''L’enfant voulait répondre. Mais sa gorge lui fit comprendre que ses mots ne seraient jamais à la hauteur du silence.''
               
Eto Hachiro
 
''La mort, c’est elle qui vous fait tenir debout. C’est elle qui dicte les actes. C’est elle qui peint le monde. Et elle vous emportera tous.''
               
Querel Sentencia
 
''Je ne ressens que soif et tristesse, la mort est futilité. Je la cherche, peut-être suis-je elle.''
               
Nagate Zetsubō
 
''Udyr, quand tu seras mort, on se souviendra de ton nom. Moi je n'en ai pas, car je ne mourrai pas aujourd'hui. Mais le tien restera gravé dans ma mémoire, et dans celle de tous ceux qui t'ont connu, comme celui d'un homme fort, et digne. Alors va, et éteins-toi avec grandeur, devant tous ces vautours.''
               
Darn Butcher
 
''La nature revivait là où les hommes mourraient, le cycle reprenait son cours normal grâce à l’albinos.''
               
Aikanaro Myrrhyn
 
''Ils ne se battaient pour rien qui n’en vaille la peine. Ils étaient incapables de distinguer ce qui avait de la valeur de ce qui n’en avait pas. Alors pourquoi tant de vigueur à la tâche ? Pourquoi risquer sa vie aussi vainement ?''
               
Alcofrybas Grincebrume
 
''Son regard, depuis toutes ces années, avait appris à parler.''
               
Etan Ystal
 
''Un monde de chaos, de destruction et de malheur, un monde impartial et magnifique, le seul en tout cas, où faire l’expérience de la vie prendrait un sens véritable.''
               
Edwin Gwendur
 
''L’enfer, ce doit être l’enfer : courir pour l’éternité dans un paysage sans fin, sans début. Sans possibilité de repos ou de mort.''
               
Tyrias Marchemonde
 
''Mais sans risque on n'obtient rien, voici ma devise mes amis. Il ne faut pas avoir peur de se salir les mains, il ne faut pas avoir peur de la mort…''
               
Dimitri Morteury
 
''Tomber... Ceci est si abstrait. L'on pourrait se relever plus grand que l'on était.''
               
Yozora Adragnis
 
''Il passa des semaines dans le cachot ayant décidé de s'y enfermer lui-même. Puis, au terme de trois semaines, vous êtes venu le voir et vous lui avez dit : «Les larmes ne sont qu'une faiblesse qu'il te faudra masquer... Si tu veux t'apitoyer, libre à toi, mais, si tu souhaites voir les choses changer, tu le peux toujours. Suis-moi... Mon ami.»''
               
Haar Wilder
 
''Le brin d'herbe ne se soucie guère de ce que font les feuilles des arbres. Mais à l'automne venu, les feuilles ne se suffisent plus entre elles. Elles s'assombrissent, se nourrissant des nuages noirs d'orage. Et alors, elles se laissent tomber sur nous.''
               
Le Peintre
 
''S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est immobile, allongée, rigide, puante à en faire vomir, en décomposition, transportant des milliers de maladies, la peau arrachée et les os jaunes. S'il y a bien quelque chose que l'on oublie, lorsqu'une personne est à six pieds sous terre, devenue la proie des corbeaux, et ses yeux mangés par des fourmis... C'est qu'elle a un jour été orgueilleuse et avide. C'est qu'elle a un jour voulu devenir riche et grande, ou bien qu'elle l'est devenue. Cela ne change rien.''
               
Le Violoniste
 
''La pensée est la liberté, la liberté... Alors, le corps est la prison, le corps est la prison... Il faut casser les barreaux.''
               
Sill
 
''Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.''
               
Setsuna Hendenmark
 
''Fais ce que tu veux avec ces villageois, sauf les laisser en vie.''
               
Kaull Hendenmark
 
''La fuite vers la religion peut être une réponse pour certains. Pour d'autres elle n'est que la simple évidence que l'homme est faible et instable.''
               
Astryl Panasdür
 
''La mort ne cherche pas à s’expliquer, elle ne fait qu’agir, monsieur. Les cadavres ne racontent pas grand-chose, mais vivant, un homme peut en avoir long à dire.''
               
Sanaki Hearthlight
 
''Alors, telle une marionnette cassée que l’on tente en vain d’animer, il se releva, restant digne malgré ses blessures.''
               
Dolven Melrak
 
''Quand le sang coule, il faut le boire. La mort ne frappera pas à votre porte mais s'invitera par vos fenêtres !''
               
