Il était une fois...?

Nom : Eira
Prénom : Vaënadiel
Rang : Le chant du vent

Âge : 20 ans
Sexe : Féminin

Race : Humaine
Classe : Druidesse
Métier : Botaniste

Croyances : Dieu de l’Équinoxe

Groupe : Clans/Indigènes : Tribus vivants dans les endroits les plus éloignés (forêts, jungle, plaines et montagnes) et n’ayant que très peu de contact avec le monde extérieur. Il s’agit, pour la majorité, de petits clans dotés de caractéristiques propres à chacun d’eux (croyance, culture, style de vie, etc.). On raconte souvent en ville, que ce sont des sauvages vivant comme des barbares et qu'ils sont dépourvus du sens de la parole. Des brutes sans cervelles si on peut dire ça ainsi.

Pour en revenir sur notre petit brin de femme, celle-ci est issue du clan Eira, une tribu nordique habitant au fin fond des montages enneigées bordant le royaume de Feleth, un peu plus au nord. Tout ce que l’on voit d’elles sont ses hauts pics enneigés faisant office de frontière et où peu d’hommes ont voulu s’aventurer jusque-là. Pourquoi des êtres humains vivent-ils dans un endroit aussi éloigné du reste de la civilisation ? Tout simplement, car ils ont dû trouver refuge après avoir été chasser une première fois de leurs terres il y a plusieurs décennies de cela. Ceux-ci ne connaissent que très peu la vie des gens ‘‘d’en bas’’, de ceux vivant dans les cités, villes et villages. Pour ce qui concerne leur moyen de survie, le clan Eira vit principalement de la chasse et de la pêche et tient mordicus à ses valeurs ancestrales. La nature est leur amie et il est impératif de tuer un animal dans le plus grand des respects.


Équipement : Qu’est-ce que c’est ? Ah oui ... hum ... pardon ... Ce qu’elle porte. Pas grand chose qui pourrait impressionner à vrai dire enfin, pas parmi son peuple: des vêtements faits de peau d’animal tannée où se retrouve de la fourrure, des mocassins faits des mêmes matériaux, terminant juste en bas de la base de ses genoux. Sinon, elle a avec elle un long bâton où sont accrochées quelques plumes blanches. Hormis tout ce tralala, elle n’a pas d’arme tranchante ou de truc du genre.

Talents de combat physique : Une vraie gourde ... alors non, elle n’a aucun talent physique quelconque. Vaë et le combat, ça fait tout simplement deux !

Talents de magie : Elle peut entendre les bruits environnants par la seule écoute du chant du vent.
Talents divers : La maladresse, est-ce que ça compte ?

Pouvoirs particuliers : En tant que druidesse, Vaënadiel est en symbiose avec la nature, même si elle n’a pas encore atteint la perfection dans ce domaine. Elle est dotée de :

~ Apprivoisemment : elle apprivoise tous les animaux, ou presque. Il ne lui suffit que d’être patiente et de faire comprendre à la bête qu’elle n’est pas dangereuse et de son seul chant, réussit à la charmer. La seule espèce qu’elle ne parvient pas à cerner, et aussi la plus étrange de toute, est celle nommée «hommes». Ah, ce ne sont pas des animaux ? Pardon ...

~ Écoute de la nature : Par sa seule concentration et le toucher de sa frêle main, la jeune femme peut sentir leurs émotions, leur douleur et aussi connaître les dangers qui pourraient y avoir dans les environs. Cependant, pendant ce laps de temps, la druidesse est très vulnérable.

~ Le chant du vent : L'air, le seul élément qu’elle puisse contrôler, pas à la perfection vu son jeune âge, mais tout de même assez pour se défendre si elle se retrouvait en danger. Cependant, elle puisse sa force de sa propre énergie vitale et si elle abuse, pourrait en mourir.


Apparence physique : Notre petit brin de femme a hérité de la physiologie de son peuple: hommes, grands et musclés, femmes petites et fines, mais tout aussi solides. Du haut de ses 1m 58, elle se retrouve parmi les plus grandes des siens. Gâtée par la nature, Vaë est l’une des plus belles femmes de sa tribu: des courbes là où il faut, des yeux verts aqua vif et curieux, de long cheveux d’un blanc immaculé et ondulés s’arrêtant juste à la base du dos et des traits fins arborant ce magnifique visage si serein et calme. Cependant, elle est très expressive facialement parlant et ... aussi gestuellement. Faites donc attention de ne pas être trop près lorsqu’elle s’emballe, au risque de vous prendre une baffe dans la gueule. Il aussi est possible de voir toutes les gammes d’émotions lui traverser le visage en une fraction de seconde, ainsi que toutes les couleurs possibles. Le seul truc qui fait d’elle quelqu’un de différent et ‘‘rejeté ’’ de la tribu est cette étrange marque de naissance entourant son bras, traversant sa colonne vertébrale et dont la pointe se termine au centre de sa fesse droite. Au moins, on a l’impression qu’il s’agit de motif animal, mais durant son enfance, cela lui a valu une foule de remarques désobligeantes ... de ce fait, elle n’est pas très confiante et se sous-estime grandement. Bin quoi ... ? C’est une énorme tache de naissance et c’est aussi un complexe physique féminin !

