une brise dans le néant...

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Au dessus de tout, et au dessus de rien. Chercher en vain jusqu'au plus profond des abysse l'avait menée ici. Au dessus de tout et au dessus de rien. La ou tout est rien. La ou la matièere est devenu le vide. Près d'un océan où les vagues sont mortes avait d'avoir vu le jour, là ou le vent s'est tué avant d'y avoir posé ses ailes. C'etait comme si la nuit s'était confondue avec la mer. Une nuit sans étoile. Et sans plus d'espoir. Pourtant c'était là qu'elle avait trouvé repos.

La terre arride malgrès la proximité de l'eau, infertile sans doute depuis la nuit des temps, avait courbé l'echine, une echine escarpée et formé des falaises qui tombait en poussière comme un chateau d'illusion.

Au sommet une silhouette assise. Au dessus de tout, au dessus de rien. Elle n'y regarde pas son reflet. Elle n'en à pas.

Je ferme mes yeux. J'imagine une brise. Glacée. un vent trop essoufflé pour souffler quelqu'onque nuée même à peine perceptible. Comme si rien ici n'était vivant.
Que dis je... RIEN ici n'est vivant. Le dieu des songes est partout. Mais ici la mort existait même avant la vie.

Je suis là. J'attend. J'attend quelque chose et j'ignore jusqu'à l'existence de cette chose. Je ne sais pas ce que j'attend. Cela fait des mois. des jours entiers, des semaine arrassantes que je cherche en vain. Et jusqu'ici aux contrées les plus reculée les plus sombres, les plus vide, j'ai chercher.

Je ne revenais ici qu'une seule fois chaque année. Je m'asseyais toujours au même endroit. Devant un paysage mort qui me reflette pourtant sa beauté. Ici tout est vide. Je n'ai plus à penser. Ici tout est mort, loin du carnage bien vivant du dessus.

Silence...

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Le lac noir d’une tranquillité inquiétante s’étalait sur ces terres toutes aussi lugubres. L’atmosphère entière incitait à la paranoïa. Le Lac des Âmes Perdues était sans nul doute l’un des coins les plus effrayants de tout le Vein. Les hautes falaises qui le surplombaient se reflétaient à sa surface toute aussi lisse que le visage d’un haut-elfe. Tout était si calme… Il n’y avait âme qui vive ici, hormis la silhouette d’une femme se dessinant au sommet d’une falaise, et celle d’un homme marchant lentement sur le sol rocheux.

Neriel aimait venir ici de temps à autres, apprécier le silence de l’endroit. C’était la première fois qu’il voyait quelqu’un ici, et avait donc décidé de s’approcher d’elle. A mesure qu’il avançait, il lui apparut que cette femme était d’une beauté stupéfiante. Il pouvait le voir car il venait par le côté. Sa peau était d’une pâleur incroyable. Après un instant d’hésitation, il s’assit près d’elle, laissant moins d’un mètre d’écart entre eux, et observa l’horizon.

Des pensées défilèrent seules dans sa tête, diverses et variées. Il se demandait quand le seigneur des démons le recontacterait enfin. Cela faisait des semaines qu’il n’en entendait plus parler. Puis ses derniers combats resurgirent. Il revit les visages de ceux qu’il avait tués de sang froid, et un sourire se dessina sur le sien. Toutes ces vies qu’il avait prises étaient nécessaires, et cela n’était certainement pas terminé.

[HRP : C'est court, désolé, je me rattraperai]

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je n'entendis pas l'inconnu approcher. Je ne sentit sa présence que lorsqu'il fut à quelque mètres de moi. Mes sens étaient endormis. Dans une douce torpeur, mes pensée ailleurs. Je ne le regardais tout d'abord pas. Non pas par hypocrisie ou par negligence non, mais perdue dans un souvenir j'eut un instant d'absence en ma conscience .

Puis après de longues minutes de silence absolu je tournais légerement la tête vers l'inconnu.
Un homme... haut de taille, imposant de force. D'une nature physique presque sauvage se dégageai avec stupefaction une incroyable sagesse... un respect qui s'imposait de lui même. Un calme aussi serein que le paysage dont la beauté du vide s'offrait aux rares âmes qui s'aventuraient ici.

Il n'était pas humain. En ces lieux qui le serait...? personne. Sa présence pouvait troubler mais son absence de parole avait installé une sorte de hasard qui se voulais presque dut. Il était près de moi. Je pouvais tour a tour détailler son être de mes yeux .

De larges épaules... un torax sculpté par le maniment des armes... Une épaule dont les plaques et les écailles se succédait comme la peau d'un reptile au sang chaud... D'autre plaques orangée tachetaient sa peau de ses bras... Le bas de son corps se noircissais au fur et à mesure de sa taille... Ses jambes étaient couvertes d'un armure sombre dont le reflet laissait entrevoir des teinte rouge sang....

