Le vent, aussi tranchant q'une lame. [ANNULE]

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Le vent chaud, le bruit régulier des oiseaux qui chantait a l'extérieur et un bruit de frottement métallique assez... régulier. Dans la cabane au volet et porte fermer, se cachait un homme qui dans le silence, frottait une pierre a aiguiser sur sa lame d'un vert étrange et au gravure magnifique. L'arme entre les main d'un homme au torse nue, s'exécutait a porté un petit traitement a la lame, la rendant aussi tranchant que le vent qui fend l'air. Bien que son petit entretien terminé, il ne savait pas quoi faire du reste de sa journée . Bien que libre et savait que multiple taches pouvait l'attendre en se donnant la peine de chercher, il ne voulait point faire la même chose et il cherchais a s'occuper différemment. Bien que la légende du lac lui trottait en tête, il pris sa cape et sa tunique , l'enfilant telle un fantôme dans le vent et sortie son katana en main, sans sa ceinture , ni son brassard portant sa lame, ni son amure. Juste ses vêtement, son katana et son esprit. Pas bien loin, il se retrouva sur la berge, endroit de différente rencontre mais aussi, de différent combat pour le guerrier solitaire. Endroit de calme, paix et sérénité pour lui, il pris une grande inspiration, allant s’asseoir en tailleur sur sa pierre habituel, posant délicatement son katana sur la roche et il médita.

Bien que le soleil restait ... cacher, l'endroit un peu frais, il était prêt mentalement a faire une folie. Une folie que peu d'humain tenterais - Plongé dans le lac- Retirant tout ses vêtement, marchant nue vers le lac, il posa ses pied dans l'eau glacial, s'adaptant lentement a l'eau. Son corps fut immergé au complet après de longe minutes de froid. Disparaissant sous l'eau, quelque bulle qui s'échappaient de sa bouche, il explora le lac, telle un poisson dans l'eau, nageant en explorant, remontant et descendant encore. Portant son regard perdu dans l'eau boueuse et brouiller, un éclat attira son attention. quelque chose de brillant était cacher au trois quart par la boue et la main du nageur intrépide mis rapidement la main dessus. Sa main se piqua sur quelque chose dans le fond, laissant une petite traîner de sang alors qu'il remontait avec l'objet brillant en main, ignorant que quelque chose le surveillait dans cette eaux brouiller et froide. Il sortie de l'eau, nue, sa main avec un peu de rouge qui coulait et un objet ressemblant a une dague, couverte de boue.

-Sur quoi j'ai tomber ... '' retirant la boue de sur le truc pour y voir une drôle de lame en éclaire foncer , au métal étrange et la poignée dans un mélange d'argent et or un peu sale par le temps. Sortant entièrement en se tordant le dos par la sensation fraîche du vent sur sa peau mouiller, il resta un instant les deux pied dans l'eau, examinant l'arme ancienne cacher dans le lac, ignorant que quelqu'un ou plutôt quelqu'une l'observait.

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Eloa Senja

Je suis partie – J’ai abandonné Madorass à son épidémie… Voilà, j’ai osé. J’aurais dut y rester. Oui, c’est ça ! Je ne serais pas tombé sur des fous en chemin, qui ont tenté de me tuer… Parce que je viens de Madorass… Y a des limites à ce qu’on peut me dire pour me vouloir ma peau. Ce n’était pas une raison valable pour me rôtir… Le mot est encore faible, je trouve. Ils décidaient de me tuer en me réduisant en cendre. Ils étaient dotés de pouvoirs en rapport avec le feu… Je n’ai jamais de chance. Je n’étais pas loin de lac des ruines mais pas suffisant. Et je n’étais pas en tenue pour le combat. Certes, j’avais mon corset noir avec mes lames, mais vu que je n’ai pu que récupérer une robe blanche, et des ballerines noires… Avant que une cape blanche comprenne que je partais… Je suis maudite !