Caractère, personnalité : Hum ... quoi dire mis à appart qu’elle est une empotée de première classe ? Elle pourrait vous étonner ... ou bien vous décourager. Il n’y a pas moyen qu’elle arrive à marcher gracieusement sans qu’elle ne tombe pour une quelconque raison: s’enfarger dans ses pieds, dans ses vêtements, dans une brindille gisant par terre qui ne désire que la faire trébucher ... saleté de bout de bois ! Ils sont diaboliques ! Oh, mais ce n’est qu’un début, ne prenez pas peur ... Vaë à une sainte horreur des orages, du bruit du tonnerre et pourtant elle adore la nature, sauf les orages. Pourquoi ? Aucune idée, mais elle les déteste. De plus, l’idée de mettre le pied hors des montagnes la terrifie, tout comme le fait d’avoir un étranger devant son nez. S’il fallait qu’un jour elle rencontre des gens ‘‘d’en bas’’, ce serait inévitablement sa mort ... Ah et ... elle raconte des blagues plus qu’idiotes lorsqu’elle est nerveuse, se réfugiant derrière un sens de l’humour littéralement mauvais. Sinon, notre petite Nordique est le type de femme assez réservée, timide (surtout envers la gent masculine) et empathique. Sa voix est d’or et mielleuse, surtout lorsqu’elle chante ayant pour accompagnement le chant des oiseaux.


Histoire :
Par où commencer ... non, je ne commencerai pas par ‘‘Il était une fois, en une froide nuit d’hiver’’ parce que c’est toujours l’hiver dans les montagnes ... Peut-être par une chaude nuit d’hiver ? Non plus. Attendez ! En une froide nuit d’hiver, il était une fois. Argh ... bref, trêve de connerie et passons !

Pour tout vous dire, là où Vaënadiel a grandi n’a rien d’extraordinaire. Il s’agit d’un petit village creusé dans la pierre des pics enneigés d’une chaîne de montagnes beaucoup plus au nord du royaume de Feleth. Cette tribu, du nom du clan Eira habite cet endroit depuis plus de 60 ans maintenant. Pourquoi le clan Eira ? Parce qu’il s’agit du nom de famille de son chef et vous l’aurez compris, il s’agit là du père de Vaë. Un grand homme à la chevelure de neige et au regard aqua aussi perçant que celui de sa fille la plus jeune. Tout ce qu’il y a autour, c’est de la neige, de la pierre, de la neige et encore de la neige. Oh, parfois il y a aussi des tempêtes de neige qui durent quelques jours. Bref, je ne ferai pas tout un pâté sur la description du village quand même. Et si nous passions à la famille Eira ?

Fondatrice du clan, les Eira compte au total 10 membres: Dorguan, le père, Erlaine, la mère ainsi que 7 frères dont je ne mentionnerai pas les noms parce qu’ils sont trop nombreux et je m’emmêlerais dans mes pinceaux. Ah et la petite dernière et non la moindre, la seule fille de toute cette bande d’enfants : Vaënadiel. La pauvre, oui, certain pourront la plaindre, car elle a été longtemps le souffre-douleur de ces sadiques qui la prenait pour un ballon. Le soir, lorsque la neige était bien épaisse, ceux-ci habillaient leur soeur d’épais vêtements de fourrure et s’amusaient à la lancer dans les airs de tous les côtés. Les yeux ronds, elle n’était âgée que d’un an lors de ce premier assaut. Étrangement, elle ne criait pas, mais était raide comme une barre de métal. Erlaine sortait toujours aux pas de course pour plaquer ses fils dans la neige et reprenait sa fille pour la ramener à l’intérieur, hurlant tellement fort qu’il y avait une avalanche sur le flanc opposé de la montagne. Voilà qui marqua son enfance ... oui. Mais non elle ne garda de séquelles et c’était une chance !

Les années s’écoulaient et rien ne changeait vraiment dans la tribu. Les vieux mourraient, les jeunes copulaient et faisaient des enfants qui les remplaçaient. La routine quoi. À 15 ans, Vaë s’ennuyait mortellement et avait développé ces dons de druide qu’elle avait acquis de son père. Un jour, alors qu’elle partait à la chasse avec les hommes par simple curiosité, et se surprit à pleurer lorsque les chasseurs avaient abattu ce grand cervidé qui avait eu le temps de planter son regard dans le sien. Dorguan comprenait ce que sa fille vivait, car lui aussi avait passé par là, mais elle devait s’endurcir comme toutes les femmes de la tribu, or, elle n’y parvenait pas. À ses 18 ans, elle était toujours aussi faible mentalement et était trop douce ... Un beau jour, le fils d’un autre clan, la tribu Kawa, vint réclamer la main de la seule fille du chef de la tribu Eira, en guise d’alliance. Dorguan hésita longuement, mais comme son peuple était de moins en moins nombreux, accueillir de nouveaux membres ne ferait qu’accroître leur force. Il accepta donc, sans demander l’avis de sa fille qui fut littéralement chamboulée par cette nouvelle.

