''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]

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Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] _
MessageSujet: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyMer 29 Juin 2011 - 13:41

La chaleur était mortelle cet après-midi, ce qui rendait les clients encore plus belliqueux et aussi plus enclins au pelotage, chose qui exaspérait par dessus tout Kamui. Raison de plus, la plupart des mains de ces ivrognes étaient pleines, de terre, sang ou on savait quoi d'autre, c'était à la limite du supportable si on rajoutait ça aux odeurs immondes qu'ils dégageaient la plupart du temps. Une grimace de dégoût se dessina sur le visage du serveur, où plutôt serveuse puisqu'il était censé être une femme, lorsque qu'un d'eux lui proposa un verre en souriant de toutes ses dents, enfin ce qu'il lui en restait, et bien entendu, la crispation de son visage ne passa pas inaperçue aux yeux de l'homme, qui se leva avec autant de grâce que lui permettait son muscle du houblon et ses vingts verres de bière. Ça aurait pu être un bel, oui ça aurait, car actuellement ce n'était pas le cas, une tignasse qui aurait put être blonde si elle avait été lavé plus souvent parcourait son crâne et descendait jusqu'à la racine de son cou. Cou qui était dédoublé d'ailleurs, ses yeux étaient d'un bleu pur, mais reflétaient la folie entraînée par l’alcool. Ses vêtements était ceux d'un noble, un noble qui se serait baigné un bain d'excrément, la seule chose qui avait de la valeur sur lui était peut-être le chaîne en or pur qui pendait à son cou. Quoiqu'il en soit, Kamui arrêta là son observation et reporta son attention sur le flux de parole qui s'échappait de la bouche de l'ivrogne.

_"... suis Walace Lensey moi ! Chui pas le genre de bouseux que tu peux te permettre de regarder de haut ! Chu un noble moi, un vrai de vrai, salope va ! Tu vois cette chaîne en or ? Bas ça prouve mon appartenance à la haute noblesse, tu comprends ça ? Je suis un proche du roi !" Finit-il en lâchant un rot tonitruant.

Ça n'allait pas être possible si il continuait à parler, Kamui allait finir par perdre des clients, donc du temps, donc de l'argent. Ne sachant pas quoi faire d'autre, il improvisa.

_ " Ah bon ?... Vous êtes un Noble ? Vous devez être un homme de pouvoir." Susurra-t-il à l'oreille de du fameux Walace tout en passant ses mains derrière son énorme cou.
_" Bi... bien sur que oui ! J'ai des dizaines d'esclaves et je suis à la tête d'un empire financier. " Bafouilla-t-il en sentant les fins doigts de son interlocuteur contre sa peau grasse.
_" Peut-être pourrions-nous nous retrouver, plus tard... Disons... A la tombée de la nuit, attendez moi derrière l'auberge..." Finit-il en déposant un léger baiser sur la jouer de Lensey tout en ôtant avec délicatesse et discrétion la chaîne d'or qui semblait être son seul trésor.

Et d'un geste, le jeune homme se retourna et se dirigea vers le bar en roulant bien des anches pour lui en mettre plein la vue, Larry, le patron de "La panse repue" le dardait d'un regard à la fois sévère et inquiet, il n'aimait pas que l'on joue avec son personnel. Ce n'était pas un mauvais bougre, c'était le genre d'hommes qu'on appel "gentil bonhomme", il était sympathique et logeait ses employés tout en les payant. Son seul défaut était peut-être le fait qu'il se baladait constamment avec une énorme arbalète à la main, de quoi dissuader les plus agressifs d'entrer. Sans un mot, le serveur s'empara des prochains plats à distribuer et se dirigea vers l'endroit que lui indiquait son employeur par un bref coup d'oeil. C'était vraiment SON jours de chance, deux capes blanches, surement ivres, étaient assis à la table ou il devait se rendre, et il avait déjà du servir ces gens là, et ça n'avait pas été une partie de plaisir. Les capes blanches étaient des être orgueilleux pour la plupart et totalement imbus d'eux même, c'était des êtres infâme qui prétendaient servir le roi, mais le peuple savait bien que c'état faux. La plupart ces guerriers avaient endossé le rôle pour le pouvoir et le respect.