J’en tuai quand même en lui enfonçant une de mes lames dans son cœur de sale … Bref, il tomba raide mort… Les autres, les deux derniers me brulèrent… Un feu courait sur mes jambes, brulant tout… Ma robe, ma peau … Ça fait mal. Je sentais ma peau se craquelaient sous l’intensité des flammes. Mes jambes tombaient en lambeaux. Il me fallait de l’eau… C’était urgent, car ça rongeait l’intérieur aussi … Les larmes coulaient sans que je le veuille. J’éteignis le feu avec de la terre, me roulant limite dedans mais je n’avais pas le choix… Et je les tuai aussi vite que je pouvais. Et les voilà, mort, et moi souffrante… Il me fallait de l’eau !

Je pris une grande inspiration. Je repris mes lames, en les nettoyant contre les morts, et les remis dans mon corset. On ne sait jamais, ça peut être utile. Je ne suis pas une passionnée du meurtre, mais là … Ma vie dépendait ! Comme dans l’histoire de la forêt…. J’en frissonne encore en y pensant. Je marchais alors que je sentais mes jambes suintées dut aux brulures… Les minutes passèrent, et la douleur était de plus en plus forte… Je me sentais perdre mes jambes, sous une douleur que je ne voulais pas revivre… Je criai… Je CRIAI si fort que ma gorge finit par se noyer. Je ne pouvais plus rien faire… Avancé fut trop dur. Je suis tombée à genoux, ne pouvant plus faire de mouvement… Je levais la tête, et je vis le lac. Cette étendue d’eau n’était pas si loin… L’eau, la seule qui pourrait me calmer.

Je me redressais. Je ne pouvais décidément pas rester comme ça, à fixer le remède à mes douleurs. Allez, je devais faire un dernier effort ! Allez, je peux y arriver ! Je me mis à courir aussi vite que je pouvais. La tension de mes jambes allait céder à tout moment. Ma peau me tirait dans des douleurs insoutenables. La sueur coulait le long de mon front. Je n’en pouvais plus, et pourtant je devais réussir… Je devais courir jusqu’au bout, et sauter ! Je tenais à ma vie, à mes jambes !

Le trajet fut long alors qu’il y eut que quelques mètres qui me séparaient du lac… Arrivée, je sautais, et je restais au fond. L’eau soulagea mes plaies. Ça me faisait trop bien pour que je remonte… Sentir cette douceur éteindre mon horreur, sentir ce calmement sur mes plaies criardes ... Qu'est ce que c'était bon, et agréable... Je savais que je ne pouvais pas rester lontemps dans l'eau mais j'en profitais un maximum de temps...Et c'est là que je vis.. Un homme fouillant le fond… Je n'étais pas seule, mais trop faible pour bouger. Je devais me taire, ne rien dire, faire comme si j'étais pas là. Ca pouvait être encore un ennemi, un qui n'aimait pas que je sois... une femme? Franchement, plus rien ne m'épate niveau raison pour me tuer. Donc, je ne dis rien, fis rien. Je reste tel un mort dans l’eau… Je finis même faire la planche au-dessus de l’eau.

Je verrais bien combien de temps, je pourrais tenir sans qu'il me voit, me sente ou autres choses... Je n'ai vraiment pas de chance, que ce soit en mission ou en vadrouille... Qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça? Faudra un jour me l'expliquer.

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Dans le froid en sortant de l'eau, il avait senti quelque chose remuer dans l'eau. Trop occuper a examiner l'arme qui d'après lui était loin d'être normal, il poussa la boue et posa son regard acier sur l’artéfact . Sortant lentement de l'eau pour sentir le froid mordant lui mordre la peau alors qu'il ignora pour examiner avec plus d'attention l'arme. Regardant avec attention les fines gravure sur la lame, les suivant lentement de sa main.

-C'est quoi cette arme ...

