''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].

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Meneldil Tristelune



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Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  _
MessageSujet: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyDim 12 Déc 2010 - 21:43

A ne pas en douter, ce lieu était le plus délirant du Vein, que dis je délirant ? Non voyons, complètement dingue plutôt, à la limite de la folie meurtrière, au delà des frontières du supportable ! Il n’y avait que les démons pour être capable de supporter une telle ambiance sans sombrer dans la pire des démences, quoique sur ce point ce ne fût pas tout à fait sûr. Meneldil en était le parfait exemple du gars totalement dominer par sa folie déjà existante et qui sombrait aussi vite qu’un bateau qui aurait un trou de la taille d’une maison dans sa coque. Il ne savait exactement depuis combien de temps il errait dans les couloirs cauchemardesques des souterrains de l’avilissements, une éternité peut être et n’était plus vraiment lui même. En effet, les voix désincarnées qui habitaient habituellement son esprit tourmenter semblaient avoir trouver corps et âmes et harcelaient encore plus notre pauvre démon albinos. Celui ci n’arrivait plus à différencier réalité et hallucination, encore que la réalité avait elle réellement sa place en ce lieu démoniaque si vieux ? Sûrement que non, il était également probable que Tristelune ne soit pas le premier à ne se perdre dans ce labyrinthe et ne jamais en ressortir. Pourtant y était il entrer de son plein gré, connaissant totalement les risques et périls qu’une promenade dans les couloirs pouvaient comporter, seulement il y était entrer et désormais ce n’était pas le moment d’avoir des regrets. De toute façon son cerveau lui giclait tellement des oreilles (au sens figuré bien entendu) que des regrets il était incapable d’en avoir.

Epée tiré au clair, le guerrier lame noire se méfiait de tout et n’importe quoi, attaquant toutes les visions qui surgissaient devant ses yeux rouges sang tout en poussant des hurlement de bête enragé. D’ailleurs il n’était pas loin d’être ravaler à cela, une bête sauvage et effrayer fortement dangereuse et armé d’une lame à moitié vivante capable de cracher du feu. Autant dire que Meneldil ne se trouvait pas être la personne la plus amicale à croiser dans le coin, bien que seul les démons pointaient leur nez ici. Un être humain n’aurait pas tenu dix minutes et un ange aurait filer plus vite que son ombre. Ce qui était amusant à entendre étaient les rires qui secouaient le corps blanchâtre du démon lorsque ses cris cessaient, en fait il ne restait silencieux plus de trente secondes, épouvanté à l’idée d’entendre des choses qu’il n’avait pas forcément envie de percevoir. A coup sûr il ne ressortirait pas indemne d’une telle balade, mais cela faisait partie des aléas de sa vie sans attaches et complètement folle n’est ce pas ? Le couloir filait sombre devant lui puis parfois tournant la tête il vit les murs se gonfler et se dégonfler comme s’ils faisaient partie du corps d’une monstrueuses et immense créatures. Alors son visage de craie se retournait vers le chemin mais des visons atroces de corps aux formes absurdes s’avançant vers lui s’imposaient. Ce ne sont que des exemple des images ou réalités parallèles que vit et vécu et vivrait l’être démoniaque, bien décide à ressortir d’ici ou s’enfoncer encore plus. Car, au fond de lui une sorte de curiosité morbide le poussait toujours plus loin afin de découvrir ce que cachait l’endroit le plus maléfique de tout le Vein.

Allons les horreurs protégeaient peut être une sorte de fabuleux trésor, une arme ou une source de pouvoir ? Enfin, ce fut ça au début qui motiva le démon de continuer, maintenant ses raisons étaient un peut plus obscurs. En tout cas, malgré la folie qui le dévorait avec férocité, Tristelune trouvait le temps entre ses cris et rires de taper la discutions à sa seule amie : c’est à dire sa malveillante épée. Jamais il n’avait eu la preuve que celle ci comprenait ce qu’il disait ni même si elle possédait effectivement une âme mais il s’en fichait complètement. Au moins était il facile de lui parler vue qu’elle ne lui coupait jamais la parole bien que il lui semblait parfois qu’elle lui répondait, surtout depuis qu’ils se trouvaient tout deux dans les couloirs. Fatigué, les nerfs à vif, le guerrier lame noire décida de faire une légère pause afin de reposer ses pieds douloureux. Glissant le long de ce qu’il était sûr être un simple mur (mais était ce autre chose ? Comment en être absolument certain ?) Tristelune ferma un instant les yeux. Juste un instant oui mais même les yeux fermer l’ambiance psychédélique de ne lâchait pas, comme si une sorte d’entité maléfique se cachait quelque part et cherchait à détruire les intrus de l’intérieur. Encore un rire suivit d’un hurlement puis une question son épée, allait elle bien ? Evidement, l’arme devait se sentir mieux vu qu’elle n’était qu’un bout de métal noir. Les matériaux ne ressentes rien n’est ce pas ?


Dernière édition par Meneldil Tristelune le Jeu 13 Jan 2011 - 1:32, édité 1 fois
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Zimm Artos
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Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  _
MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyVen 17 Déc 2010 - 19:28