Kamui arriva donc à la table en question et déposa vivement le plateau de nourriture avant de repartir, il ne voulait pas rester en contact très longtemps avec ce genre de personnes.

_ "Un instant jeune fille !" Dit l'une des cape blanche à l'intention du serveur.
_ "Oui ?" Répondit-il en se retournant lentement.

C'était un femme, qu'y a-t-il de mal à être une femme pourrez vous me dire, elle n'était pas moche en soi. Elle était même très belle, une longue crinière brune tombait jusqu'au bas de son dos, sa peau était mate, faisant ressortir ses deux grands yeux bleu qui, étrangement, reflétaient la joie et la bonne humeur. Mais là n'était pas la question, même si elle était magnifique, ce qui était mauvais était le fait que ce sois une cape blanche, femme, oui car les femmes étaient déjà insupportable dans la vie de tous les jours, mais si en plus on leur donnait du pouvoir !

_ "Vous n'avez pas rapporté de cruche." Dit l'élite.
_ " La cruche ?"
_ "Oui la cruche, vous savez, le récipient ou l'on met de l'eau pour ensuite la mettre dans un verre."
_ "Ah oui la cruche !" Dit Kamui, gêné, avant d'aller chercher une cruche.

*****

La nuit venait de tomber, la clientèle de l'auberge se vidait peu à peu pour être remplacée par les habitués du verre du soir, le genre de personne que Kamui essayait d'éviter la plupart du temps. Il s'était déjà fait frapper alors qu'il tentait de calmer d'enrayer une dispute entre deux ivrognes, pas le genre d'ambiance qu'on veut vivre tous les jours. Déjà que l'odeur n'était déjà pas terrible en pleine journée, alors imaginez avec le vomit, les rots et le pets, quoiqu'il en soit, le serveur poussa un soupir ennuyé avant de se préparer à aller demander aux "clients" quel alcool ils désiraient ce soir. Il commença par la première table et parla au client sans même le regarder:

_" Bonsoir, auberge "A la panse repue" que désire-vous boire ce soir ?" Dit-il machinalement. " Nous avons tous types d'alcool, vodka, rhum, whisky, bière, vin, liqueur et d'autres encore..."

[vous comprendrez, le client, c'est vous]
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Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] _
MessageSujet: Re: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyJeu 30 Juin 2011 - 17:00

La nuit. Elle était tombée rapidement et sournoisement sur les rues de Madorass, la cité royale. Une autre vie commençait alors, un autre faune se montrait avec elle. Les rues commençait de s'éclairer, les lanternes s'allumaient les unes après les autres offrant une lumière rougeâtre se reflétant sur les murs. Prostitués, et marchands mal honnêtes sortaient de leurs antres, et commençaient leur travail.
C'était cette ambiance, celle des grandes citées, pervertis par l'argent, et blessés par les trop grande injustices que je détestait par dessus tout. Je n'était jamais arrivé à m'y faire, et je crois que je n'y arriverai
jamais. C'est pour cela que le plus part du temps, je restais dans les villages, les coins perdus, les campagnes. Cependant, de temps en temps, il fallait bien aller en ville. Autrefois pour certains travaux, des renseignements, nous y allions avec mon père. Je n'aimais, cette époque, déjà pas cela. Il faut dire que les grandes villes, pour les renseignements, il n'y a rien de mieux. Les gens parlent, sans craintes, souvent fort, et si l'on sais écouter, on peut y apprendre rapidement ce que l'on cherche.

C'était aujourd'hui encore ma raison à Madoras. Bien que je ne soit plus à l'heure d'aujourd'hui une espionne en service, je cherchais sans relâche des informations, pour mon propre compte, et pour les Rebelles. Raison pour laquelle, je faisait particulièrement attention, sans pour autant être tellement inquiète tant la concentration de population était ici, forte et variée.
Ce soir la, donc, après avoir passé toute mon après midi à errer dans les rues, écoutant, et furetant un peu partout, je cherchais un endroit animé et fréquenté pour continuer d'écouter, sans être trop remarquée.