Andreï Loknar
 
''Personne ne peut capturer une ombre, personne ne peut la dresser ni se l’approprier.''
               
Jazminsaa Alsan
 
''De la même façon, à l'idée qu'un abruti de scribe puisse teinter ses parchemins de calomnies religieuses, ou pire, me faire porter le titre de héros, je vais préférer m’occuper de l'écriture de ma propre histoire.''
               
Alexandre Ranald
 
''La mort... Si belle et terrible à la fois, elle l'appelait, et l'appelle toujours.''
               
Adam Moriharty
 
''Par nature, j’aime tout. Par conséquence, je me hais…''
               
Samaël Apelpisia
 
''C'est sordide et cruel, mais c'est hélas la réalité de ce monde.''
               
Liam Gil' Sayan
 
''Aujourd’hui sur les terres de Feleth les pensées ne sont plus les bienvenues. Le temps de la renaissance spirituelle est terminé. Le temps où les grands penseurs avaient aidé le monde est révolu.''
               
Héra Calliope
 
''La mort était séductrice ; elle ne montrait que ses bons côtés. La sérénité et le calme absolu : pour toujours et sans violence.''
               
Eurybie Pourrie
 
''J’ai atteint cette espèce de vanité qu’apporte l’ancienneté. Je ne crois plus qu’on puisse m’apprendre quelque chose, et si jamais quelqu’un essaye ou y arrive seulement, je me bloquerais et deviendrais hermétique à tout contact.''
               
Dante Waanig
 
''Je devrais t'attacher, tu deviens dangereux pour toi même !''
               
Jeyra Frozeñ
 
''La beauté des êtres n'était rien. La beauté des choses oui. Mais pas forcement celle que l'on voit avec une paire de rétines.''
               
Akira Satetsu
 
''Le noir. Une étendue sombre en perpétuel mouvement.''
               
Melpomène d'Ambre
 
''Il est des oreilles invisibles qui peuvent entendre jusqu'à nos moindres soupirs et des secrets aux allures anodines peuvent se révéler instruments de destruction et de tourments sans fin...''
               
Cassandre Ombrelune
 
''Le "rien" est tellement plus unique que la peur ou n'importe quel autre sentiment...''
               
Meryle Nightlander
 
''Ce n'est pas le nombre ni la force qui compte, c'est l'envie, la cause.''
               
Luyak Salamya
 
''L'innocence d'un enfant est la plus grande peur de l'homme.''
               
Clause Vaneslander
 
''Quand il lui manque une marionnette pour ses spectacles. Il verrait en vous la chose qu'il cherche.''
               
Jack D'enfer
 
''Il n'a pas de notion réelle du bien et du mal, personne ne lui ayant jamais défini ces mots.''
               
Jim Stocker
 
''Je n'ai vu aucune lumière, aucun goulet, pour sortir du boyau infini et obscur que nous empruntons tous, jusqu'à la promesse d'une nouvelle vie, de la transcendance et de la connaissance. Alors, mes yeux se sont adaptés aux ténèbres.''
               
Shaquîlah Dresdeïorth
 
''Le pouvoir ronge l'homme.''
               
Balthazar Bel
 
''Visiblement, la sérénité n'avait de valeur que si on connaissait également, en comparaison, des moments de troubles.''
               
Dranek Barth
 
''Le faible se faisait tuer, le fort vivait un jour de plus.''
               
Rodany Bleinzen
 
''Le soleil se couchait sur le monde du milieu. Les ténèbres se paraient de leurs plus somptueux apparats pour enfin faire leur entrée.''
               
Rin Mephisto
 
''Et alors il vit le chaos, la désolation, la souffrance le désespoir ambiant. Il rit.''
               
Elrog Aniec
 
''Perdu quelque part, marche vers nulle part.''
               
Kyle Wate
 
''La rose n'a d'épines que pour qui veut la cueillir.''
               
Karin Yzomel
 
''- Je peux vous prédire le genre d'homme qui vous convient !
- Je connais déjà mon genre d'homme.
- Vraiment... Et quel est-il ?
- Les hommes morts.''
               
Naladrial Delindel
 
''Utilise tes pouvoirs seulement quand le noir deviendra invivable.''
               
Zedd McTwist
 
''Tes cauchemars m'ont déjà donné l'encre... À présent, ta peau me donnera les pages !''
               
Conrart Crowlore
 
''Bien des gens se font enfermer dans un cercueil une fois mort, mais rares sont ceux qui naissent dedans.''
               