Les pupilles dilatés de Zimm s'arrêtaient avec émerveillement sur tous ces étranges choses mouvantes autour de lui. Il marchait dans ce lieu de l'horreur et de l'absurde avec ravissement, d'un pas lent et sûr de lui. Ses membres tremblaient légèrement mais il en avait aucune conscience. Il avançait de ces ténèbres, sous un ciel aux nuages délirants. Ces-derniers ne cessaient de prendre formes nouvelles, il y avait là dans ces grandes tâches grises toute l'histoire de Feleth, il y voyait des elfes aux airs hautains, des cartes éparpillées sur d'immenses tables sans fin, des lames s'entrechoquaient dans un bruit de tonnerre, des monstres rampaient de contes en contes, des yeux jaunes ne cessaient de le contempler avant de se refermer, il y avait aussi ce long serpent sifflant tous crocs dehors près à se jeter sur une proie qui jamais ne venait. Ce ciel épique mettait Zimm dans une sorte de jouissance ego-centriste, persuadé que tout cela avait été créer pour lui, que le ciel le remercier de fouler cette terre maudite, il était seul, unique, seul à voir cela.
Il baissa son regard vers le sol et vit mille petite bêtes colorés lui grimper dessus. Il leva les bras pour les laisser agripper à son cou, elles n'étaient que fruit des illusions et bien qu'il pouvait sentir leurs pattes gluantes sur sa peau, il ne s'inquiétait pas. Rien ne pouvait lui arriver ici, il le savait, tout du moins le pensé. Tout ceci n'était qu'un jeu.
Ses pieds s'enfonçaient dans une boue verdâtre recouvrant un sol peu palpable, plutôt oblique, valsant telle une balançoire. Des corbeaux tatoués de cœur de pique de trèfle et de carreau voletaient autour de lui en pensant de petits cris aigus, déchirant les tympans dans ce silence morbide. Ils tenaient chacun en leur bec un bout de chair violacé qui ne choyait point malgré leurs croassements désagréables. Zimm ferma les yeux et vit alors d'étranges statuettes colorés dansantes en cercle autour d'une lumière ondulée, les ongles du démon s'étirèrent alors jusqu'à attendre plusieurs mètres de longs, il les fit tournoyer alors dans le but de chasser ces volatiles hideux. Sans succès. Sa faiblesse face à ces mirages le fît pousser un grand rire sournois.
Il continua sa marche, s'enfonçant toujours un peu plus dans cet univers qui était quelque part le sien mais qu'il ne pouvait contrôler.
Il erra ainsi entre femmes en sang et grands êtres sombres, jusqu'à ce qu'une présence le fît tressaillir. Il regarda autour de lui, il y avait pleins de loups baveux, mais ce n'étaient pas eux qui le déranger, cela devait faire plusieurs heures qu'ils se tenaient là. Non, c'était autre chose. Il y avait quelqu'un, il le sentait, seulement, au milieu de toutes ces visions il ne parvenait à le différencier.
Il s'appuya contre un arbre dans la cime était invisible et s'assit là. Il tourna la tête et fût surpris de voir un squelette souriant, une épée à la main, ses orbites vides étaient entre effrois et plaisir. Ce squelette avait quelque chose d'étrange, comme si cette présence réel émanait de lui, peu à peu des lambeaux de chairs allèrent se coller autour de ses os blancs, l'espace d'une seconde il le vît comme un large démon aux longs cheveux blancs entortillés autour de son corps en sueur, une lame noire à coup sûr, un personnage inconnu jusqu'alors que jamais Zimm n'avait vu que cela soit dans ses songes ou dans le réel. Puis, comme le squelette était devenu vivant, le vivant redevint squelette. Le squelette n'était cependant pas immobile il observait ce qu'il se passait autour de lui, également perdu dans les méandres psychotiques du lieu, il n'avait pas dû le voir venir comme lui ne s'était pas rendu compte qu'il s'était approché de lui.
Zimm ne savait comment réagir, ni comment allait réagir l'individu qui semblait près à sauter toute arme dehors sur la première créature qu'il croisera. Zimm n'était pas venu ici pour se battre, cela il pouvait très bien le faire ailleurs. D'une main tremblante qui lui semblait aussi immense qu'une auberge, Zimm sortit de sous sa longue veste sombre une bouteille de wisky qu'il mena à sa bouche avant de la présenter à l'individu pour lui montrer qu'il était un ami. Il lui tendit la liqueur et attendit sa réaction en espérant qu'avec un peu de chance, le squelette ne le verrait non pas comme un vivant mais comme une illusion quelconque.
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMer 29 Déc 2010 - 1:19

Meneldil leva un regard incertain vers une nouvelle apparition : Un démon à l’allure étrange mais dont il percevait surtout l’oeil orange et une main tenant une bouteille. Par tous les démons du Vein, était ce encore illusion ou réalité ? Un autre être se serrait il alors perdu dans ces lieux de damnations ? Que de questions, qui ne trouveraient certainement pas réponse ou trop justement. Parce que cela pouvait être n’importe quoi que se soit. Trop las pour ce battre comme un forcené de nouveau, le guerrier lame noire, leva sa main blanchâtre et attrape la bouteille d’alcool. Il en bu une bonne gorgée et le liquide chaud lui procura un certain apaisement. Finalement, illusion ou pas ce n’était pas désagréable de s’envoyer de la liqueur dans le gosier. Et puis cela semblait si réel, bien plus que le reste du paysage. En effet, celui ci n’était plus que brume étrange former de mile visages démoniaques, angéliques ou encore humains et mêmes animaux. Sans hésiter l’albinos bu une encore une autre gorgé et rendit la bouteille à son camarade d’infortune avant de ce lever les jambes en cotons. En fait, Meneldil n’était pas en était de faire du mal à qui que se soit bien que le liquide de feu commençait à lui rendre une certaine force. Il se demanda d’ou sortait cet autre démon et pourquoi il lui offrait un si précieux breuvage. C’était bien le genre de comportement que le guerrier ne saisissait pas vraiment. Lui justement en aurait profiter pour assouvir son habituelle soif de sang. Cependant, dans n’importe quel endroit des trois mondes, l’ont finissait toujours par tomber sur d’étranges personnages.

Il le voyait en double désormais, un effet de l’alcool ou de l’ambiance folle des lieux ? Ba, quelle importance ? Aucune en vérité et Meneldil ouvrit la bouche afin de déclarer quelque chose d’intelligent. Seulement, un cri sortit de sa bouche, comme un cri de femme (ce qui remettait en cause sa virilité). La raison de ce hurlement démentiel ? Eh bien sûrement cette vaste hallucination montrant des millier de lui affubler de déformations que même un démon ne pouvait supporter. Cependant, cette vision ne dura pas et bien vite un néant absolu la remplaça. Ce néant enveloppa tout y comprit l’autre démon, dont seul l’oeil resta ; un oeil immense, aux proportions ahurissantes. Tristelune se sentit alors minuscule, insignifiant, il rit alors tout en montrant les crocs. Son épée, toujours hors de son fourreau, flamboya d’une lueur rougeoyante, elle semblait vouloir cracher de sa flamme. Le démon lui parla, l’engueula même, voyons était ce des manières de ce comporter de la sorte dans une auberge ? Parce qu’ils se trouvaient bien dans une auberge maintenant, blinder de monde qui ne ressemblaient pas à grand chose. Formes indistinctes, sans visage et aux voix blanches. Face à lui, cet oeil orange, un oeil qui buvait du wiski. Le moment était donc venu de faire connaissances n’est ce pas ? Pour l’instant il n’avait dit encore paroles cohérentes. Avalant de ce qui semblait être une bien curieuse chaire, le lame noire murmura :