J'avais repéré plus tôt dans la journée une auberge qui semblait être assez fréquentée. J'y dirigeait donc mes pas, regardant autour de moi, évitant les personnes déjà ivres qui ne marchait pas très droit. Mon capuchon rabattu sur mon visage, Teleri, mon épervier, blotti contre mon coup et caché par lui aussi par le tissus. Il ne me fallut que quelques minutes pour rejoindre cette auberge. Postée de l'autre coté de la rue, j'observai l'entrée dans l'ombre d'un bâtiment. Nombres de gens entraient, quelques uns sortaient. L'agitation du soir semblait tout juste commencer à l'intérieur. Attendant le passage de deux chevaux qui traversait devant moi, je me mis en marche vers la porte. Si je rentrais maintenant, je pourrais surement me trouver une place tranquillement, sans avoir à être dérangée par d'autres clients, souls ou non,je n'aimait ce genre de faune, qui trainait leur bedaine tout les soirs à l'auberge du coin.

Poussant délicatement la porte, je fis mon entré dans le genre de pièce que l'on trouve dans toute les auberges. Grandes, comportant tables, chaise, une cheminée, et un bar. Le patron semblait assez occupé, il faisait nombre d'aller et retour. De premier abords il ne semblait pas méchant, si ce n'est qu'une arbalète trainait sur le plan de travail non loin de lui.
*Logique.* Pensa Lilwenn, pour qui, aubergiste avait toujours été un métier dit "à risque".
Elle scruta ensuite les clients, divers, il se composait beaucoup de ce genre d'homme qu'elle n'affectionnait pas, les piliers de comptoir, les amoureux de la boisson... Ceci fait, et gardant toujours son capuchon, elle observa les tables, et trouva près d'une fenêtre, dans les premières table près de l'entrée, celle qui lui convenait. Elle était petite, et seules deux chaises l'entourai, ce qui garantissais à Lilwenn un peu de tranquillité. Elle y dirigea donc ses pas, tout en continuant d'observer la salle. C'est ainsi qu'avant de s'assoir elle repéra ce qui de loin ressemblait à une serveuse qui semblait attendre le bon moment pour commencer son travail de commande.

Assise depuis quelques minutes à peine, regardant par la fenêtre distraitement, elle songeait à sa vie, et à elle même, ne devrait-elle pas reprendre son travail. Il y avait, certes, des inconvénients, mais il lui fallait travailler. Pensant à tout cela, elle tourna la tête et vit la serveuse se diriger vers sa table. Elle attendit patiemment.
C'est sans même la regarder, avec une certaine fatigue dans la voix, qu'on lui proposa les alcools de la maison. Ces yeux verts, grands ouverts, à demi cachés par sont capuchon fixèrent alors la personne en face d'elle, qui pour l'instant ne la regardait pas, elle. Elle la détailla alors de haut en bas, et trouva qu'elle avait le visage bien doux, et magnifique, mais douta un instant qu'il s'agisse bien d'une femme.
Lilwenn savait observer, c'était son métier, elle avait vu nombre de physionomie dans vie, et pourtant, elle douta. Toujours en l'observant, elle lui répondit.


-"Avez vous de l'hydromel ?" Lilwenn avait toujours affectionné cette boisson douce et sucrée faite à base de miel, mais elle savait qu'il était rare d'en trouver dans les grandes villes.
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Jazminsaa Alsan



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Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] _
MessageSujet: Re: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyVen 1 Juil 2011 - 0:27

La nuit. Le moment le plus propice pour sortir. Sortir d’où? Sortir de quoi ? Faut-il déjà avoir une maison pour penser à sortir. Je n’ai aucun point d’encrage. Ayant brulé dans mon adolescence le dernier toit auquel j’appartenais, j’ai depuis ce jour, toujours vécu sans savoir où je serai le lendemain. Sous quelle étoile j’errerai.