Malgrès une apparence farouche... sont visage se dessinait à la faveur d'un calme olympien. Il semblait perdu dans ses pensées. Ses yeux étaient à la fois sombres et brulants... D'une beauté rares à ce que je pouvais en juger d'après moi... Je regardais sa nuque... son cou.... Comme un reflex forcé par ma nature mais doucement je détorunais les yeux et refixais le paysage vide de toute chose qui s'étendait devant nous. A sa manière je me mis à penser moi qui ne pensais d'abord à rien ... Il y avait donc d'autres ames qui venait reposé leur esprit en ces lieux morbides... Je n'etait là qu'un seul jour par ans... C'etait la premiere fois que j'y rencontrais une vie....

(HRP / pas grave ^^ pas d'inquiétude ça me dérange pas =) )

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Pendant un moment, Neriel garda ses pensées en tête. Même lorsque la femme à ses côtés l’observa, le scruta sans retenue. Il observait la surface toujours lisse du lac, se souvenant de celui qui bordait le village de sa petite enfance. Le visage de l’ange qui avait terrassé sa famille lui revint alors en tête, et il soupira. Il ne pourrait pas se venger avant un certain temps. Il lui faudrait attendre qu’il ait l’imprudence de se retrouver en face de lui. En tout cas, il n’était vraiment pas assez puissant pour se retrouver seul dans le monde du dessus.

Son regard fut attiré vers une onde parcourant la surface de l’eau, suivie de près par plusieurs autres. Il se demanda une fraction de seconde si quelque chose vivait vraiment dans ce lac si mystérieux. Il n’eut pas besoin d’y penser davantage. Une créature gris-bleutée surgit dans une gerbe d’éclaboussures. Elle était immense. De longues ailes de plus de trois mètres de long étaient étendues le long de son dos écailleux. Une grande queue terminait se dernier en pointes. Quatre pattes couvertes des mêmes écailles avec des griffes menaçantes joignaient un ventre apparemment non protégé. Enfin, des yeux d’une couleur rouge flamboyante, un peu comme ceux de la jeune femme, surplombaient sa gueule aux dents menaçantes.

Neriel se tourna vers la jeune femme en lui adressant un sourire. Ce ne fut qu’alors qu’il put observer ses yeux d’une beauté éblouissante. Il la contempla un instant avant de se secouer et s’éclaircir la gorge. Puis il tendit le bras vers la bête qui fonçait à présent vers eux, sans qu’il le remarque tout de suite. Avec une rapidité d’action surprenante, il prit le bras de la femme à ses côtés et l’entraîna avec lui dans une chute du haut de la falaise. La faible once de pouvoir qui lui restait lui permit de d’ouvrir un faible portail, tout juste assez grand pour eux deux, et réapparaître quelques mètres plus bas sur le sable dur.

A présent vidé, il regarda la créature rencontré la roche dans un grand bruit, n’ayant pu contenir son élan. Elle se redressa tant bien que mal en scrutant les alentours, pour les repérer. Haletant, l’Elfe-Seïrdan parla :

« J’espère que tu as quelque chose contre des bestioles dans ce genre… »

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Revenue en silence à mes pensée je ne contemplais plus vraiment l'onde de la mer.

Je ne vit rien venir. Tout ce dont je me souvient est d' avoir vu fut cette créature surgis de nul part dans un éclat de l'eau d'encre comme un poison , son sourire à lui et des reflexes de sa part plutot sidérants. En un instant il m'entraina vers le bas , par delà la falaise dans une chute vertigineuse.
Par reflexe de mon coté je m'y laissait entrainer et son acte nous sauva de justesse la vie... enfin.. pour le moment.

Entre nos regards et cette brusque interuption quelque peu monstrueuse, les choses se déroulèrent très vite.

Dans un bruit d'explosion contre la roche friable qui s'éclatat avec un bruit mat et fis tombée une petite pluie d'argile gris sec tomba sur le bout de plage au nous etions en contre bas, la bestiole se retira de la roche après y avoir donner un coup de gueule violent a cause du mouvement brusque et imprevisible de l'inconnu à mes cotés, un instant plus tot.
La bestiole finit par Nous repéré. Une langue de reptile sortit de sa gueule qu'elle ouvrit garnie de crocs plus gros les uns que les autres de taille humaine quasiment. De toute sa taille imposante elle se dressa tel un cobra sur le point d'attaquer.