« Penser vous que nous sortirons un jour d’ici ? »

N’était il pas en train de se dévorer lui même ou le bras de l’oeil géant ? Si si en fait, mais non c’était de la chaire humaine ! Oh et puit zut, rien n’était cohérant ici, réfléchir n’était que perte de temps. Comme se battre d’ailleurs néanmoins, son épée n’était pas tout à fait de cet avis. La flamme la recouvrant s’intensifia et voila qua la dite flamme jaillit de la pointe noire de l’épée. Elle transperça une nouvelle illusion, plus menaçante que toutes les autres réunies. L’éphémère hallucination, morte, c’était tenu juste derrière l’oeil unique. Meneldil venait de sauver l’oeil buveur d’alcool dans un sens. Il gloussa à cette idée, tout en gardant un visage peut aimable, voir menaçant. Cela parce qu’il perdait au jeu de dés, son adversaire devait tricher. Pas de problème, le démon à la peau de craie traversa la table afin de continuer son chemin dans les sombres couloirs de l’avilissement. Evidement, il n’oublia pas de faire un signe de tête à son nouvel ami du moment. Mettre un pas devant l’autre s’avérait difficile mais ce n’était pas une raison pour se décourager. Trop tard, plus le moment de ressentir ça ! L’alcool aide à se sentir plus fort, la présence de cet oeil lui donnait à nouveau l’envie de s’enfoncer dans les profondeurs du monde démoniaque ....
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMer 29 Déc 2010 - 18:02

Le squelette se saisit de la fiasque et s'en versa sur les os. Le liquide coula le long de ses longs haillons blancs, jusqu'au sol, où cela forma une flaque donnant l'impression que l'étrange créature s'était uriné dessus. Zimm se pencha légèrement au dessus de la flaque, le temps semblait s'être arrêté. Il y vit d'abord son reflet démoniaque, reflet qui peu à peu le révéla lui aussi comme squelette. La mort l'obsédait-elle donc à ce point ? L'illusion se modifia et apparu alors une jeune femme qu'il connaissait, une magnifique humaine à la peau blanche et aux cheveux courts, ses lèvres souriaient, elle sortie du liquide pour l'embrasser mais quand il voulu refermer ses bras sur elle, il y passa à travers et elle disparu.
Il se tourna alors pour voir ce qu'il se passait autour de lui. Il se trouva soudainement dans un bar au sol ondulé, aux tables étrangement fausses. Il y avait là pleins d'être nu, dont un qui attira son regard. Un grand homme possédant une cape blanche se tenait debout devant lui. Le squelette avait disparu.
L'homme à la cape ouvrit la bouche et un flot de paroles sourdes et incompréhensibles lui parvint. Il dégageait cette même aura que le squelette. Zimm connaissait bien ces abimes dans lesquelles il se trouvait puisque c'était là-même qu'il était né. Si il s'y était rendu c'était par plaisir, pour gouter de nouveau à ce grand égarement mystique. Les illusions venaient et se déformaient et le fait de retrouver la même aura dans deux illusions différentes lui prouva sans doute que ce n'était là pas qu'un mirage, il y avait un réel individu devant ses yeux. Bien que le mot de réel ne voulait pas dire grand chose là dessus sinon quelqu'un capable de le tuer, ce qu'il ne craignait pas. Il baignait dans la mort, l'avait déjà visité plusieurs fois, elle ne lui faisait plus peur. Ainsi, c'est avec lassitude qu'il le vit brandir une longue épée rouge en sa direction, une flamme en jaillit et lui frôla le visage. Il avait distinctement senti la chaleur sur sa joue gauche.
L'homme changea de nouveau d'apparence et se repris celle de squelette. La taverne qui s'était crée autour d'eux avait disparu.
Il lui fît un signe de tête avant de se mettre à avancer dans une extrême lenteur. Zimm se leva et le suivit après avoir soigneusement rangé sa liqueur. Ses jambes tremblaient. C'était là les premiers signes, bientôt il sera presque incapable de marcher. Peut-être était t-il cette fois si resté trop longtemps dans les abimes, pourtant, sa folie le poussait à aller encore un peu plus loin, il le suivit donc.
Ils se retrouvèrent alors sur un long sentier enneigé sur une montagne sans sommets où des arbres jaunes et rouges poussaient et dépérissaient en quelques secondes. Des centaines d'arbres grimpant vers les cieux avant s'enterrer sous terre, ils ne cessaient tout autour d'eux de geindre une étrange mélodie dans une danse magique.
Son nouveau compagnon était en tête, ils avançaient si lentement qu'il semblait qu'une année se passait entre chacun de leurs pas. Zimm l'observait avancer d'un pas sûr sans craintes des illusions environnantes. Ni l'un, ni l'autre ne savaient où ils allaient, mais comme si une main divine les guider, ils savaient qu'ils devaient poursuivre leur route, continuer d'avancer, plus loin, toujours plus loin. Un immense rochet se dessina à l'horizon. Il neigeait, le vent était glacial mais il n'avait pas froid bien que son corps se teintait de glace.
Un flot de colère envahit soudainement le démon, il ferma les yeux et senti son corps courir en direction de l'individu qu'il suivait, il sentit ses griffes lui trancher la gorge et son corps squelettique tomber lourdement sur le sol. Rouvrant ses paupières, il compris qu'il n'en était rien, il était toujours debout à avancer et lui à le suivre, il essaya de lui parler alors, lentement, articulant chaque mot avec soin, il lui demanda :
D'où... Vient... Tu ?
Que... Fais... Tu... ici ?
As... Tu... Un... Nom ?
Autre... Que... Illusion...
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptySam 8 Jan 2011 - 0:49

Des mots, des mots le percutèrent et se rangèrent directement dans son cerveau malade. Quels genres de mots ? Des questions en fait, l’oeil lui demandait les choses de bases comme d’ou viens tu et comment t’appelle tu ? Malgré l’incohérence du moment, le démon à la peau neigeuse se rappelait encore de son nom et prénom, du moins en était il pratiquement sûr. C’est ainsi que se tournant vers son camarade il lui répondit. Les sons ne se contentèrent pas seulement de sortir sa bouche mais prirent véritablement formes, grossissant au fur et à mesurent qu’ils s’approchaient de l’oeil géant. Fasciner le guerrier lame noire ne put s’empêcher d’observer les mots Meneldil Tristelune s’enfoncer profondément dans la pupille démoniaque, cela devait faire mal ! Il ne lui donna que ça comme informations car, à la question que fais tu ici, l’albinos ne savait que dire. Finalement il n’en plus aucunes idées et s’en fichait complètement, avancer se trouvait être sa seule préoccupation. Bien que marcher lorsque le sol vous regarde de milles yeux se n’est pas évident, non plus que voir ses rochers prendre tout à coup vie. Des rochers énormes aux formes diverses et variées, mutant, des yeux des bouches des nez prenant soudainement forme devant le regard de plus en plus blasé du démon.