En cette soirée, j’étais dans la cité royale, marchant au gré du vent, déambulant au milieu de couples, de groupes complètement ivres alors qu’il n’était pas même 22h, de prostituées qui prenaient place à leur trottoir habituels.

Et au milieu de ce amas de corps gesticulants, j’avance. Invisible aux yeux de tous alors qu’ils m’effleurent, posent leurs yeux sur moi et pourtant ne me voient pas. La meilleure manière de passer inaperçu pour quelqu’un c’est de se poster en face de lui et attendre. Attendre que ses yeux croisent les votre, laisser votre regard glisser sur lui, laisser ses yeux rouler sur vous, ne pas le lâcher, et observer cette personne baisser les yeux et continuer son chemin comme si son regard vous avait transpercé.

Ma capuche sur la tête, l’ombre que cette dernière posait sur mon visage cachait mes yeux. Deux grands yeux bleus, couleur de l’océan. Mes cheveux tombaient de part et d’autre de ma nuque, passant sur ma poitrine mise en valeur par un bustier noir. Toujours le noir. Du noir partout. Sous le clair de la lune, sur mes vêtements, et même un bleu clair, un bleu clair cachant la noirceur d’un esprit. Les talons de mes bottes claquaient sur les pavés de la ruelle.

Je me trouva devant deux chemins, sans réfléchir j’empruntai le chemin le moins éclairé. Un homme s’approcha de moi. Il était saoul, cela se voyait à vingt mètres de là et il puait le whisky. Peinant à avancer convenablement, je m’arrêta face à lui, attendant qu’il avance.

- Hey ma beauté tu viens boire un verre avec moi ?

Sa voix est rauque, écœurante à entendre, son visage est luisant tant la sueur inonde sa peau grasse. Ses vêtements varient autour du marron, beige et blanc. Une palette de couleur accentuant l’impression de saleté. Ses mains semblent avoir du mal à rester immobiles, se tordant, tremblant, bougeant comme une pieuvre agiterait ses tentacules maladroitement. Des mains noirâtres malgré une peau blanche. Il continuait d’avancer vers moi. A chaque problème, sa solution.

# Arrête d’avancer l’humain. #

La terreur inonde les iris d’ivrogne.

# Dégage de mon chemin. #

Il s’éloigna après m’avoir regardé de haut en bas comme s’il avait à faire à un monstre de son passé.

Après l’avoir regardé partir en manquant de tomber lourdement à chaque pas, je tourne les yeux et vois une auberge, « la panse repue ». J’entre.

La salle grouille de monde. Me tenant à l’entrée, j’observe ces gens dont quelques uns tournent les yeux vers moi. La serveuse semble dépité face à ces gens dont les yeux sont embrumés par l’alcool. Le plus attractif semble être l’arbalète posée sur le comptoir.

Un bruit de chopes de bières cognées, de verres renversés, de voix brisées, de rires qui ressemblent plus à des aboiements. Tout est en réalité fait pour dégouter le monde de la race humaine. Humaine et autre, bien entendu.

Je me dirige vers une table vide plongée dans une semi obscurité.

Je sors alors de ma poche la pièce que je ne quitte jamais, et commence à jouer avec, me rappelant la manière dont je l’avais gagné. La faisant glisser distraitement entre mes doigts.

La serveuse commence a aller de table en table, prenant les commande d’un air las, trainant presque les pieds. C’est la vie, c’est la joie. J'attend que cette derniere se décide à venir.

[ HRP, bug d'inspi en plein milieu, si il y a un soucis par rapport à la réponse, mp moi j'arrange ce qu'il faut ^^ ]
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MessageSujet: Re: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyVen 1 Juil 2011 - 1:26



Toujours, toujours, toujours le même brouhaha ! Il n'en peut plus, voilà des heures ça dure, il ne supporte plus tout ces bruits, les rots, les pots, les hurlements de rage. Pourquoi les hommes ne peuvent-ils pas se comporter normalement, pourquoi toujours devoir hurler pour se faire entendre, pourquoi se fait-il tout le temps toucher par des ivrognes qui ont perdu leur femmes ou on ne sait quoi. Trop, c'est trop, dés demain, il rend son tablier et va chercher un autre boulot, maçon peut-être ? Au moins là il n'aura pas besoin de se déguiser en femme ou quoique ce soit. La bouche de Kamui se courbe dans un sourire forcé en entendant la réponse du client. De l'hydromel ? Il n'y en avait pas ici !