« J’espère que tu as quelque chose contre des bestioles dans ce genre… »

Je le dévisageai alors. Mon regard déja rouge s'intensifia en couleur encore un peu plus, avec plus de brillance et d'éclat sanglant.
- Elle n'est pas seule à posséder des ailes... dis je d'une voix très calme.

[i]Dès lors, je levais le visage vers la créature qui feulait d'un bruit qui ressemblait plus au son que produirait une crai blanche sur un tableau noir... strident. En une seconde alors tous mes muscles se contractèrent, chaque membres et chaques tendons se raidirent. Je pliait legérement les jambes. Et la mutation s'opéra en quelque secondes.

Mes Jambes s'arquèrent tel des pattes animales de fauve vers l'arrière et mutèrent dans ce sens, robuste et puissante. Mes ongles devienrent de véritables aiguilles à trancher qui s'agrandirent. Puis des ailes de membranes de peaux blanches, tendues entre les tiges des os aussi légés que solides, jaillirent de mon dos, chacunes d'environ deux mêtres d'envergure. Mes crocs s'allongèrent un peu.

Tout fut rapide en quelques secondes la mutation fut achevée. Juste un élan sur mes membres inférieur puissant et je fut dans les aires droit vers le monstres qui me faisait à présent face.

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- Elle n'est pas seule à posséder des ailes... dis je d'une voix très calme.

Neriel écarquilla des yeux. Si cette femme disait vrai, elle pourrait certainement les hisser tous deux à la rencontre de la créature, puisque toute fuite était apparemment hors de question. D’un geste empli d’une certaine noblesse. Après une étonnante métamorphose, la jeune femme s’était élevée dans les airs d’un coup de puissantes ailes. Elle volait dans la direction de la bête, qui les surplombait de toute sa grandeur. Elle les regardait avec une haine méprisante.

De son côté, l’Elfe-Seïrdan se cantonna, prêt à faire quelque chose, bien qu’il ne sût quoi. En effet, son terrain de combat n’était absolument pas les airs. Il était dépourvu du pouvoir de voler, et il n’avait à présent aucun moyen d’attaquer le monstre à distance. Il se contenta donc d’observer la jeune fille foncer sur sa cible, espérant que tout se passerait pour le mieux.

[HRP : j’vois pas quoi mettre d’autre…]

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Arrivée a quelques mètres du monstre qui chargeai à son tour avec un cris de colère animal strident j'attendis de me retrouver assez près pour esquiver l'attaque d'un mouvement brusque d'aile que je repliais sur le coté pour faire une embardée et que le monstre pris dans son élan ne puisse ralentir sa chute.
Il retomba inéxorablement contre la roche en contre bas, fonçant droit dans sa chute vertigineuse vers le démon resté au sol.

Dans mon embardée piquée je filais droit vers lui avant qu'inexorablement le monstre ne s'écrase sur lui, bien que je le su capable de s'en tirer sans mon aide.
Je devançait la créature dans sa chute et d'un geste furtif et calculé j'attrapais le démon par les épaules et remontait en fleche vers le ciel a la minute ou le monstre marin éclatait la roche friable sous son poids monumentale dans un râle crispant et suraigue.

J'était montée assez haut en altitude. L'abscence totale de vent m'empechait de profiter des courant chaud dont j'avais l'habitude sur feleth et ici j'était obligé de battre constemment des ailes pour maintenir l'allure et la vitesse. C'était épuisant surtout quand on ne s'était pas préparer a subir un tel affront au milieu de nul part.

Et il fallait dire aussi que l'inconnus que je portait à présent pesait son poids en musculature certe mais même si j'avais une force décuplée sous cette apparence je n'était pas non plus hercule, loin de là.

-Ce n'est pas en l'assomant qu'on réussira à chaque fois... finis je par faire remarquer d'une voix impassible.

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Dans une embardée, et en quelques instants, le monstre se retrouvait à terre, et Neriel dans les airs. La femme avait agi avec une agilité surprenante, mais la créature n’avait pas semblé dans son état normal non plus. En effet, au vu de la taille gigantesque de ses ailes maintenant repliées, il aurait tout à fait pu se redresser. Pourtant, il s’était écrasé sur la roche, incapable de redresser, ce qui intrigua le démon. Ce dernier observa un moment le corps inerte de la bête, entendant la femme lui parler. Mais l’Elfe-Seïrdan n’y prêta que peu d’attention. En effet, quelque chose avait attiré son regard.

« Repose-moi, demanda-t-il d’une voix à laquelle on ne pouvait que se soumettre. »

La femme s’exécuta d’un mouvement gracieux et le déposa aux côtés du monstre. [Si tu n’es pas d’accord, préviens-moi par mp, je changerai la suite.] Après un bref mot de remerciement, il s’avança de quelques pas dans sa direction. Pourquoi donc le monstre s’était-il écrasé ? Il le découvrit d’un seul coup d’œil sur ce qui l’avait intrigué auparavant. Une marque était dessinée sur le haut du crâne de la créature : un A entouré de 3 cercles reliés les uns aux autres par des traits se joignant également au centre.