A force l’ont fini toujours par s’habituer, même aux choses les plus délirantes, cependant cela pouvait également venir du fait que son cerveau avait enfin fini de sombrer. D’ailleurs, Menel ne tarda pas à l’apercevoir se faisant la male devant lui, le cerveau farceur avait du sûrement sortir par les oreilles (ou pourquoi pas par un autre endroit, que l’on ne citera pas). Une pointe de curiosité le piqua tout de même à propos de l’identité de l’illusion qui le suivait, se retourna il lui demanda son identité, seulement cela car, sans raisons apparentes, savoir le reste le terrorisait. Pourtant Tristelune n’était pas du genre mauviette néanmoins, cet endroit le rendait quelque peut à fleur de peau. Bondissant lestement tel un chat agile, le guerrier repéra un coffre qui semblait fort intéressant. Ce genre d’objets renferme bien souvent des trésors ou même des pouvoirs divins, il est vrai que cela ne pouvait encore être que fantasmes, ce qui n’empêcha pas Meneldil de foncer droit dessus. Il poussa de grands cris, voulant encourager l’étrange créature en forme d’oeil gigantesque de le suivre, voir de le dépasser (sans qu’ils n’y aient de vraies raisons à cela). Désormais il ne voyait que se coffre qui emplissait tout l’espace, malheureusement un mauvais pressentiment envahissait lentement l’esprit tourmenter du lame noire. Il devait avoir un piège quelque part, une sorte de monstre ou encore un dieu à affronter ! Bien que le guerrier soit athée, cette possibilité lui semblait tout à fait envisageable dans ce lieu en dehors du temps et de l’espace.

Et son sentiment ce vit confirmer lorsqu’une forme encore plus démesurer que l’oeil apparue devant le trésor. C’était noir, cela n’avait pas réellement de cohérence mais c’était bel et bien là et illusion ou pas l’albinos sorti de nouveau son arme afin de se battre. Aller savoir pourquoi, Tristelune était convaincu que l’oeil serrait apte à écraser ce monstre à l’allure de trou noir. Oui ça ressemblait à un trou noir, aspirant la lumière, déformant la réalité et menant dans un ailleurs plus bizarre encore que les couloirs. Du moins ce fut ce que les voix amies du fou blanchâtre murmurèrent aux seins de ses oreilles pointues. Il était vrai aussi que plus l’ont s’enfonçait dans les couloirs de l’avilissement plus les illusions se faisaient réels et puissantes n’est ce pas ? Cela encore ce n’était que rumeur, que racontaient les mères démones à leurs malveillantes progénitures. Cependant l’être démoniaque à l’épée noir d’onyx se sentait mentalement prêt à affronter tous et n’importe quoi et ayant retrouver une certaine force grâce à la liqueur l’envie d’en découdre courait dans ses veines.

Après tout chasser le naturel il revient au gallot et Meneldil était née pour se battre jusqu’à ce que mort s’en suivent. Quoique la mort pouvait elle surgir en ces étranges abysses ? Ou errait on éternellement sans la sentir passé ? Que de questionnement traverser l’âme du démon tandis qu’il foncer tête baisser vers la géante illusion, hurlant « l’oeil l’oeil », coupant définitivement les ponts avec la réalité mais non avec l’aura qu’il sentait à ses coté, seule chose auquel le démon était encore sûr. Le reste n’étant bien entendu que rêves et cauchemars, ce qui n’est pas une raison pour se défiler devant un danger quel qu’il soit. Un combat allait maintenant commencer néanmoins quand était il au sujet du deuxième égaré ...
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyDim 9 Jan 2011 - 19:57

- Meneldil Tristelune
Ce sont les mots que le squelette prononça. Meneldil Tristelune... Qu'était-ce que cela ? Une langue inconnue ? Le nom d'un pays ? Un nom ? ... Zimm n'en sut jamais rien. Il se contenta d'observer cet être bouger devant lui, tout prêt à bondir sur toutes illusions qui se présentaient à lui. Cela devenait ennuyant. Les cartes étaient tombés au fond d'un précipice. Les couleuvres sifflaient à ses pieds sans jamais pouvoir grimper plus haut. Le démon repris un peu de sa liqueur pour se réchauffer les boyaux tandis que son compagnon de folie était entrain de se battre contre un invisible ennemi. Pour lui en tous cas. Sans doute Meneldil (c'est ainsi que Zimm se décida de le nommer étant les seules paroles que cet être avait prononcé), était confronté à quelques visions illusoires dont il était seul responsable et seul capable de les affronter. Il le laissa donc faire et observa les étoiles qui dansaient à ses pieds, les rivières jaunes qui coulaient au dessus de sa tête, les mains putrides qui sortaient de terre, les corbeaux qui hurlaient des malédictions dans un tourbillon de neige. Le vent froid soufflait sur sa nuque.
Zimm fouilla le sol et se rappela soudainement la raison qui l'avait poussé à venir jusqu'ici. Les champignons et autres plantes psychédéliques qui poussaient. Il en ramassa quelques unes qu'il rangea soigneusement dans sa besace en espérant que ce n'étaient pas de simples illusions mais de vrais plantes. Puis, il oublia tout aussitôt ce qu'il venait de faire et retourna dans la contemplation du monde étrange qui valsait autour de lui.
Il s'installa en tailleur sur le sol, et ferma les yeux. Tout tournait dans son crâne et les images ne semblaient vouloir cesser de le tourmenter. Des dessins colorés de lézard lui apparurent, ainsi qu'une immense main blanche aux doigts fins. Il remarqua alors que ses yeux n'étaient pas fermés, mais bien toujours ouvert. Les ouvrant, il les referma et sombra dans son esprit bouillant.
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyLun 10 Jan 2011 - 22:04