Il pris l'arme par son manche en or mélanger a l'argent, sentent la prise magique bien qu'ignorant combien de temps cette lame était resté dans se lac. Bien que le vent fessait craquer , il regarda au alentour, cherchant du regard si il était observer mais, il remarqua personne. Se retournant nue vers ses choses, il déposa l'arme étrange sur ses chose et il se plaça en tailleur au sol. Il fixa la forêt , relaxant et laissant son corps s'habituer au vent moins froid que l'eau du lac. Bien que fixant la forêt, il porta son attention sur le lac en entendant un bruit dans l'eau. Il se leva lentement, marchant vers le bord de l'eau nue pour laisser ses pieds entré dans l'eau glacial. Fermant les yeux, il porta son regard vers la personne dans l'eau et il remarqua qu'elle ne bougea presque pas. Entrant lentement dans l'eau, nageant lentement vers la personne, il remarqua qu'elle était une femme. La prenant par les épaules il la ramena a la berge en la sortant de l'eau. Il la fixa, voyant les brûlure sur es cuisses.

- Vous sortez de ou brûler ainsi ma chère dame ....

Dit il en examinant mieux ses cuisses et rejetant ses cheveux mouiller vers l'arrière. Fixant la femme , percevant quelque chose d'étrange mais , s'occupa pas de sa, ignorant si elle était en danger ou non, allant prendre sa tunique, l'enfilant et posa sa cape sur la femme pour la réchauffer de l'eau glaciale.

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L’eau, quelle douceur, quelle délicatesse sur mes jambes embrasés par le feu des idiots d’avant. Oui, je les ai tués. Je me suis défendue ! C’était soit eux morts, soit moi… Donc me voici dans ce lac, à me reposer, à calmer mes douleurs. Bon, il me faudrait encore un guérisseur, mais là, je ne pouvais pas bouger, j’étais à bout de force. J’étais coincée. Et je n’étais pas seule. Chouette, soit je meurs, soit je vis. Cet homme qui faisait mumuse dans l’eau… Comment le décrire, comme le détailler ? A part, qu’il était NU ! Il n’y avait pas plus nu que lui dans ce lac. J’avais un peu les yeux ouvert, étant sur le dos. Je voyais monsieur sans souci… Face à moi, en train d’extasier sur un couteau brillant. Les hommes, un rien les rend gaga… Un nouveau couteau, et hop… C’était la folie pour eux.

Agacé par cette vue des plus charnelle, je fermais les yeux, me laissant glisser sur l’eau. Telle une planche de bois, je voguais sur ce liquide transparent. Tout d’un coup, je sentis des mains me prendre aux épaules, et me tiraient vers la berge… Pourquoi? J’étais si bien. Mes jambes devaient être laide, et dans un sale état mais… Je voulais rester dans cette eau. Je me débattis, je le laissais faire pour voir ses intentions. Je pourrais toujours lui enfoncer une lame dans le torse nu de cet inconnu s’il me voulait du mal. Et là, il posa sa cape sur moi… Pour me réchauffer surement… Ca ne faisait pas cinq minutes que j’étais sur le rivage que mes plaies me firent à nouveau mal…

La douleur fut si violement que j’ai cru qu’on reprenait des couteaux pour mieux les ouvrir… Je devais agir ! Je me redressais vivement, enlevais cette foutue cape. Et je le fixais avec une certaine colère dans les yeux.

- Mais ça ne va pas ! J’ai mal, je me suis fait brulée… Il me faut du froid ! Je souffre !

Je tentais de me relever, en me mettant à quatre pattes. Je lâchais un grand cri de douleur. Mes pauvres genoux ! Mauvaise idée ! Mais je voulais me lever ! Regagner cette eau ! Sentir le froids sur mes jambes ! Apaiser mes douleurs ! J’avais du mal à poser sur mes pieds sans appuie. Je tremblais, surtout mes jambes. Je manquais d’équilibre. Je devais donc me dépêcher pour ne pas tomber et me faire encore plus mal. J’avançais … L’ignorant. Je ne voulais pas qu’il m’aide. Je ne le connaissais pas après tout.