Jamais auparavant le démon n’avait observé si étrange symbole. Il ne représentait absolument rien et n’avait aucune signification à son sens. Tendant la main vers le dessin, il le toucha du bout des doigts, effleurant les écailles du monstre. Celui-ci réagit, poussant un râle de douleur, mais ne bougea pas, toujours inconscient. L’emblème, quant à elle, brilla d’une intense lumière rougeoyante. La terre se mit alors à trembler violemment. S’accrochant à la bête, Neriel put voir une immense faille s’ouvrir une vingtaine de mètres devant lui. Le sol se séparait en deux. Du fossé émanait la même lumière rouge, qui ne laissa de doute sur sa nature démoniaque.

Et une silhouette s’éleva. Du haut de ses deux mètres, une aura écrasante se déployant autour de lui, un puissant sorcier apparut. Il était vêtu d’un manteau noir à capuche, cachant chaque parcelle de son corps. Des manches trop longues pour lui recouvraient ses mains et pendaient au bout de ses bras. Des bottes toujours noires, plaquées de métal, recouvraient des pieds de taille plutôt normale. Il tenait un long bâton dans sa main droite, au bout duquel un énorme cristal brillait de la lumière rouge. Son visage était recouvert, mais on distinguait ses yeux de la même couleur, presque surnaturelle.

Une expression de frayeur s’incrusta sur le visage de Neriel. Il dégaina une nouvelle fois sa lame, bien qu’il sût qu’elle ne lui serait absolument d’aucun recours face à un tel ennemi. La brandissant face à lui, il ne se retourna même pas vers la femme. Elle devrait se débrouiller toute seule, car il ne pourrait vraiment pas assurer sa protection. Pas ici. Que d’évènements pour un lieu aussi tranquille d’habitude, pensa-t-il. En tout cas, il lui fallait réfléchir très vite, ou ils mourraient ici tous les deux, dès que le mage noir les remarquerait.

Il avait déjà rencontré des gens comme lui au cours de sa courte existence. Deux seulement. Et ils avaient anéanti une dizaine de démons à eux-seuls. Neriel n’en avait jamais appris plus sur eux. Ni qui ils étaient, ni d’où ils venaient. Toutefois, leur puissance était réelle, et lui le savait. Aussi entreprit-il de se cacher derrière le monstre, tout en gardant un angle de vue pour pouvoir observer le sorcier. Celui-ci continuait de s’élever quelques mètres au-dessus du sol, tandis que ce dernier se refermait avec un grand bruit sous lui. A présent, ils n’avaient plus que quelques secondes avant de se faire massacrer. Et la Lame Noire n’avait toujours aucun plan en tête…

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[ non c'est bon pas de probleme ]

Tout fut très rapide. En quelques secondes seulement je vis un homme que je devinais en un rapide coup d'oeil bien plus puissant qu'un être normal, s'éleveer dans le ciel. Moi même j'avais remarqué que la bête n'avais pas eu un comportement assez sauvage et instinctif pour être animal.

Si celle ci avait été controlée par un être plus puissant tel que lui cela pouvais s'expliquer avec logique. Je vis le démon sortir une arme avant de se mettre en position offensive derrière la carcasse encors gisante du monstre écrasé contre la roche friable.

Crampée sur mes membres inferieur puissant je complétait par pur reflex ma mutation pour être totalement disposée de tout mes moyens et tout mes réflexes bestiaux. Je ne me cachais pas comptant sur ma vitesse et l'instinct de mes mouvement en cas d'attaque, scrutant l'élévation du sorcier dans les aires. Le souffle de la faille le tenait à une distance élevée du sol comme en apesanteur. Je ne voyais ni son visage ni son corps à part sa silhouette assasine et lugubre.

J'attendais un geste... un signe... Bien que je sache pertinemment qu'il serait surement le premier à attaquer... Je ne parvenais pas à bouger. Par crainte ? figée de térreur ? Un peu surement. Et beaucoup de folie aussi... Teinté de colère aussi, pour le seul jour de l'année ou je cherchais repos il fallait que je tombe sur pareils ennuis. Quelle poisse !

Je jettais un coup d'oeil au démon au visage fin caché derrière le monstre. Il avait l'air tout comme moi de ressentire le danger. Mais étant un démon bien plus que moi je puisse en être un, sachant que je ne résidais jamais dans le Vein, il pouvais bien plus que moi savoir quel serait irrémediablement notre sors qui semblait de plus en plus imminent. Malgrès cela je ne parvenais pas à bouger. tête levée vers le nouveau venus... La nouvelle menace...