Et bien finalement pourquoi se prendre la tête et foncer comme un dingue alors qu’il y a absolument rien contre quoi se défendre ? Car, tout un coup la vision cauchemardesque menaçant l’intégrité du démon albinos disparut tout un coup, ne laissant à la place qu’un véritable néant, juste occuper l’autre démon. Meneldil se sentit alors bête, complètement idiot même, n’était il déjà plus maître de ses mouvements ? Il c’était laisser avoir comme un pauvre petit démon faisant ses premiers pats dans le monde délirant du Vein. Néanmoins, il c’était remis à tout, ayant failli tomber bêtement dans une sorte de crevasse qui n’avait rien d’une illusion. Se sentant de plus en plus humilier en quelque sorte, ayant la sensation que son compagnon devait bien se moquer de lui (ce qui serrait tout à fait justifie), le guerrier à la peau de craie s’approcher de son camarade de galère et s’assit auprès de lui. Tout en le faisant il rangea son épée au fourreau bien que celle ci continuait à vouloir en découdre avec les hallucinations qui ne cessaient d’apparaître et disparaître au fur et à mesure que Tristelune y prêtait plus ou moins attention. Pendant un cour moment, le lame noir ne dit mot, respectant le silence du grand guerrier qu’il ne distinguait toujours pas vraiment seulement, cela n’avait guère plus d’importance. Puis sentant qu’il avait retrouvé assez de lucidité pour parler, il demanda d’une voix posée :

« Quel est votre nom ? Et que faites vous ici si ce n’est pas trop indiscret ? »

Pas facile d’être aimable avec une autre personne or, Meneldil s’y sentait obliger au vu du spectacle déplorable qu’il venait de montrer. Autant montrer qu’il n’était pas non plus qu’un espèce de gros taré incapable de différencier délire et réalité (quoique c’était effectivement le cas mais une partie de son cerveau venait de réintégré sa tête alors ça allait mieux). Regardant avec indifférence les alentours l’albinos remarqua alors de petites plantes poussant sur le sol, elles ne paraissaient pas être de purs produits de rêve mais bel et bien des végétaux ancré dans le monde « normal ». Curieux, toujours curieux d’ailleurs, Tristelune en cueillie quelques uns afin de les examiner de plus prés. Est ce que cela se mangeait ? Etait ce dangereux ? Toute façon était réellement intéressant de ce poser ce genre de questions ? Non, le guerrier avait bien plus envie de découvrir le secret de cet environnement horriblement instable. Il se sentait bien tenter de poser des questions au démon à coté de lui, Menel était sûr qu’il en savait bien plus long que lui. C’était logique car, le démon n’avait bronché une seule seconde, ce qui signifiait qu’il était moins sensible que Tristelune. Son attention toujours portée sur le champignon qu’il tenait en main, il murmura à voix base :

« Savez ce qui ce cache véritablement ici ? A moins que ce lieux ne comporte aucuns secrets ... »

Il tenta de ne plus du tout faire attention aux choses hideuses qui s’amusaient à lui grimper dessus, ce qui était une situation particulièrement inconfortable, mais était il un guerrier démoniaque ou une pauvre mauviette ? Une bonne question néanmoins, allait il être déjà éclairé par ce mystérieux démon qui semblait plus réfléchi que lui en ce moment même ? En tout cas voila qu’ils se retrouveraient à nouveau dans une obscurité totale, cela changeait si vite, s’en était presque fatiguant à la fin. Sans raisons apparentes, Meneldil mis alors le champignon dans sa poche, histoire de l’examiner plus tard ou encore le montrer à un herboriste. Voila qui était sage en vérité n’est ce pas ? Plus bavard que d’habitude, le démon à la peau blanchâtre déclara avec une certaine ironie dans la voix que les couloirs allaient finir par le dévorer, du moins l’auraient fait s’il n’avait reprit ses esprits à temps. Il félicita ensuite le grand guerrier devant lui d’avoir garder la tête sur les épaule, ce qui était finalement un exploit quand on y pensait.
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyLun 10 Jan 2011 - 22:29

Le squelette cessa soudain toute agitation inutile. Avec un visage vide d'expression, il s'approcha de lui et s'installa à ses côtés.
- Quel est votre nom ? Et que faites vous ici si ce n’est pas trop indiscret ?
Il semblait calmé.
- Zimm Artos, je suis... je... J'erre...
- Savez ce qui ce cache véritablement ici ? A moins que ce lieux ne comporte aucuns secrets ...
Les mots résonnaient en écho tout autour de lui, ils semblaient être prononcé par mille gorges en même temps, mille être venu du ciel, transporté par le vent, mangé par la terre.
- Lieu étrange... N'est-ce pas ? Sans secret... Ou trop lourd...
Il avait un mal fou à se concentrer pour sortir des mots qu'il espérait audible. Il lui semblait que sa bouche était toute remplie de fils et de mousse blanchâtre, l'empêchant d'articuler comme il faut. De plus, les orbites ténébreuses de son interlocuteur n'étaient pas pour le rassurer et le mettre à l'aise. Ils pouvaient cependant se comprendre et communiquer, l'aura qui émanait de l'individu prouvait qu'il n'était pas une illusion mais une personne réelle, bien que cela n'est pas grande signification comme il se l'était déjà fait remarquer. Les pensées bourdonnaient en boucle. Ils n'étaient encore pas au plus profond du Vein, plus loin encore, les mots n'existaient plus, tout n'était qu'aveugles sensations illusoires, méandre de l'esprit, morceaux dilatés de folie. Mais de cela, personne n'en était jamais revenu. Une fois, Zimm était allé jusqu'à la frontière de cette zone maudite, mais le peu de lucidité et d'instinct de survis qui lui était resté l'avait empêché de faire un pas de plus.
- Ici... Loin, ou plus... Est l'origine... Secret des naissances... Du monde... Sens... Vitale...
Expliquer cela à un inconnu n'est déjà pas une chose évidente, mais entouré dans cette brume meurtrière, cela l'était encore plus. Cependant, Zimm faisait confiance aux sols empoisonnés et aux poussières toxiques qui s'en dégageaient. Ces plantes qui créaient l'illusion, rendait aussi la peau tellement en fleur, que parfois, les pensées passaient sans qu'elles soient prononcés. Le démon ne s'inquiéta pas d'avantage. Il chercha sa fiasque et finit par la retrouver à plusieurs mètres devant lui. Il se demanda ce qu'elle faisait là. Il se leva et lentement, alla jusqu'à elle, respirant avec difficulté. Il finit par y parvenir pour découvrir que ce n'était qu'un cailloux.
Les illusions commençaient à se moquer. Le lieu voulait les chasser. Cela faisait trop longtemps qu'il se trouvait ici. Il retourna s'assoir au côté du squelette dont il sentait le trouble mêlée à une sorte de moquerie et d'incompréhension. Là, il fouilla dans son long manteau et en ressorti sa fiasque, bien réel. Il en bus une gorgée et la tendis au squelette. Il lui sembla avoir déjà vécu cette scène là quelque part... Comme si tout ce qui venait de se passer n'avait jamais été... Peut-être qu'en effet, ils n'avaient pas bougé de là depuis leur rencontre... Comment savoir ?
Cette dernière sensation le troubla profondément. La peur commençait à s'emparer de lui.
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMar 11 Jan 2011 - 3:55

