Nom : Othon Von Werlheim, dit l'Iconoclaste
Rang : Duc raciste et méchant

Âge : 48 ans
Sexe : Masculin

Race : Humain
Classe : Chevalier
Métier : Duc de Werlheim
Croyances : Croit en des mythes et dieux locaux.
Groupe : Royaume

Talents de combat : Formé à la chevalerie quand il était encore un bambin, l'Iconoclaste se sert de la masse et du marteau plus souvent que son épée, il le dit lui même « Pourquoi trancher quand je peux écraser », brutal, rustre, il ne se bat pas, il massacre.

Talents divers : Fort de sa moustache, Othon brille dans la boisson, on dit de lui qu'il pourrait boire un océan de bière et serait toujours debout !

Apparence physique : « Quel bel exemple de ce que devrais être tout Werlhois », dit de lui les jeunes femmes. Relativement grand, musculature prononcée, les cheveux longs, c'est sa moustache qui ravie le cœur des jeunes femmes. En Werhleim on juge la valeur et la virilité d'un homme à la beauté de celle là ! Et la sienne sublime la cour de son château. Taillé et brossé, elle dessine ardemment chacun de ses traits. Aimant son armure, on dit qu'il ne la quitte jamais, des mauvaises langues raconte que la crasse sous celle-ci l'empêcherait de l'ôter.

Caractère, personnalité : Fier représentant de son peuple, la littérature, les arts, et tout ces activités de « gros pédés » ne sont certes pas de son caractère. Il aime : suer en chassant, manger à sa tablée avec ses mains crasseuses, aller dans ses villages s'inviter dans les couches de paysanne pour y organiser des orgies, boire et faire couler le sang. Fier rustre, sa condition lui incombe tout de fois de faire bonne présentation, et il sait se montrer civilisé. Peu ambitieux, n'aimant pas la gloire, il n'aspire qu'à l'or et les femmes. Mais qu'on se garde de l'insulter, l'Iconoclaste ne pardonne pas, il tue.
Son amour de l'or l'amenant souvent à devoir partir en guerre, le Werlhois est un meneur d'homme, aussi sale que ses soldats, aussi rustre, on le respecte et le craint. La vieillesse l'ayant rendu prudent, la malignité de la ruse guide ses démarches.

Histoire : 

Premier enfant de Frederik Von Werlheim, Othon a grandit à Valzburg avec six frères et sœurs, et d'autres bâtards. Suivant l'enseignement classique de tout héritier ducale, il fit son temps avant d'être adoubé chevalier à ses seize ans. Avant ce temps là, sa vie n'est que celle d'un bambin noble ordinaire. Sa famille sous la démocratie conservait son titre et ses fonctions, le duché de Werlheim se souciant peu de se qui se passer au delà de ses terres. Frederik, en charge auprès des conseils et sénats, ne s'y rendait que très peu, ces pantalonnades de politiques le laissant indifférent. Il avait trop à faire avec des clan tribale qui agressait ses terres.

Othon, fait chevalier, et héritier de Werlheim s'ennuyait dans ce régime de paix et d'amour. Réunissant autour de lui une bande de rustre, il sema dans les régions alentours le trouble, allant piller, tuer saccager des fermes, petit villages. Ne reliant pas son nom à ces méfaits, il vécut ainsi pendant plusieurs années, d'un temps aimable noble à la cour, d'un autre temps ardant jeune homme à la masse sanglante. Il se calma en grandissant, et alors que son père s'en aller mourir, fut appelé à lui succéder. Respectant les traditions, il dut se battre contre deux de ses frères qui contestait son autorité et demander à eux nommer Duc. Il les massacra dans la lice avant de se faire acclamer par ses hommes, ce qui tenait lieu d' « élection démocratique », on ne votait pas par ici, on acclamait.

Devenant Duc du Werlheim, Othon qui n'ayant certes pas trop d'idée, passa ses années à écraser les derniers clans tribales, agrandissant son territoire et son trésor. Lors que l'Hendenmark commença sa prise de pouvoir, Othon ne tarda pas à se libérer lui même de ces institution démocratiques. Les petits groupes qui s'étaient formés et défendaient ses idées furent alors massacré à la tablé de la maison communale, où ayant festoyé avidement, Othon et ses hommes étalèrent leurs tripes sur la table.

Acquérant une total liberté de violence avec ce nouveau chef, Othon ne pris nullement les armes contre lui, à vrai dire passer d'un ensemble de bonhommes défendant la paix à ce gaillard qui lui permettait de verser le sang, était un délectable bonheur. Rassemblant ses hommes il se mit alors à guerroyer contre ses voisins, pillant, détruisant et brûlant villages et fermes, son fief s'agrandit autour de Valzburg. C'est alors que commença ses grandes purifications.

Son duché ayant au cours de ces périodes de paix et de démocraties sombré dans la joie de la tolérance, d'immondes races, religions avaient été importés. Il fit brûler tout ce qui n'était pas de tradition Werlhoise, l'incendie et la destruction de toute les statues et images religieuses lui valu le surnom d'Iconoclaste. Mais le plus mémorable de ses actions fut l'éradication qu'il opéra contre toute les races non humaines, les réduisant en esclavage pour les revendre, ou les massacrant tout simplement.



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"Champ de Marsoille !" Le cri vint accompagner la charge des cavaliers Wherlhois. La vingtaine d'hommes, moustache au vent, dévalaient les flancs de la colline. Des elfes, ces menteurs de la forêt, la pointe de leurs oreilles trahissant leur vilenies, fuyaient sous les cris de "Tayot" "Hourrà". Marteau en mains, les cavaliers couchèrent les plus lent à terre. L'épique scène de ces gaillards hirsutes portant la moustache sans pareil, frappant l'elfes aurait éveillé chez un peintre un sentiment de beauté sublime. Le sang jaillissait, transformant la robe des montures, collant les cheveux de ces braves barbares, et dessinant sur leur visage un sourire de bonheur enfantin.

Le massacre finit, les hommes commençaient à se battre pour savoir comment on se diviserait les douze oreilles elfiques. Le Duc payait une pièce d'or par oreille. On faillit en venir au main, mais Horald Moustache-Tranché, chef de ces bon hommes, trouva un compromis, si les oreilles rapportait une pièce d'or, les canines de vampires en rapportaient deux ! Et le butin d'hier qu'on se disputait encore en comptait une vingtaine. Horald, moins bête que les autres, et sachant compter, réussi à diviser les trophée, en part non égal. Il récupéra deux canines de ces créatures nocturnes, et une oreille d'elfe ! Avec ce que ce butin lui rapporterait, il passerait quelque jours à Valzburg ivre mort. A cet pensée il lâche un gras "Hourâ".

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