Aussitot dit aussitot fait... Je n'eu pas le temps de penser ce que j'allais faire en cas de problème soudain, qu'un vent glacial se leva alors qu'il ne fit qu'un geste... Non pas un vent... Une tempète.. Gigantesque.. Dans ce lieu où le vent ne soufflais jamais... Comme une brise dans le néant... Une brise meurtrière...

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Une puissante tempête s’abattait sur eux, inéluctablement, tandis que le mage noir levait son bras d’un geste las. Tout devint très confus, et la femme qui semblait paralysée observait le nouveau venu sans bouger. L’imbécile, de là où il était, le nouvel ennemi pouvait mettre fin à sa vie d’un claquement de doigts. Pourtant, celui-ci avait les yeux fixés sur sa créature, incrédule. Flottant à quelques centimètres au-dessus du sol, il avança vers elle, une traînée invisible laissée derrière lui à mesure qu’il progressait. Neriel se cachait tant bien que mal derrière cette masse de viande comestible, conscient que s’il était découvert, il n’aurait que peu de temps à vivre. Se réfugiant discrètement sous une aile, il suivit des yeux le sorcier.

Ce dernier, arrivé à destination, s’agenouilla auprès de ce qui semblait être sa marque. Il posa des doigts gantés sur ce simple dessin, et le monstre eût un mouvement. Sa voix s’éleva alors, au-dessus des bruits de la tempête qui ne faisait pour l’instant que souffler. Elle emplissait l’espace, et semblait amplifiée par une magie quelconque.

« Quelle force de volonté de ta part… Je n’aurais jamais cru que tu puisses te défier de ce sortilège. Tout ça pour t’écraser misérablement au lieu de m’obéir… »

Le sceau s’illumina et doubla d’aire, recouvrant maintenant une assez grande surface. La bête poussa un hurlement de douleur, qui se perdit dans le bruit du cyclone. Elle semblait secouée de spasmes, et souffrait probablement énormément. Le démon sentait son cœur battre à tout rompre à travers son immense ventre, et l’aile dans laquelle il se cachait se rétracta pour l’en rapprocher. Le sorcier eut un petit rire, inhumain.

« Comment peux-tu encore résister ? Tu ne veux donc pas te plier à moi ? Je ne t’enlèverai pas la vie, ton sang m’est bien trop précieux, ma belle… »

De son côté, Neriel tremblait de tout son être. Le fracas assourdissant de l’organe puissant frappait contre lui. Dès que la créature faiblirait, il serait alors mis à découvert, et ainsi terminerait sa vie. Mais que pouvait-il faire ? Il n’était pas assez fort pour se battre contre un mage sans ses pouvoirs, et son propre sang ne pourrait pas lui confier la puissance nécessaire à une telle bravoure. Une idée lui vint alors, affreuse. Des litres de sang giclaient tout près de lui, dans un corps qui deviendrait bientôt ennemi lui aussi. Il pouvait récupérer cette énergie facilement, mais pour cela, il fallait mettre fin à la vie d’une créature visiblement unique en son genre. L’Elfe-Seïrdan brandit tout de même sa lame. Il pouvait mettre un terme à ses souffrances, alors pourquoi s’en priver ? D’un mouvement, il l’enfonça au plus profond du ventre de la créature, transperçant son cœur, alors qu’elle hurlait à plein poumons. Avant que le sorcier ne se rende compte de quoi que ce soit, il éructa d’une voix forte :

« Aïre ohnma snerthe ! »

Il n’avait encore jamais exécuté une telle technique sur un être non-humain, et avait redouté que sa stratégie puisse peut-être ne pas fonctionner. Toutefois, tout se passa comme prévu. Le sang de la créature afflua sur son épée qui le convertissait en énergie pure qui s’infiltrait en lui, sans retenue. Au fur et à mesure qu’il sentait le Pouvoir lui revenir, le sorcier tourna la tête vers lui, et poussa un cri.