Dassyldroth Arphoss
 
''Le corbeau frénétique qui vous nargue de sa voix perchée, agite ses ailes damnées, où le reflet d'un mort se penche sur votre âme.''
               
Lust Aseliwin
 
''La vie est un mensonge, la destruction une délivrance.
Passent les marées, soufflent les vents, en vain...''
               
Le Passant
 
''Fauche, tranche et avale, gouffre des âmes. Que se dresse devant toi mille fléaux, et que l’enfer se glace devant ta noirceur.''
               
Lloyd Vilehearth
 
''Des charognards pour la plupart, comme ces corbeaux à deux têtes, venant dévorer le valeureux mort.''
               
Meneldil Tristelune
 
''Nous sommes les bourreaux de la justice et de la paix. Même si ce rôle n'est pas agréable à endosser, nous nous devons de le faire, pour le bien du peuple.''
               
Ezekiel Le Sage
 
''Il me tarde de retourner au combat pour finir empalé sur une pique.''
               
Karl Von Morlag
 
''Montre-moi le chemin de la victoire. Ou guide-moi alors dans les tréfonds de la mort...''
               
Aznan Lauréano
 
''Comment peux-tu supporter ça ? C'est assourdissant ! Tue-le ! Qu'est-ce que ça te coûte ? Tu ne l'entendras plus. Tu seras en paix... Tue-le !''
               
Aïden Sochlane
 
''- Faites taire votre cabot !
- Je ne suis pas votre servante !
- Alors je le ferai taire moi-même !''
               
Rosaly Von Gregorius
 
''Le seul présent que la justice a à vous offrir, est votre mort.''
               
Mirage Morteury
 
''Laissez-moi vous conduire aux carnages.... Tant d'âmes ne demandent qu'à succomber.''
               
Idryss Leeverwen
 
''Le soleil est un bourreau. D'une simple caresse, sa langue enflammée peut calciner n'importe quel être.''
               
Seïren Nepthys
 
''C'est une nuit sans lune. Ou bien était-ce un jour sans soleil ?''
               
ShuiLong Zhang
 
''La vie est un rouage lent et grinçant. Il ne tourne que dans un sens. Celui où tu tombes.''
               
Camelle Elwhang
 
''Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Feleth pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !''
               
Edouard Neuman
 
''Le temps est la gangrène de l'homme, elle apparait puis vous ronge à petit feu. Pour finir il ne vous reste plus que le présent pour vivre ; le passé s'évapore peu à peu et le futur ne vous intéresse guère.''
               
Asgeïr Aslak
 
''Cueillir la fleur de la déchéance et croquer dans la pomme de la faucheuse, nos vies se résument à cela car après tout, nous finissons à une moment où un autre, tous sous terre.''
               
Violette Dellylas
 
''Le pire n'est pas de mourir, mais de se faire oublier.''
               
Erwan Daermon Do'Layde
 
''Tenter d'oublier, même si c'était impossible. Il aurait aimé se jeter à la mer avec la preuve de son acte immonde. Laver tout ce sang qu'il sentait sur lui. Peut-être même s'y noyer, simplement. Sombrer dans les abysses et les ténèbres, pour toujours.''
               
Mio Raeth
 
''La lumière montre l'ombre et la vérité le mystère.''
               
Aeli Seoriria
 
''Si la vie n'a qu'un temps, le souvenir n'a qu'une mesure. Le reste est silence.''
               
Valt Horn
 
''Dans le noir le plus complet, l'aveugle est la meilleure personne à suivre. Dans un monde de folie, qui mieux qu'un fou pour nous guider ?''
               
Ledha Borolev
 
''Je ne crois pas en la force d'un absent. Celle qui ferait de vos dieux ce que vous pensez qu'ils sont.''
               
Gigantus Corne
 
''Une limite qui n'a été créée que pour être dépassée ? C'est simple, imaginez !''
               
Goudwin Didrago
 
''Voir grouiller tous ces gens, connaître leurs désirs et leurs rêves, voir comment évoluent les sociétés, leurs aspirations et leurs défauts. Comprendre que donc rien n'est éternel, et que tous ces rêves et toutes ces folies disparaîtront de la surface du monde. Se laisser aller, indolent, parce que tout cela ne servira à rien, et qu'au bout du compte le monde reste le monde, seule éternité immuable.''
               
Uridan Sangried
 
''L'Inquisition vous remettra sur le droit chemin. Même s'il faut vous briser les jambes pour ça.''
               
Leevo Shellhorn
 
''N'oublie pas d'avoir peur des morts. Ils sont toujours plus nombreux que les vivants, et un jour, tu les rejoindras.''
               