_" Hum, désolé cher monsieur, madame, je ne sais pas. Mais cette auberge ne vends pas d'hydromel, par contre si vous désirez autre chose que de l'alcool, nous avons plusieurs types de plats." Dit-il gentiment avant de se retourner vers la prochaine table.

Une femme y était assise, on pouvait difficilement la décrire, l'ombre cachait la majeure partie de son corps et ses vêtements semblaient entièrement noirs. Habitué à ce genre de client, le serveur se baladait régulièrement avec une ou deux bougies pour éclairer ces coins sombres de l'auberge, il en alluma donc une et la posa au milieu de la table avec un énième sourire. La porte claqua, des clients venaient d'entrer, devinant déjà qui c'était, Kamui retourna à la table qu'il avait quitté plus tôt et invita le client à se déplacer.

_ "Excusez-moi cher client mais par soucis de trop plein dans notre auberge, il serait nécessaire que vous changiez de table, celle-ci là-bas" Dit-il en montrant l'endroit ou il venait de poser une de ses chandelles.

Il le mena à l'endroit, le fit asseoir et se retourna vivement pour accueillir les nouveaux venu, la "bande a billy". Un groupe de cinq tocard qui avait jeté leur dévolu sur "La panse repue", leur chef Billy, avait l'image même du loubard en puissance. Un ventre proéminent, un crâne complètement rasé et des vêtements miteux

_ " Que fais-tu là Billy ?" Demanda-t-il d'un ton accusateur " Larry vous avait interdit de revenir, toi et tes chiens !"
_ " Oh aller Kaillaine" Dit-il en agrippant un bras du jeune homme " Tu sais que moi et mes "chiens" avons très envie de toi en ce moment "

Kamui se dégagea de l'emprise du "client" et se retourna vivement pour aller à la table ou attendait ceux qu'il avait abandonné. Un sourire plutôt gêné que forcé décorait à présent son visage, il n'aimait être mis dans un telle position de faiblesse devant des étrangers, surtout des étrangers ivrognes.

_ " Désolé, pour l’interruption, un problème mineur à régler, que désirez vous finalement ?"

Et Billy repassa à la charge, surgissant derrière le serveur, il lui prit les deux bras et les bloqua afin qu'ils ne puissent plus bouger. Kamui jeta un regard désespéré vers Larry mais ce dernier était au prises avec les 4 acolytes du loubard, et son arbalète gisait au sol. Le jeune homme fut propulsé sur la table, ventre contre le bois.

_" LÂCHE-MOI" hurla-t-il, impuissant alors que les deux clients étaient toujours là, assis.
_" Bon tu as deux choix" Répondit l'agresseur en passant sa langue sur ses lèvres. " Soit tu nous commande une chambre à mes amis et moi, ainsi que toi bien sur ma jolie. Où alors je te viole ici sur place, devant tout ces gens qui ne feront rien pour te sauver."
_ "Sale porc !" Cracha le Lendief.

Qu'allait-il faire ? Dès deux côtés, on remarquerait qu'il était un homme et il se ferait tuer. Que pouvait-il donc faire à part prier ?


[ a Lil donc]
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MessageSujet: Re: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyLun 4 Juil 2011 - 13:58

*Pas d'hydromel, forcément...* Pensa t-elle avec déception. il lui faudrait retourner en forêt pour en trouver une bouteille chez les elfes, tan pis.
La serveuse lui proposa de commander autre choses, et Lilwenn n'eut même pas l'occasion de lui demander ce qu'il y avait d'autre comme plat exactement, que le jeune fille était partie. Tout en la regardant s'éloigner, Lilwenn ne put encore s’empêcher de lui trouver quelque chose d'étrange... Elle finit par se dire que c'était son imagination et reporta son attention sur la cliente qu'il était partie servir.