Meneldil venait donc d’avoir la confirmation, grâce à Zimm Artos, que cet endroit cachait un lourd secret et pas n’importe lequel. Le démon blanc n’était pas sûr d’avoir tout saisi, c’était un peut brumeux mais rien que la petite idée qu’il venait de comprendre lui donnait encore plus envie d’aller s’enfoncer plus profondément. Un autre aurait été effrayé mais au contraire Tristelune ressentait désormais une étrange lucidité qu’il n’avait jamais ressentit durant sa longue vie. Oui, pour la première fois il se sentait normal et apte à accomplir des choses sans sombrer dans la folie. Même ses voix intérieures semblaient vouloir se calmer durant un petit moment, ce qui n’était pas négligeable. Ainsi, tout en acceptant pour la troisième fois une gorgée d’alcool, l’albinos se releva doucement. Il n’avait pas peur, même s’il savait parfaitement que cette sorte de clairvoyance ne durerait pas et qu’à tout moment sa démence habituelle reprendrait le dessus, encourager par l’incohérence des lieux. Portant son attention sur le démon prêt de lui, il lui rendit sa bouteille de liqueur et demanda d’une curieuse voix posée :

« J’ai décider de continuer, ce que vous venez de me dire m’intrigue, m’accompagnerez vous ? »

Un étrange sourire s’étira sur son visage crayeux, non la folie n’était pas si éloigner que ça, juste en dormance pourrait on dire. Par pure prudence, le guerrier lame noire sortit à nouveau sa noire épée, histoire de l’avoir bien en main, son contact lui donnant du coeur au ventre. Quoiqu’il n’y avait pas qu’elle, l’alcool aussi aidait. Reportant ensuite son regard rouge dans le lointain des couloirs de l’avilissement, Menel reprit sa route, d’un pas lent afin de ne pas distancer son compagnon si celui ci décidait de l’accompagner. Etre à deux dans ce genre d’entreprises complètement folles n’était pas une mauvaise chose seulement, le démon blanc n’avait capté que l’autre guerrier commençait à avoir peur. Or, la peur venait de déserter chaque particules du cerveau déranger de Tristelune, du moins pour le moment, combien de temps cet état de fait allait durer, c’était une bonne question n’est ce pas ? Ce n’était pas naturel tout de même de se sentir aussi bien après avoir subi une bonne grosse crise hallucinatoire. Etait ce le calme après la tempête ?

**Mais pourquoi je me pose toutes ces questions moi ? Autant en profiter non ?**

Evidement c’était la meilleure démarche à suivre et ce fut presque en sifflotant d’allégresse qu’il mit un pas devant l’autre, fonçant droit vers les Abymes. Melendil Tristelune était lucide certes mais ce n’était pas pour autant que les illusions ne lui apparaissaient plus aux yeux. Néanmoins, elles étaient comme en dehors de l’espace vitale de l’être démoniaque, l’atteignant plus, l’amusant presque. De plus il ressentait une présence, autre que Zimm Artos, et le guerrier était prêt à se mettre la tête au feu que c’était pas une image mais bel et bien un être vivant à part entière. Encore un pauvre égaré ou un habitant naturel des lieux ?
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMar 11 Jan 2011 - 11:12

Zimm observa le squelette se relever.
- J’ai décider de continuer, ce que vous venez de me dire m’intrigue, m’accompagnerez vous ?
Il remarqua alors l'épée que tenait se dernier, une longue épée sombre dans la lame s'enroulait autour de son cou.
- Cela ne te... serviras... à rien... là où tu veux aller... Mort certaine... Non retour...
Le guerrier s'éloigna d'un pas sûr. Cependant il semblait ne pas avancer bien rapidement, chaque pas le laissé à la même place. Ces lieux étaient loin d'être un jeu. Ils renfermaient des secrets et des pouvoirs uniques. Des choses auxquelles Zimm avait toujours rêvé de toucher sans jamais y parvenir.
- A deux... A un... Identique... Perte de soit... Des mots... Des gestes... Plus que vision... Illusion... Face à eux...
Zimm n'avança pas. Il ne se levait pas. Il resta dos appuyé contre le mur. Il senti qu'il était temps pour lui de rentrer... Peut-être... Cependant ses forces semblaient l'abandonner. Son visage pâlit légèrement. Le squelette continuait de s'éloigner, doucement. Il voulait voir jusqu'où cet être allait pouvoir aller.
Au loin, une ombre approchait...
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMar 11 Jan 2011 - 23:07

Et bien lui en tout cas continuait, ce qui n’était pas apparemment le cas de Zimm Artos, ce n’était pas grave en soit, juste légèrement décevant. Pour une fois que dans sa vie Meneldil aurait apprécier de la compagnie, voila que celle ci ne voulait pas lui, triste retour du sort n’est ce pas ? En même temps l’autre démon étant totalement libre de ses mouvements, le guerrier ne pouvait en aucun cas le forcer à le suivre, ce serrait chose indécente et inutile au fond. En tout cas il continuait de ressentir l’étrange présence, jusqu’a ce qu’elle pointe son nez et ce n’était pas beau à voir. Cela avait du être un démon à l’origine mais maintenant ce n’était plus qu’une mince silhouette squelettique au visage grimaçant, qu’avait il put bien lui arriver pour finir comme ça ?

