Apparence physique :
Ni trop grand, ni trop petit, il est d'une taille moyenne, pointant légèrement vers le grand. D'une stature d'habitude imposante et charismatique, il semble aujourd'hui faible, las et mourant. Pourtant il n'en est rien car c'est un homme très sec et vif. Un corp recouvert de cicatrices toutes plus affreuses et douloureuses les unes que les autres montrent son passé de souffrance et de batailles. Son dos et ses bras arborent de nombreux tatouages, des inscriptions en plusieurs langues, ils semblent pourtant délavés et anciens. Une longue chevelure sombre coiffé en queue de cheval et une barbe de quelques jours, il semble très négligé.

Caractère, personnalité :
Parfois il se peut que même l'être le plus pur et bon sombre au gouffre de la folie. D'un moral d'acier et d'un tempérament farouche et courageux il était le plus brave des hommes, le plus bon. Aujourd'hui il n'en est rien, il est abattu par le regret, le remord, la haine.. la vengeance. Il est tout aussi calme qu'impulsif. Tout aussi lunatique que prévisible. Tout aussi terrifiant qu'insignifiant. Il est l'ombre d'un homme dont le tourment à vaincu l'âme. D'une grande intelligence, il ne parlera que quand ce sera utile.

Histoire :

Ô belle république du milieu ! Ô puissant Royaume ! Toi que ni le mal ni le bien ne peut dominer. Reviens moi.
Notre histoire commence avant le couronnement de Kaull Hendenmark.
Naquit en Feleth, Thurän Aragöth. Fils d'Althär Aragöth. Puissant politicien et garant de la république. Grâce au statut de sa famille, Thurän eut une éducation exemplaire, maîtres d'armes en tous genres, histoires, lecture et écriture, arts ..etc. Il était le fils parfait de la nation, l'enfant exemplaire. Et c'est ainsi qu'il grandit et se forgea afin d'atteindre la perfection. Adoré et adulé par le peuple du royaume, il était devenu le chouchou. Capitaine dans l'armée, éblouissant dans son armure d'or et d'argent, il avait tout pour lui. Cependant les bonnes choses ne durent jamais. Arriva alors, Kaull Hendenmark et son armée, ses fanatiques et ses discours enflammés. Personne ne le savais mais alors, la république vivait ses dernières heures. Ainsi, le jour funeste arriva, Kaull prit le pouvoir, tuant par la même occasion le père et la famille de Thurän. Ce jour là, celui-ci avait été envoyer "bizarrement" en mission avec une escouade bien loin de la capitale. C'est à son retour qu'il apprit la nouvelle ainsi que le mandat d'arrêt à son encontre. Fuyant avec ses hommes, il fut traqué pendant des semaines jusqu'au jour où las ils décidèrent de résister. Au flanc de la vallée, il jura de tuer Kaull de ses propres mains avant que les Capes Blanches massacrent ses hommes, faibles et démoralisés, ils résistèrent jusqu'au dernier mais en vain. Le sol recouvert de cadavre n'était même plus visible, l'odeur de la mort s’imprégnait jusqu'à votre esprit. L'air était à peine respirable. Soudain tout devint trouble pour Thurän, comme si peu à peu le monde s’effaçait devant lui. Il entendait les hurlements morbides de ses hommes sans pouvoir réagir. Puis enfin, tout fut noir. Il se réveillait comme après un cauchemar un peu trop réaliste, cadavre ambulant, au beau milieu d'une plaine déserte, une atmosphère pesante et terrifiante le mettant mal à l'aise. Il ne le savait pas mais il avait été transporté dans le Vein. Les jours défilèrent dans l'horreur, la faim, le froid, le chagrin. Ce sentiment de ne rien pouvoir faire pour sauver ses hommes et la république le rongeait peu à peu. Il marchait dans l'immensité du Vein sans jamais trouver âme qui vive seulement quelques hurlements de temps en temps, c'était d'autant plus terrifiant qu'il ne savait pas où il allait. Il était désorienté et totalement perdu, tout ici sentait la mort. Et puis un jour, il tomba sur d'immenses collines mais pas n'importe les quelles, des collines de cercueils. D'abord surpris et visiblement curieux, il s'y aventura. Prudent et sur ses gardes, il avançait lentement avec le moins de bruit possible. Mais cela ne suffit pas et avec l'horreur indéfinissable de ce qu'il venait de comprendre, il tenta de fuir. Car ici les morts étaient vivant et les vivants mort. Cette logique propre seulement au Vein venait de sceller le destin de l'âme de Thurän. Combattant pour chaque mètre avec toute la force d'un lion blessé, il finit par atteindre une colline un peu plus haute que les autres où à sa base une immense ouverture plongeait un tunnel dans l'obscurité. Il l’emprunta alors sans savoir qu'il allait vivre la pire expérience de sa vie : " Les couloirs souterrains de l'avilissement". A sa sortie, il était comme changé. Au bord du gouffre de la folie, quelque chose était cassé en lui. Hanté par la pire démence, il s'installa et vécut pendant ce qui lui sembla des siècles sur les rivages des eaux sombres. A présent fou, il se croyait mort, vidé de tout espoir il tenta de se jeter d'une falaise mais il ne retomba jamais. A son réveil, il était revenu en Feleth. Il ne savait plus reconnaître le réel de l’irréel, c'était un homme brisé. Tout avait changé ici, tout était nouveau et personne ne semblait le connaitre ou du moins le reconnaître. Toute trace de lui avait été effacé et il commençait à croire qu'il n'avait lui même jamais existé, qu'il n'était que la projection d'un esprit malade. Il apprit cependant qu'il avait passé dix ans dans le Vein. Il vécut alors parmi les pires voleurs et bandits, assassinant et volant pour sa survie. Cependant il était en constante recherche de quelque chose, voyageant dans un pèlerinage fou et inutile à travers le monde du milieu..