Cette jeune femme, toute vêtue de noir, semblait s'être volontairement mise dans l'ombre afin de cacher ses traits. La serveuse, qui ne semblait pas l'entendre de cette façon, alluma une bougie afin de mieux voir sa cliente. Ceci à peine fait, la porte claqua. Quelqu'un venait d'entrer. Plusieurs personne même, Lilwenne n'avait pas besoin de les regarder pour le savoir, elle l'avait sentit. Elle détourna tout de même sont regard de la table à coté, pour regarder vers la porte. C'était une bande de loubards, qui semblait connaître l'endroit et affichait ainsi un air de supériorité du style "Ici c'est nous les rois". Lilwenn retroussa le nez d'un air de dégout mêlé à de la provocation. Teleri, le petit rapace, toujours caché sur son épaule, lacha un petit cri d'énervement, et remua les ailes. Elle eu à peine e temps de souffler à Teleri de se calmer que la serveuse revint vers elle. Ne lui demandant pas vraiment son avis, elle lui intima de se rendre à la table où elle avait posé la bougie, par manque de place. Tout ce fit très vite, la serveuse semblait nerveuse, et il s'en fut de peu qu'elle ne fit pas assoir Lilwenn n'importe où pour être libéré plus vite.

Se retrouvant donc à la table de la jeune femme en noir, Lilwenn la regarda un instant de plus près. Malgrès la bougie l'endroit restait tout de même relativement sombre. Cependant, elle pu distinguer un visage qui semblait fin et joli. Elle retira elle même sa capuche un peu en arrière et fit un signe de la tête pour saluer l'inconnue.
Ses grands yeux vers se reportèrent alors sur la serveuse, partie à la rencontre du groupe qui venait d'arriver. Elle s’adressait à l'un d'entre eux, qui semblait être le "chef" de la bande. Apparemment, ils n'étaient pas forcément les bienvenus, et il ne fallut pas longtemps à Lilwenn pour comprendre pourquoi. Observant la scène et imaginant la détresse de cette serveuse, Lilwenn sentit la colère et la haine montée en elle.
Revenant vers leur table, la serveuse leur adressa un sourire gênée, qui finit de persuader Lil' que se genre d'individus sont des porcs lubriques qui ne méritent pas grands chose de la vie. Elle ne fit que peu attention à ce que la serveuse leur dit, et sentant les ennuis arriver au galop, elle tourna la tête vers l'entrée.
Le groupe n'y était plus bien sûr. 4 sur les 5 s'étaient dirigé vers le bar, et tenait le patron en respect afin qu'il ne puisse intervenir. Le cinquième s'était rapproché de notre table afin d'y surprendre la serveuse.

Arrivant par derrière il lui bloqua la bras et le poussat sur la table. Lilwenn eut un mouvement de recul et sa capuche, déjà un peu retroussée, finit de tomber en arrière, découvrant ses grandes oreilles pointues, sa chevelure blanche ainsi que Teleri. Il ne fallut pas plus d'une minute à l'épervier pour déployer ses ailes et d'un battement puissant décoller de l'épaule de Lilwenn. Ceci fait, il observa la scène un moment.
Lilwenn quand à elle, devint avec sa voisine de table, spectatrice forcé d'un supplice bien cruel infligé à la serveuse. Ne tenant plus Lil' dégaina le long poignard qu'elle portait toujours à la ceinture. Ayant pour spécialité le combat rapproché, elle possédait une vitesse de réaction assez rapide. Quelques secondes plus tard, son poignard était passé sur les poignet de l'agresseur, qui poussa un cri. La blessure n'était pas mortelle, mais elle suffit pour que celui ci lâche son emprise sur la serveuse.
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MessageSujet: Re: Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre]   Entre alcool et violence, la lumière persiste toujours[Libre] EmptyVen 29 Juil 2011 - 17:37

topic clos.
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