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En ce qui vous concerne

À quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Régulièrement ... toujours ... c’est une drogue ... *sort*
Comment avez-vous découvert le forum ? Double compte (Heïan Kreiss)
Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? N/A

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Test-RP

Dorguan la regardait avec un air sévère, assit sur son tabouret de bois de l’autre côté de la table. À ses côtés se trouvait le fils du chef du clan Kawa qui la regardait avec ... délice. Non, mais ce qu’il pouvait être dégoutant bien qu’il était très beau. Bref, c’était beau d’être beau, mais il n’y avait pas que ça ! Ce Dryell, était l’homme le plus prétentieux et le plus pervers qu’elle n’avait jamais rencontré et voilà que son père décidait de la donnée comme si elle n’était qu’un vulgaire objet ?! C’en était trop ! La druidesse se leva, manqua tomber à la renverse comme d’habitude et frappa la table de ses poings, les joues rougies par la rage qui faisait bouillir son sang.

‘‘ De quel droit oses-tu prendre cette décision sans mon accord ?! Je suis ta fille et non un objet de convoitise que tu as droit de donner à n’importe qui ! ‘‘

‘‘ SUFFIT ! J’en ai assez entendu jeune fille ! C’est ma décision et tu te dois de la respecter. Je suis ton père et ton chef. Tu me dois respect et obéissance ! ‘‘

Vaënadiel fulminait alors que Dryell se levait de son banc en posant une main rassurante sur l’épaule d’Eira. Non, mais quel lèche-cul celui-là ?! Il jouait la comédie en faisant croire qu’il était l’homme le plus doux de la terre alors qu’il ne désirait qu’une chose; faire joujou avec ses atouts féminins qu’il admirait depuis bien des années déjà.

‘‘ Dorguan, permettez-moi de parler avec votre fille ce soir. Je devrais être en mesure de la faire changer d’avis. ‘‘

‘‘ Bien, va. Mais qu’elle sorte de mon champ de vision ! ‘‘

La jeune femme aux cheveux de neige lui lança un regard suppliant qu’il ignorant littéralement alors que Kawa lui prenait doucement le poignet pour l’entrainer en dehors de leur demeure pour aller vers celle où il logeait depuis quelques jours. Docilement, Vaënadiel le suivait, secouée par le ton qu’avait adopté son père à son égard. Valait-elle si peu à ses yeux pour qu’il la donne ainsi à un homme qui ne prendrait même pas soin d’elle ? Qui ne désirait qu’acquérir le pouvoir de chef à la place de Dorguan ? Le temps qu’elle voit clair, elle se trouvait déjà ‘‘chez Dryell’’ qui se tourna vers elle avec un sourire en coin peu rassurant.

‘‘ Tu n’as pas à avoir peur Vaë ... ‘‘

‘‘ Je t’interdis de m’appeler par mon surnom ... ‘‘

‘‘ Si je m’obstine, que vas-tu faire ? ‘‘ Demanda-t-il en se rapprochant dangereusement d’elle.

‘‘ Je ... je ...‘‘

Et voilà qu’elle n’arrivait plus à dire un seul mot, son coeur battant la chamade dans sa poitrine. Son corps se figea alors que les mains de l’homme se posaient sur ses hanches, relevant tranquillement toute cette fourrure pour toucher sa peau. Un frisson de dégout la parcourut et elle le repoussa, mais bien plus fort qu’elle, Dryell lui prit les poignets et l’étampa contre le mur de la hutte.

‘‘ Si tu résistes, tu auras beaucoup plus mal, crois-moi ... ‘‘ Cracha t-il alors en collant ses lèvres contre les siennes.

Oh ça non ! C’était réservé à celui qui la chérirait uniquement. Alors, elle lui mordit la lèvre inférieure jusqu’au sang. Le jeune homme hurla de douleur et lâcha sa prise, ce qui permit à la druidesse de se pencher pour se faufiler entre ses jambes et courir dans la noirceur de la nuit où une tempête se levait pas à pas.

Spoiler:

Citation :

~ Écoute de la nature : Par sa seule concentration et le toucher de sa frêle main, la jeune femme peut sentir leurs émotions, leur douleur et aussi connaître les dangers qui pourraient y avoir dans les environs. Cependant, pendant ce laps de temps, la druidesse est très vulnérable.