« Comment… as-tu osé… Tu as signé ton arrêt de mort, pauvre être dénué de conscience. »

Neriel réagit au quart de tour, et retira fermement sa lame de la bête désormais vide de sang et s’élança vers lui, préparé à balancer la défense magique la plus puissante à sa disposition. Le mage leva un doigt, et un concentré de rayons lumineux d’à peine deux centimètres de diamètre jaillit en direction du démon. Celui-ci fit apparaître une boule du néant qui alla à sa rencontre et dévia le tir en s’évaporant. Tout était très rapide, et peu d’êtres auraient pu voir les sortilèges se contrer ainsi. Avec une rapidité d’action surprenante, la Lame Noire fit apparaître des chaînes autour du sorcier qui l’enserrèrent, la paralysant ainsi. Il porta alors son coup qui s’abattit sur le vide, la cible ayant disparu en un clignement de l’œil. Le démon poussa un jurant en faisant disparaître les chaînes, et cria alors en direction de la femme :

« Je vais pas pouvoir m’en débarrasser tout seul ! Aide-moi ! »

Ce n’est que maintenant que le sorcier s’aperçut de sa présence. La tempête s’alourdit alors, et un puissant éclair tomba droit sur elle.

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S'adressant à la créature le mage noir sembla se désinterressé de ma présence. Bien que je devinais sans mal les craintes du démon qui m'accompagnait, caché derrière l'immonde monstre gisant sur la pierre flétrie. Je n'était pas sans crainte. Mais la stupeur m'empechait de bouger. Je me serait sentie frémir de peur et d'angoisse si j'avais pu. Seulement je tenais de garder mon sang froid le plus fermement possible.

Un vent monstrueux s'était levé. Une tempète était née de la sombre apparition du sorcier. Le vent semblait tout aussi mauvais que l'aura qu'il dégageait. Il s'était approché du monstre. Comme si le vent ne le touchait pas lui, il éleva une voix lugubre qui résonnait à mes oreille avec la force d'un écho meurtrissant.

« Quelle force de volonté de ta part… Je n’aurais jamais cru que tu puisses te défier de ce sortilège. Tout ça pour t’écraser misérablement au lieu de m’obéir… »
« Comment peux-tu encore résister ? Tu ne veux donc pas te plier à moi ? Je ne t’enlèverai pas la vie, ton sang m’est bien trop précieux, ma belle… »

De toute évidence l'énorme bestiole était manipulée par sa volonté.. Pourquoi cette attaque préméditée ? Pourquoi nous attaquer nous ? Il y avait t'il une raison quelqu'onque ? Etait ce ma présence liée à celle d'un vériatble démon du vein qui avait attiré ses foudres et son attention du même lot ? Toute ces questions se succédaient les unes aus autres dans ma tête. Pourtant je n'esquissais pas un seul geste.

Je vis le démon caché se glisser sous l'aile de la créature qui gisait et criais sa douleur de sa gueule garnie de crocs en aiguille. On aurait dit qu'elle brulait de l'interieur et que ses rales suppliaient qu'on abrege ses souffrances. C'était à vous glacer les sang. Pour le comble le mien était déja gelé, car telle était ma nature de "sang froid".

Quelque minutes , quelques seconde et tout se déroula très vite. Mon inconnu compagnon sortit de nul aprt, rayonnant d'une force nouvelle après avoir crier avec force une incantation en vieille langue . Un sabre à la main d'une couleur noire d'ében qui semblait presque animé d'un volonté impure et propre à la fois : tuer.

Le sorcier pris enfin part à notre présence et dans une rapidité soudaine je vis s'enchainer quelques sortilèges puissant. Moi par réflex j'avais entamé une metamorphose rapide et brusque prète à attaquer à mon tour.
Et comme si j'avais anticipé ces mot le démon aux écailles noire cria à mon encontre :

« Je vais pas pouvoir m’en débarrasser tout seul ! Aide-moi ! »

A peine eut il prononcé ces mot que le sorcier sembla comprendre que contrairement à ce qu'il aurait pu imaginer moi aussi pourrais décemment représenté un danger. Le vent se contorsionna en une fraction de seconde une tornade immence jaillit sous un éclair de foudre crépitant qui s'abbatit avec force dans ma direction. Je disparut dans un nuage de fumé blanche pour réapparaitre au bord de la falaise de laquelle je semblait me laisser tomber.

Le sorcier se prit d'un rire d'outretombe sortit tout droit de sa gorge machiavelique, pensant que j'avais fui ou bien péri dans ma chute , disparue en bas de la falaise, laissant seul et en rpoie à sa puissance le démon à la lame noire.

" Te voici seul face à ton sordide destin... "

Fit il d'un ton fier et lugubre et levant le bras deja vers le démon.
Mais à peine eut il proncé ces mots qu'un grondemment se fis entendre. Comme si un tremblement de terre emergeait... Non .. pas de terre... mais...
Soudain je réapparut par dela la falaise, ailes déployé, bras ouverts.. Derriere moi une vague.. Immense , gigantesque... de glace.
Je la tenais à bout de bras, Cette immense poid de glace et d'eau solidifié garnit de pic de glace et de coupure gelée tranchantes s'élevais tel un mur menaçant... j'eut un seul mouvement et la vague fila à la manière d'un tsunami sur le sorcier, en fleche meurtrière droit sur lui et ses alentours dans un bruit déchirant le silenceet la tempète elle même.

