens avaient les mêmes sujets de discussion que moi, c’est-à-dire, leurs contrats ( sans divulguer les informations confidentielles), leurs talents, etc…, bref, pas des discussions qu’un homme normal comprendrait sans aide.

Un an plus tard, rien n’a réellement changé. Quoi que, si la situation en venait à changer, cela pouvait être bénéfique pour nous. Nous verrons bien comment tout ça continue, la suite de mon histoire n’est pas écrite, et avec elle, l’histoire de Feleth non plus. Le jour se lève, je regarde la ville du haut d’une bâtisse. L’homme que je dois assassiner aujourd’hui arrive…




En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Week-end pour le moment

Comment avez-vous découvert le forum ? Comme Christophe Colomb a découvert les Amériques

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? Aucune



Test-RP

Bon, j'ai fait ça en vitesse, je voulais le poster ce soir, pas envie d'attendre vendredi pour finir^^

L'astre solaire se lève à peine dans le ciel. Les gens vaquent à leurs occupations. Lentement, la ville s'éveille. Une douce clameur vient à mes oreilles, là haut, perché sur ma portion de toit.
Le froid de la nuit est encore présent, mais la chaleur du matin s'installe peu à peu sur la ville. La vie reprend son cours, les oiseaux chantent, le forgeron ouvre son échoppe, et les gardes se relayent…
Au loin, les cris d'un homme. La routine dans les ruelles de Madorass. Voleurs, tueurs, gredins, tout se trouve ici, sans compter la toute puissance des gardes ou des Capes Blanches. Je n'y prête pas attention. J'ai d'autres préoccupations. Un contrat simple, en solitaire. Un homme doit quitter ce monde. Je n'ai pas eu vent des raisons des causes qui le mèneront au trépas, je n'en ai cure. La récompense sera là une fois que je reviendrais à la guilde avec une preuve.

Patiemment, j'attends. J'attends que ma cible se dévoile. Depuis peu, il a pris ses précautions, mais ça ne lui suffira pas, pas avec moi à ses trousses…
Une porte s'ouvre. Celle que je surveille depuis quelques longues minutes. Deux hommes en sortent, des mercenaires, suivis ensuite par ma cible. Peu de précautions, ça lui sera fatal. Il aurait du rester chez lui ou recruter plus de gardes personnels. Qu'importe, c'est trop tard…

Ils avancent tranquillement sur la petite place, sans savoir que quelqu'un les observe en hauteur. La visage caché par la capuche de ma tunique, je les suis de mon regard perçant. Dans peu de temps, le sang va couler. Les deux mercenaires ne font pas partie du contrat, mais je suis bien obligé de les éliminer. Pas de témoins…
Sans un mot, ils s'engagent dans une rue, je me lève, et avance moi aussi. Je saute par dessus le vide d'une petite ruelle, et la traque commence. Du coin de l'œil, je regarde le trio progresser dans les froides ruelles de la cité, il me faut attendre qu'ils empruntent un itinéraire moins fréquenté. Il ne faut pas agir à découvert, il faut attendre qu'ils se retrouvent seuls, et que je puisse m'en aller aussi vite que je frapperais. L'odeur du pain dans le four vient à mes narines, agréable senteur, à laquelle il est difficile de résister lorsque la faim vous tenaille. Heureusement que j'ai englouti quelque chose avant de me mettre à ma tache.
L'homme parle à diverses personnes, me forçant à m'arrêter, perché ou non, parfois même lors de l'ascension d'un mur, ou en jouant l'équilibriste sur une poutre joignant deux maisons. Aucun problème, je ne suis pas pressé, j'ai toute la matinée pour mener le contrat à bien. Il peut profiter pleinement de ses dernières bouffées d'air, de son dernier repas, de ses derniers instants. Si seulement il savait que derrière lui, la Mort l'attendait, il le ferait. Il faut toujours profiter pleinement de ce que l'on a, de ce que l'on fait, on ne sait jamais quand elle frappera.
La vie est donc un bien précieux. Seulement, on ne le comprend que trop tard, quand on est face à la fin. Nous, les assassins, sommes conscients de ça, on profite donc à notre manière de cette vie. Nous savons que cette bouffée d'air peut être la dernière, que cette bouchée de pain peut être la dernière, personne ne peut prédire le moment où tout s'arrêtera.
Mais cessons ces pensées philosophiques, le sang va couler. Le trio est maintenant dans une ruelle étroite, en file indienne. Difficile pour eux de fuir dans ces conditions, encore moins de se battre. Leurs carrure les en empêche. Avec un sourire, je sort un couteau de ma ceinture, et le lance sur le premier mercenaire. La lame s'enfonce directement dans le cou, j'ai eu de la chance.

Stupeur de la part des deux derniers. J'ai intérêt à agir vite, et bien. Ce n'est pas très haut, je saute le poing fermé, lame en avant. J'atterris sur le deuxième garde qui n'a même pas le temps de sortir son arme. Ma lame secrète sectionne la gorge de ma cible, qui, les yeux écarquillés tente de voir mon visage sous ma capuche. Seul mon sourire est visible. La peur de la mort se lit dans ses yeux, je frappe ensuite au cœur, puis à l'estomac. Il s'écroule tandis que le dernier garde se relève. Ma chute l'a sonné, mais il reprend vite. Son épée est déjà sortie. Aucune chance que je lui résiste avec seulement la lame de mon poignet. Je sors moi aussi mon épée. Dans cette étroite ruelle, nous sommes gênés, mais j'ai de l'expérience. Il a du combattre en espace dégagé, ses mouvements sont lents pour ne pas heurter le mur. Je pare ses assauts, et je réutilise ma lame cachée. Son œil cède sous l'acier, et sa vie prend fin quand son cerveau et transpercé.

Rapide et efficace, la qualité que tout le monde attend d'un assassin. Je retourne rapidement sur les toits, mon domaine, celui des assassins… La guilde sera contente de savoir mon travail accompli, et le commanditaire triste de voir partir une certaine somme de ses coffres…





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Akira Satetsu



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Race : Démon Commun
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Fiche de Personnage : Cendres.


Kyren Antus  _
MessageSujet: Re: Kyren Antus    Kyren Antus  EmptyLun 14 Mar 2011 - 7:42

Bonjour mon petit Shin ! Enfin je veux dire, Kyren.
Re-Bienvenu sur Feleth, merci pour ton inscription.

Alors, personnellement, je suis très satisfaite de l'histoire. Surtout de la dernière phrase. Complète, bien rédigée, sans trop de fautes (à part quelques une d'accent, par exemple "tète", qui s'écrit normalement "tête"). Le test RP est beaucoup mieux passé, et franchement, toi qui voulait faire quelque chose de court, je le trouve complet, détaillé, bref. Tu as un bon niveau de rôle play, ça c'est clair.
Ta fiche est plus que satisfaisante au niveau des descriptions, cependant, il est dommage que tu prennes si peu de temps pour parler de tes talents de combats. Décrire le style de combat, les points forts et faibles de manière plus précises aurait parfaitement complété ta fiche.
Mais ce n'est pas grave. Donc, je te valide, en ce lundi matin.
(ouais le matin, je me prépare pas, je valide des fiches. Et après je suis à la bourre).
Si jamais tu souhaites modifier ta fiche, préviens un admin qu'il la replace dans le sujet.
En tout cas, bravo \ô/.

Kyren Antus  111

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Kyren Antus

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