C’est là que je perdis l’équilibre. J’avais beau essayer de le reprendre mais inévitablement, j’allais tomber. Mes cheveux voletaient sous le vent qui se levait et ma chut qui m’entrainer à tomber sur les fesses… Je tenter de m’accrocher à ce que je pouvais, à ce que je trouvais sur mon chemin… Cependant, il n’y avait rien, et je finis étalée sur le dos… M’éclatant la tête contre le sol, d’où je m’ouvris un peu. J’étais un peu sonnée par la chute. Je m’assis me sentant un peu mal, et je fixais l’inconnu.

- Il me faut de l’eau, s’il te plait.

Je me tenais la tête voulant voir l’étendu de ma bosse. J’étais dépitée. Si j’avais su, je serais restée à Madorass !

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Il n'avait a peine fini de remettre sa tunique, un bout vulgaire de tissus foncé qui cachait son corps du vent, ainsi stoppant net ses frisson. Il c'était avancer vers la femmes, dans un questionnement des plus étrange. Il replaça sa ceinture en avançant vers elle, hochant négativement la tête la voyant faire, la croyant pour une simple humaine, ignorant qu'il s'agissait d'une race du dessus. Il avait tiré l'inconnu loin de l'eau et il remarqua qu'elle s'agitait. Elle hurlait qu'elle était brûler et qu'elle souffrait et réclamais de l'eau froide.

-Vous s'avez que vous allez mourir de froid dans se lac, vous souffrez oui, mais a quoi bon entre souffrir une légère partie de sa vie ou perdre directement la vie.

Il s'accroupi près d'elle en soupirant , prenant la dague magique au tranchant toujours aussi coupant malgré les années inconnu passées dans se lac perdu sous la boue. Il coupa sans hésitation les vêtements qui couvrait les cuisses , gardant un bout de tissus pour cacher le bassin, malgré qu'il cachait rien sous l'angle du solitaire.

-Vous avez rencontré un dragon ou quoi ?

Dit il en prenant de l'eau dans sa main et la fessant couler sur les cuisses de la dame blesser. Il examina plus délicatement les brûlure en montrant les dents de dégoût face a des brûlures sérieuse.

-C'est pas une petite brûlure que ta la gamine.

Il se tenait devant ses jambes, plier au sol, son vêtement déchirer ou brûler, ne touchant pas pour faire couler de l'eau sur les brûlure. Il n'avait rien que l'eau froide du lac pour l’apaiser, rien pour couvrir ses plaies sans la faire souffrir d'avantage. Il pouvait profité du fait que le soleil ne plombait pas ici pour empirer ses brûlure mais, elle souffrait toujours. Il ne retentais pas de magie dans les blessures, se disant qu'il devait s'agir de blessures faite par du feux bien ordinaire. Ne désirant pas la faire souffrir plus qu'elle souffrait déjà, il posa ses mains sur son corps et se flasha un peu plus près de l'eau. Elle trempais a moitie dans l'eau, a partir du pubis, elle était sous l'eau glacial , apaisant pour l'Instant ses jambes.

Il se releva lentement, restant les pieds dans l'eau ,fixant ses jambes et sa taille avant de croisé son regard, le sien toujours calme, posé.

-Vous est consciente que l'eaux vous apaisera que pour un instant ? Il vous faut un médecin pour soignée les brûlures, sinon vous aller hurler votre vie de douleur. Surtout que nous sommes loin et que seul ma maison est près d'ici. Je vous voie mal parcourir des jours les jambes dans cette état, sans compté votre pudeur un peu dévoiler.. '' Il détourna le regard et garda ses mains sur ses hanches, laissant le froid de l'eau frapper ses mollets.