Tristelune l’observa avec des yeux ronds, surtout que la dite présence ne semblait plus avoir beaucoup de raisons en sa possession, pire que l’albinos qui était pourtant un expert en ce qui concernait la démence. Elle bavait et murmura des paroles incohérentes voir complètement incompréhensible, cela donnait froid au dos, Menel ne sut comment réagir face à cette curieuse créature. La tuer pouvait être une option, la moins cruelle car, après tout, mettre fin de suite à ses souffrances serrait une bonne chose. Lorsque la nouvelle apparition vit les deux autres démons, elle cria et sombra dans une véritable hystérie à hurler, tout comme le démon blanc il y avait à peine quelques instants. Là, le guerrier lame noire su comment réagir, il lui flanqua une bonne claque en pleine figure, ce qui eu pour effet de calmer le pauvre erre. Rah, Meneldil se rendit compte qu’il en avait par dessus la tête de toutes ses apparitions, en fait à voir cette loque qui venait de remonter des profondeurs des couloirs, il hésita fortement à continuer sur sa lancer.

Oui, l’être démoniaque avait tendance à changer d’avis aussi vite qu’une girouette en pleine tempête, c’était un symptôme de sa trop grande nervosité. La loque en question se remit alors à parler, ses yeux exorbiter presque sortis de leurs orbites et raconta d’une voix brisée les horreurs qu’il avait croisé en cour de route dans les abysses de l’avilissement. Horreur inimaginable qu’il disait, secrets trop lourds à découvrir, seule la mort désormais pourrait être une échappatoire. Ainsi, se mit il à les supplier de le tuer la tout de suite, auraient ils la pitié de le faire par tous les démons du Vein ? Tristelune se sentit dégoûter de voir ça, agacer également, blaser un peut aussi. Avait il réellement envie de finir comme ça, juste pour satisfaire une curiosité trop prenante, ne préférerait il pas partir de cet endroit de malheur au contraire ?!

Profitant toujours de cette bénéfique lucidité qui c’était emparé de son cerveau, l’albinos prit l’intelligente décision de partir d’ici, ça devenait vraiment trop glauque en fait et il se trouvait des partis dans le Vein qui était bien plus intéressant. L’apparition pleura maintenant ou riait, ce n’était pas tout à fait évidant à savoir. Le démon à la peau de craie Jeta un regard à Zimm, qui par le biais d’une illusion sûrement, ne se trouvait pas si loin. Il demanda, sa voix claire et tranquille semblant sortir des murs au lieu de sa bouche :

« Pense tu que si on aide ce gars à sortir de là ou il s’en sortira ? Où nous ferions mieux de l’achever ? »

L’instinct prédateur de Meneldil Tristelune lui soufflait au creux de l’oreille que tuer cet ombre de démon serrait jouissif. Seulement, l’albinos n’aimait pas vraiment tuer comme ça, sans qu’il y ait une bonne bagarre au préalable. Certes, il avait penser à le faire cependant tuer un être vivant sans que celui ci ne se défende ce n’était pas drôle du tout. Et puis le guerrier lame noire du admettre que la créature le rendait mal à l’aise, comme si elle se traînait une sorte de maladie, un truc dégueulasse qu’elle pourrait refiler à lui et à Zimm. De ce fait rien que de la toucher de la pointe de son épée le dégoûter, autant partir en la laissant ici ou l’aider mais sans le moindre contact. Néanmoins il préférait attendre les conseils du démon qui semblait s’y connaître dans les couloirs.
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyMer 12 Jan 2011 - 1:42

La créature immonde leur apparu. Son visage était si fin qu'il ne restait plus que les rides, la bête avait un œil qui pendait, ou flottait autour d'elle. Son aura était vide, il restait cependant dans cette carcasse un petit filet de vie, le reste n'était plus qu'illusion, l'hideuse créature avait été dévoré par les couloirs. Le squelette semblait observer Zimm sans savoir quoi faire de cette "chose", ce démon "avilé" comme on les appelé. Il en avait déjà vu une, une fois. Qui était parvenue à sortir. Son aspect était d'autant plus répugnant dans les plaines de Vein où les illusions n'avaient pas lieu. Le plus horrible, était l'odeur qu'elle dégageait. Une odeur de mort, de pourriture, pire qu'un cadavre décomposé. Et son aspect était d'autant plus repoussant en dehors des couloirs. Ici, la laideur de la chose était atténuée au milieu des visions et des déformations, ici plus rien n'étonnait. Quand on voyait cela, ramper comme un vers, au milieu des plaines, des envies de vomir vous prenez. Des envies de renoncer à vie même, des coupures d'appétit terrible. De désespoir profond devant l'Ignoble.
Zimm se leva, en un éclair, son ongle s'étira pour transpercer la bête au front, lui traversant le peu de cervelle qui lui restait. Elle bava un peu. Le démon rétracta son arme et le cadavre tomba sur le sol. Une fumée noire s'échappa de la chair puante.

- Sortons d'ici...
Pas à pas, Zimm se retourna pour se diriger vers ce qu'il croyait être la sortie des couloirs.
Si il ne se trompait pas...

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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyJeu 13 Jan 2011 - 0:39

Répugnante était l’odeur qui se dégageait du cadavre et cela commença à faire de nouveau défaillir notre grand dément. La lucidité qui l’avait prit, comme une sorte d’accalmie, semblait vouloir désormais filer discrètement par les oreilles. Mieux valait sortir d’ici avant qu’il ne sombre encore dans une crise autodestructrice, totalement inutile et surtout épuisante. Oui sortir de ce trou pourrit mais comment ? En fait, Meneldil ne se rappelait même plus de quelle façon il était entrer dans les couloirs, ce qui n’était pas bien rassurant finalement. C’est ainsi qu’il suivit Zimm, en espérant que lui savait ce qu’il faisait.

Malheureusement l’endroit était un véritable labyrinthe et retourner à la surface n’était pas chose aisée. Partout, des couloirs se faisaient voir et invitaient les voyageurs à s’y perdre, à y errer pour l’éternité sans jamais pouvoir en ressortir, condamnant les malheureux à ne plus jamais sentir l’air frais sur leurs peaux. Néanmoins, ce n’était vraiment pas le moment ni l’endroit de perdre, çà quoi cela pouvait bien servir de se prendre la tête ? En fin de compte Tristelune se fit la réflexion qu’il c’était toujours imaginer mourir de la sorte : Dans un lieux atroce en compagnie d’un parfait inconnue. A vivre une vie aussi dissolue que la sienne, ce n’était pas étonnant de finir comme ça n’est ce pas ?