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De la fumée blanchâtre s’élevait de l’endroit où se tenait à présent la femme. Avait-elle été désintégrée ? Ou simplement avait-elle encore d’autres pouvoirs que la métamorphose ? Ce n’est qu’après quelques instants que Neriel suivit le regard du mage qui avait déjà les yeux pour la silhouette qui tombait… Un sourire naquit sur ses lèvres, alors que son ennemi riait aux éclats. Après avoir déclaré de sa voix sombre quelques paroles pour la présumée victime, il se tournait vers le démon. Levant son bras, concentrant une majeure partie de son aura dans le sortilège qu’il s’apprêtait à lancer, il fixait son adversaire majestueusement. C’est alors que le grondement parvint à leurs oreilles.

Une gigantesque vague suivait de près une toute nouvelle créature que les deux êtres n’eurent aucun mal à identifier comme étant la jeune femme. Et d’un long mouvement, elle la relâcha pour l’envoyer s’éclater contre les deux personnages. Le mage noir se contenta de modifier la nature de son sort pour le transformer en un champ de force de presque trois mètres de diamètre, le protégeant efficacement de la puissance de la vague. De son côté, Neriel avait décidé de se fondre dans la dimension des ombres qu’il maîtrisait. Il n’y allait que très rarement, car la sensation de l’air lourd empêchait toute concentration, et les lieux étaient tellement sombres qu’une légère angoisse dominait tout intrus. Ainsi, quelques secondes après, il ressortit, la vague ayant disparu. La sorcier se tenait toujours debout. Il ne souriait plus.

Empoignant sa lame d’une main ferme, l’Elfe-Seïrdan se jeta sur lui. Ce dernier fit apparaître une lame aussi sombre que les membres du démon, et para avec une agilité certaine chacun de ses coups. Chaque feinte était élégamment contrée, chaque mouvement deviné, et très bientôt il se trouva en position de faiblesse. S’écartant de quelques pas pour souffler, il laissa traîner ses esprits dans le pouvoir surdéveloppé en lui. Il n’avait jamais atteint ce stade, et des possibilités incroyables s’offraient à lui. De son côté, le mage reprenait également son souffle. On voyait nettement son aura dessiner une forme particulière, explosant sous la quantité d’énergie qu’il demandait. Ce serait donc un sort d’une grande puissance qui serait déversé dans les prochaines secondes, certainement au-dessus de celle du démon. C’est alors que lui vint une idée. Sans plus attendre, il se réfugia dans sa pensée et, en moins d’une seconde, envoyait déjà un message au vampire :

« Il va falloir agir vite, je sens qu’il nous prépare un sale coup. Trouve le moment propice et frappe-le de toutes tes forces lorsque l’occasion se présentera. Je vais lui faire vivre l’enfer pendant ce temps. Assure-toi de ne pas laisser le combat traîner, ou je suis mort. »

Et sur ces mots, il s’élança. Le mage fut tiré de ses pensées et se mit en garde, mais Neriel était déjà trop près. Fendant l’air de sa lame, il lui asséna un coup qui déchira son manteau au niveau du torse. Un liquide rouge en coulait mais le démon n’attendit pas. D’un revers de bras libre, il flanqua un coup à son adversaire qui recula de trois pas. On entendait d’ici son souffle rauque, saupoudré de suffoquements. Ses deux bras face à lui, tenant son épée entre deux doigts, l’Elfe-Seïrdan fit jaillir le plus puissant rayon d’énergie qu’il n’ait jamais créé. Mais il avait trop attendu. Le sorcier se tenait à présent juste derrière lui, après avoir disparu un court instant.

« C’était très bien essayé, dit-il d’une voix glaciale. Mais tu ne pourras pas m’avoir ainsi. C’est ter… »

Qu’il était stupide de sa part d’avoir pris le temps de parler ! Comme quoi, les plus puissants sont bien trop arrogants pour combattre. A son tour, Neriel s’était téléporté, quelques mètres plus loin. Les chaînes réapparurent et enserrèrent l’ennemi. Il hurla alors d’une voix tout aussi rauque :

« MAINTENANT ! »

Toute son énergie canalisait celle du mage. Ils n’avaient que quelques secondes, après quoi le sorcier le dominerait, et ce serait la fin.