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Ouahouuuuuuuuuuuuuuuu ! C’était quoi ça ? Un flash ? Mais comment ? Hein… J’étais là et puis maintenant, je suis là ? Heureusement que le peu de robe qu’il me reste, me recouvrait jusqu’aux genoux. C’était mes mollets qui étaient les plus touché. Les cuisses n’avaient presque rien. Donc comment je suis arrivée dans l’eau ? HEIN ? Je suis tombée. Je ne pouvais pas bouger. Et là, paf… En plus l’autre sans nom me traite de gamine. Je ne suis PAS une gamine.

Si je pouvais, je le dégommerais ! Qu’est-ce que j’ai mérité pour avoir ça ? Je le fixais. Il se faisait moraliste ! Je sais que l’eau ne m’aidera pas indéfiniment. Il me faut un guérisseur. J’avais vu un village pas loin…

- Déjà, Je ne suis pas une gamine. En plus, je ne suis pas une chose qui déplace comme ça, je ne sais pas comment !

Je prenais appuie sur mes mains et me redressais. Je ne voulais pas qu’il me touche. Il n’est pas net. Je me déplaçais pour être un peu plus loin de lui. Je ne connais pas son nom… Rien de lui. Absolument rien. Il peut me vouloir du mal. Il fallait que j’aille à ce village. Il y a peut-être un guérisseur la bas ! Oui, c’était mon seul espoir.

- Je sais très bien que l’eau n’est que provisoire.

Il n’y avait que cet étrange homme pour m’aider… Je suis maudite. Je ne veux pas de son aide mais ai – je le choix ? Non ! Je ne l’ai pas. Je soupirais.

- Ma pudeur est cachée par du tissu, et de plus, je m’en moque.

J’ai mal moi. Je ne vais pas m’attarder sur ça. Ma peau quoiqu’apaisait par l’eau, souffre quand même. Pourquoi, je suis tombée sur des mages qui maitrisent le feu, hein ? Je n’ai rien demandé. Il faut que j’arrête de me lamenter sur moi ! Je soufflais.

- J’ai vu un village pas loin… Et euh…

Je mettais ma vie entre ses mains. Je vais me sentir redevable… Je ne veux pas de ça. Cependant, je n’ai pas le choix. Je ne voulais pas perdre mes jambes. Sans jambe, je fais comment moi pour vivre ?

- Et je me disais, que je pourrais y aller…

Pourquoi hésitai- je autant ? Sérieux, je n’ai que lui sous la main, et je ne peux pas marcher. Je devais donc lui demander. Je pris une grande respiration.

- Est – ce que tu pourrais…. Pourrais m’aider à y aller, s’il te plait. Il y a peut –être un guérisseur non loin.

J’espérais qu’il allait accepter, qu’il voulait m’aider. Sinon, j’étais condamnée. Je ne voulais pas penser à cette idée. Je veux être guéri ! GUERI ! Alors, il devait accepter ! Je le regardais attendant qu’il réponde.

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La lumière. Quelle belle puissance, quelle beau contrôle sur cette élément le solitaire avait mis la main. Blanche, aveuglante, apaisante pour certain et douloureuse pour d'autre, un élément multiple pouvant aider ou nuire. Une puissance bien étrangement acquis lors des ses années de vie. Il avait transporté la femme blesser dans un flash dans l'eau et il lisait dans son visage l'inquiétude et la surprise d'un pouvoir tout aussi étrange que puissant. Habituellement, il usait de son pouvoir dans des combats. Ne voulant pas éternisé quand il en avait guère le temps, il usais de se pouvoir pour surprendre et finir un combat bien avant qu'il ne soit commencé. Il lui arrivait que TRÈS rarement de l'utiliser en combat ou hors combat. L'utilisant dans les moments ou il devait traverser des endroits étroit, haut ou simplement incessible , sa l'aidait bien quand il en avait besoin. Bien que lui coûtant de l'énergie , ce n'était rien, puisqu'il ne l'utilisait que rarement et jamais plusieurs fois de suite. Les seuls fois ou le cas le suscitait, un combat assez titanesque entre une créature du triple de sa taille l’empêchait d'avancer et la seul façon , se transporté près de lui, frapper a plusieurs reprise et changer d'endroit a chaque coup. Bien que épuiser il avait survécu.