Or, soudainement, voila que le démon albinos aperçu un couloir qui avait l’air de monter, du moins était il légèrement en pente. Le guerrier lame noir n’hésita pas une seconde et se laissa au pas de course dans le dit couloir, étant pratiquement sur que c’était le bon. Une petite voix dans sa tête, elles revenaient petit à petit alors que sa raison elle partait, lui murmura que ce n’était peut être pas une bonne idée et que Zimm était sa meilleure chance de partir de ce trou à rats. Oui, mais, le démon à la peau blanche de voulait pas l’entendre de la sorte car, la quasie certitude que ce couloir était le bon le brûlait de l’intérieur. Et puis il était fatiguer et la clairvoyance n’avait durer qu’un temps. La folie revenait, ainsi dans ce genre de moment, le guerrier n’écoutait généralement personne.

Cependant, le dément n’avait pas tout à fait tord de prendre ce couloir, celui ci menait effectivement à la surface. Le seul problème étant qu’il était un peut moins sûr que d’autres, seulement, comment peut on réellement mesurer le danger dans un lieu pareil ? Effectivement des illusions l’attaquèrent, écrans de fumé voulant s’en prendre à la réalité bien solide, les couloirs ne voulaient pas laisser partir les deux démons semblait il. Meneldil voulu riposter, sachant dans un coin de son esprit encore raisonnable (dernier îlot de normalité) que lutter contre des hallucinations avec une épée ce n’est guère utile. Néanmoins, il continua d’avancer au pas de course dans le couloir qui se faisait de plus en plus en pente, bientôt lui faudrait il carrément escalader les derniers mètres (ou kilomètre, les notions de distances ici n’étant pas similaire à celle de la surface). Pendant un cour instant, Tristelune tourna la tête afin de vérifier si Zimm le suivait ou non ...
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyJeu 13 Jan 2011 - 1:01

Quand il vit le squelette se précipiter vers un couloir sombre, la première chose qu'il remarqua fût la forme que prenait l'air autour de la silhouette. L'air devenait comme matériel, s'imprégnant des courbes des os, cela formait comme une ombre aérienne qui planait quelques instant derrière la course qu'il menait avant de se diluer dans les autres formes étranges qui planaient ici et là.
Il suivit son camarade avec une sublime sensation de flottement. Il remarqua alors ses immenses ailes sombres dépliés, le transportant dans les couloirs ténébreux.
C'est ainsi que Zimm suivit le squelette vers la sortie des couloirs. En volant dignement au milieu de ses sœurs les illusions.
Ils mirent plusieurs heures/années ? à sortir du lieu. Plus ils montaient, plus la fatigue se faisait sentir. Les ombres redevinrent immobiles. Peu à peu, le sol cessa d'onduler comme il en avait l'habitude en ce lieu là. Les choses cessaient de se mettre en mouvement. Les pierres retombaient sur le sol.
Enfin, le ciel apparu.
Sans un regard vers le squelette qui avait à présent bien l'apparence d'un démon aux longs cheveux argentés, une belle lame à sa ceinture, Zimm s'envola dans les cieux sans demander son reste.
Un jour, sûrement, ils se reverraient. Il le savait.
Mais pas dans le monde réel, pas dans ce monde là... Ou alors, d'étranges choses se serrons passés...

[fin du rp pour ma part]
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MessageSujet: Re: Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].    Promenade dans les abysses de la folie (PV Zimm Artos)[Post clos].  EmptyJeu 13 Jan 2011 - 1:32

Il ne savait s’il reverrait un jour cet étrange démon qui c’était perdu en sa compagnie dans les couloirs de l’avilissement. Intérieurement Meneldil s’en fichait en fait, complètement même car, pour le moment il était trop occuper à grimper le long d’une paroi abrupte. Lui n’avait pas d’ailes et devait donc s’improviser escaladeurs afin de sortir de la bouche de l’enfer, ce n’était pas simple du tout et le démon en avait par dessus la tête. Il avait envie de se perdre ailleurs qu’ici, un endroit ou les choses naturelles ne sont pas déformé par d’immondes illusions qui donnaient envie de vomir !

En tout cas, plus il montait, plus la folie revenait s’installer chaudement dans sa tête, ce qui au final était bon signe pour le démon à la peau blanche. Et puit ne voyait il pas une sorte de carrer de cial la haut ? Bien sur que si lui crièrent les petites voix dans sa tête, heureuses elles d’être revenus aussi vite pour le tourmenter à nouveau. Tristelune n’était pas sûr que se soit une bien bonne chose mais il ne pouvait lutter alors bon, autant s’y faire n’est ce pas ? La fatalité le prit, mais que de façon intérieur car, son corps lui, continuait de lutter pour remonter à la surface. Il était fort mais il lui semblait que cet exercice était la chose la plus fatigante qu’il n’avait jamais eu à faire dans sa longue vie d’errance.

Les pierres glissaient sous ses bottes de cuirs, ses doigts étaient en sang à force de s’agripper à la paroi et jamais son armure ne lui avait parut aussi lourde (a-t-on idée aussi de porter un machin pareil ?). Cependant à force de persévérance, voila que l’air commençait à lui chatouiller tout doucement ses longs cheveux neigeux, ce qui donna espoir au grand dément qu’était Meneldil Tristelune. Le guerrier lame noir mit alors ses ultimes forces dans la dernière ligne droite de son ascension. Ses muscles se contractèrent et de la sueur perla de nouveau sur son front, allant humidifier sa blanche chevelure et brûler ses yeux rouges, le gênant dans son expédition.

A force d’efforts, le démon à la peau de craie avait la nette impression qu’il allait se vomir pour de bon dessus. Néanmoins, avant que cela n’arrive voila qu’il arrivait enfin à la surface, fort heureusement car, ses membres commençaient tranquillement à lâcher. Lorsque enfin Menel sentie la brise sur sa peau il hurla comme un véritable dingue, un gars qui vient de se faire sauter un plomb, mais il était sorti et c’était le principal n’est ce pas ? Suite à se crie, il éclata de rire et s’allongeant par terre, senti ses dernière force l’abandonner. Le démon avant envi de dormir et décida tout simplement de le faire ici, après tout personne ne viendrait le déranger. Avant de s’endormir comme une masse, le guerrier cru entendre des cris de frustration provenir des couloirs, mais peut être n’était ce que les prémisses d’un rêve ...


[Post clos également pour moi ^^]
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