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Les éclats de glace allèrent s'éxploser contre la protection translucide électrisée du mage noir , dans un choc titanesque aux allures chaotiques. Le bruit strident du tembourinement de la pression du gel, lancé à cent à l'heure contre le champs de force, se fit énorme et assourdissant. Mais alors la vague s'ammenuisa et le champs de force avec elle, mais sans atteindre mon adversaire. Cependant son sourire s'était effacé. Il avait été pris de court et par totale surprise, être ainsi en position de faiblesse ponctuelle avait sans doute assombris son humeur joviale et trop sur de lui. Ces démons sorciers sont si hypocrites et orgueilleux... La moindre parcelle de faute les fait gémir et frémir de frustration... Ils aiment à être les plus puissants à chaque secondes. Etre mis en position inférieur, même durant quelques secondes, par un simple Vampir - imperatrice, peut être en effet très ... rageant.

Un sourir naquis sur mes lèvres. Le premier depuis ma rencontre avec mon acolyte démon qui avait évité l'attaque d'un mouvement subtile combiné à ses pouvoirs. Il réapparut à cette minute là, l'attaque passée, et lança aussitot un nouvel assaut. Ne laissant pas de temps, même hypotétique au mage noir de souffler ne serait ce qu'un peu. Un dédale de coups à l'arme noir s'engagea alors à une vitesse proche de l'illusion même.

Rapidement celui ci me sembla bien moins puissant en terme de niveau vis a vis du mage noir , mais à la grande différence de ce dernier, je décelais une chose, furtive, alors que je ne l'avais pas remarquer encore chez le démon aux écailles rouges et qu'à coup sur le Sorcier ne possédait pas : Sa puissance pouvait croitre .. à une vitesse monumentale et à des dimensions inégalées .. sans limites.. du moins, cela donnait cette dangeureuse impression... Oui il pouvait être bien plus fort que cela j'en étais persuadée.

De mon coté observant la scène qui se comptait en millième de secondes à peine, plutot qu'en minutes. J'avais réattéri sur mes membres inferieurs, mon apparence bestiale en éveille. Ma force physique était décuplée en partie.. Elle aussi pouvait être bien pire encore que ce qu'elle était déja, mais vu la rapidité de l'affront des deux hommes, je n'osais intervenir de risque de blesser mon camarade de combat en même temps, d'un geste un peu maladroit car plus visé dans la "puissance", que dans la précision. Je devais attendre une trève, meme de minuscules même d'un seul et infime instant pour pouvoir agire à mon tour. Mais le démon me relança alors, anticipant mes pensées :

« Il va falloir agir vite, je sens qu’il nous prépare un sale coup. Trouve le moment propice et frappe-le de toutes tes forces lorsque l’occasion se présentera. Je vais lui faire vivre l’enfer pendant ce temps. Assure-toi de ne pas laisser le combat traîner, ou je suis mort. »
Entendis je alors au sein de mon esprit certainement par communication psychique.

J'était une battante. Un vampire, un démon moi aussi tout comme tout ceux du vein. Bien que bien peu considérée, ou du moins ma race, je tenais à n'être comme aucun autre Vampire existant. J'était chef d'un village, j'était responsable et crainte par bien des êtres dans mon entourages. Respectée et insoumise. J'avais moi aussi de la force à revendre et j'allais le lui prouver. D'un bref signe de ^tête rapide j'aquiiésait ses paroles et me tenait prête alors, tout mes muscles en suspens et contracté, comme lorsque que l'on presse un ressort jusqu'à l'extreme avant de vouloir le laisser se relacher brusquement. Je mis en tension donc chacuns de mes membres si bien que mes veines le long des religes de mes ailes ressortirent sous la pression du sang et de l'adrénaline qui grimpait , tel un fluide grisant et meurtrier... Pour les autres !

Après une attaque avec agilité et ruse sans que le mage ai comprit l'étendu de la tactique, Mon camarade eu tot fait de l'enchainer à nouveau et il cria alors :

« MAINTENANT ! »

A peine eut il prononcé les premieres lettres de ce mot qui engageait mon action, que j'avais bondis, relachant l'énorme pression accumulée en quelques secondes. L'attaque fut puissante et d'une rapidité violente et assassine. Tel un coup d'éclat à la vitesse lumiere, j'abbattit de tout mes forces dans un hurlement plus animal qu'humain, ma main armée de griffes monstrueuses sur l'individu qui n'eut aucunement le temps de réagir.

Ma main et mon bras s'enfoncèrent dans les tripes et les vicères pourries du sorcier dont l'odeur et l'aspect putride jicla sous l'éffet du transpercement brutale. Mon bras traversa de part en part sa poitrine, détruisant sur son passage la cage toracique, les cotes, brisant le plexus solaire en morceaux, arrachant les poumons, crevant net l'loesophage et la trachée, puis désarticulant la colonne vertébrale avant de ressortir de l'autre coté.

Le coup fut sans appel. Mortel.

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