Revenant sur le moment, il n'écouta qu'une partie de ce que la femme brûlé disait, écoutant avec attention les seul chose importante comme le village et sa demande d'y emmener. Il posa sa main sur la brûlure, touchant la peau brûler pour en connaitre l'état il ne dit rien pour ne pas la rendre encore plus en peur et affolé que dans l'instant. Il regarda un instant ses jambes, hochant la tête en voyant l'état de ses vêtement mais il hocha les épaules , elle trouvait qu'elle était assez bien couverte mais , c'Était faut, elle s'en foutait de toute façon pour perdre du temps sur sa. Il fixa l’inquiétude sur les yeux de la femme, sachant que si il le voulait, il pouvait la laisser mourir la, partir lentement en sifflant , retourner chez lui étudier sa découverte , la belle dague enchanté , toujours aussi belle , un peu sale mais belle, laisser la dame mourir de douleur mais, son code d'honneur bien que petit , lui disait qu'il ne pouvait laisser une femme, une très belle femme quand même, mourir ici comme sa , sans raison sous une douleur atroce de brûlure alors qu'elle n'avait rien fait pour mériter... effaçant de sa tête ce qu'il venait de dire, il ne la connaissait pas, il ignorait tout d'elle alors il ne pouvait pas dire si elle méritait oui ou non son châtiment actuel.

-Le village est a un bon moment d'Ici, je n'est rien pour vous transporté alors le trajet sera sur mon épaule et rien. Si vous ne voulez pas, alors priez pour qu'un homme ou je sais pas qu'elle chose ai une charrette ou quelque chose car c'est le choix. Douleur durant un moment pour des soins ou douleur qui joue entre la chance au risque de mourir.

Il parla d'une voix sec mais calme. Il ne lui laissait aucune autre option et il n'allait pas revenir sur sa décision. C'était l'un ou l'autre, si elle était stupide elle allait refuser , proposer autre chose ou se plaindre. Si elle était assez intelligente, elle allait accepter de souffrir encore un peu pour enfin être apaiser et perdre la douleur qui rongeait ses jambes. Alors qu'elle allait lui demander gentiment si il pouvait l'aider a atteindre le village, il la pris sans prévenir sur son épaule, la prenant par les fesses, n'ayant par grand choix si il voulait pas la faire hurler de douleur en la prenant par les cuisse , et il la plaça sur son épaule, gardant ses mains un peu plus bas que ses fesses pour éviter les brûlures.

-Tien toi bien, n'ose même pas te plaindre et parle ou pense autres choses pour oublier la douleur et passer le temps, j’accepterais volontiers de discuter avec toi, tant que le sujet me plait.

Il entama la marche jusqu'au village, bien que l'atmosphère était aussi pénible pour elle que pour lui, grognant intérieurement de la situation , prenant son armure et le reste de ses choses dans son autres mains, il passa devant sa cabane pour les laisser a l'intérieur, continuant le chemins torse nue , son katana qui pendait de son fourreau sur sa cuisse gauche. Il ignorait tout de la femme qu'il aidait, elle pouvait bien être une tueuse , une criminelle rechercher , une esclave en fuite. Pour le cas d'esclave, il se ferais un plaisir de l'aider, étant déjà été esclave, il pouvait comprendre sa situation et il ferais un maximum pour l'aider. Il s'étonna lui même de ce qu'il venait de penser, il ne se fiait qu'a lui et il venait presque de dire qu'il aiderais une esclave en fuite ? Déjà il fallait savoir qui elle était avant de porté un jugement.

-Pour l'Instant je suis Kyr, toi ton nom ? et qu'elle est la cause de ton état actuel ?

Il parlait avec un ton de franchise et d'assurance, n'offrant aucune hésitation dans ce qu'il dit.

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