J'étais là, las et sans espoir. Le froid mordant me rongeait les os et le sang s'échappant d'un peu de partout sur mon corp, coulait longuement le long de mes bras et de mes jambes, me donnant une apparence effroyable. Les dieux semblaient m'avoir abandonner aux jeux morbides d'un démon. Je me laissais tomber enfonçant profondément mes doigts dans mes oreilles, ses cris, ses horreurs.. ce tunnels en était rempli. Je me relevais aussi vif et enragé qu'un ours, frappant dans le vide tout en hurlant.

- ILS SONT FOUS ! ILS SONT FOUS ! ILS NE M'AURONT PAS ! TOUT ÇA N'EST PAS RÉEL.

Je me pinçais frénétiquement afin de me réveiller. Soudain je trébuchais et relevant la tête j’apercevais au loin deux silhouettes étranges. Étrange dans le sens qu'elles m'étaient terriblement familière. C'était Kaull et mon petit frère ! Je me levais portant ma main à mon épée et je chargeais avec toute la fureur et la force qu'il me restait. Mais pourtant j'avais beau courir ils étaient toujours plus loin, j'étais si proche et en même temps si loin. Je touchais au goût de la vengeance sans pouvoir y goûter. Passant légèrement mes mains sur mon visage, je pleurais de folie et de désespoir. Tout à coup Kaull se mit à arracher le visage de mon petit frère, celui hurlait se débattant sans pouvoir rien faire. Puis il me lança se regard de haine et de mépris, celui qui vous fait perdre pied.. J'étais en enfer.

Remarque : Je tiens juste à préciser (a cause de mon avatar) que mon personnage ne sera pas un super assassin creed de la mort qui tue, ne vous inquiétez pas. J'ai juste pas trouver mieux comme avatar pour une personne qui porte une capuche.
Et soyez fair-play j'ai pas RP depuis deux ans..

Fini c'est fait à la va vite par contre.

Bonjour bienvenue.
Une classe n'est habituellement pas changeable car elle est en quelque sorte le fruit de tes années passées. Imagine un roublard taillé pour l'équilibre, la souplesse et la dissimulation soudainement devenir guerrier, quelque qui a des années de maîtrise d'arme et qui est taillé pour le combat ? Comprends donc que je préférerais pour l'instant que tu te fixes à une classe précise.

"(meneur par la suite)" ???

Je pense que la classe rôdeur te conviendrait bien grâce à ce que tu as vécu dans le Vein :

Rôdeur:

À part ça, félicitation aucun écart au contexte ni autre choses du genre. ^^
Règle ces problèmes et tu seras validé.

Merci ! J'ai modifié ce que tu m'as demandé.

Tu as ma validation. N'oublie pas de compléter ton profil. ^^

Néro, Elem est venu ici...