Moira Brawl
 
''J'avais l'habitude avec ce genre d'individus... Moins vous bougerez, moins vous leur parlerez... et moins ils vous cogneront dessus.''
               
Aoi Haandar
 
''Je souhaite voir votre sang se répandre mollement à la surface d'une eau rendue trouble par les masses de cadavres vidés de leur substance, marcher dans les champs de vos ossements éparpillés, me remémorant à chaque pas votre mort absurde et pathétique, que vos noms ne soient pas contés, que votre souvenir s'éteigne comme s'éteint votre vie fade et misérable, qu'à travers les années, seuls subsistent vos ossements tels de tristes traces blanchâtres dans un paysage noir de guerre, de sang et de folie.
Et que telles cette phrase, vos morts n'aient aucune importance, aucune signification pour quiconque.''
               
Nargheil Eoss
 
''Bénie soit la haine que tu porteras à ton prochain, lave l'Homme des péchés qu'il a commis.
Sois l'épée du jugement qui s'abattra sur cette race impure, souillée par la vengeance et la corruption.''
               
Meiro Fuuchiuse
 
''Notre futur exprime nos actes passés.''
               
Terence Ripper
 
''Rencontre les ténèbres et tu admireras la lumière, dit le voyant.
Contemple la lumière et tu provoqueras les ténèbres, dit l'aveugle.''
               
Tekian Varis
 
''Un général courageux et fier, est celui qui exécute en premier l'ordre qu'il donne à ses hommes.''
               
Danarius Kyrarion
 
''L'art est le sentiment obscur de l'appropriation de l'étrange.''
               
Leroi-Gourhan
 
''La mort nous sourit à tous, et tout ce que nous pouvons faire, c'est lui sourire en retour.''
               
Marc-Aurèle
 
''L'art est la mystérieuse présence en nous, de ce qui devrait appartenir à la mort.''
               
Malraux
 
''L'art est une profondeur creusée dans le visage du monde.''
               
Weischedel
 
''Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?''
               
Schopenhauer
 
''Les avocats d'un malfaiteur sont rarement assez artistes pour tourner à l'avantage de leur client la belle horreur de son acte.''
               
Nietzsche
 
''Ôte-toi de mon soleil.''
               
Diogène le cynique
 
''Il y a pas d’œuvre d'art sans collaboration du démon.''
               
André Gide
 
''Ce n'est pas le lieu mais son cœur qu'on habite.''
               
John Milton
 
''Nous sommes les histoires que nous vivons.''
               
Auteur inconnu
 
''La mort est terrible pour n'importe qui. Bons ou mauvais, anges ou démons, c'est la même chose. La mort est impartiale. Il n'y a pas de mort particulièrement horrible. C'est pourquoi la mort est effrayante. Les actes, l'âge, la personnalité, la richesse, la beauté... Tout ça n'a aucun sens face à la mort.''
               
Fuyumi Ono
 
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 Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV: Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers)

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Aoi Haandar

l'Alouette aux ailes brisées

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Aoi Haandar
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Race : Séraphin aux ailes coupées
Classe : Guérisseur
Métier : Esclave fugitif, chanteur de rue
Croyances : Divinités de la Pluie et de l'Air
Groupe : Solitaire

Âge : 26 ans physiquement (une cinquantaine d'année en vérité)

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Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV:  Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers) - Page 1 _
MessageSujet: Re: Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV: Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers)   Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV:  Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers) - Page 1 EmptyLun 13 Juin 2011 - 10:23

Alors que j'avais réussi à me trainer jusqu'à la porte de la chambre, je me précipitais dans les escaliers. Manque de chance pour moi, ils étaient vieux et quelques clous dépassaient de-ci de-là. Un des anneaux de mes chaines s'accrocha à l'un de ces bouts de métal et je descendis le reste des marches sur mon arrière train, m'affalant lamentablement au sol, sur le palier. J'entendis alors les bruits de pas de mon "maitre" qui descendait l'escalier tandis que le poivrot de tout à l'heure s'éveillait peu à peu, s'éloignant du monde de l'ivresse pour revenir à la réalité. Il éclata de rire et regarda l'elfe:

- Hey beauté ! C'est pas ton esclave qui s'est cassé la figure ??


La "beauté" lui sourit aimablement, mais on pouvait décelé le sarcasme dans ses paroles.

- Vous avez tout a fait raison Messire, merci de votre perspicacité.

L'homme ivre afficha un large sourire, ayant repéré une occasion de profiter un peu de cette jeune créature.

- J'espère avoir le droit à une récompense après t'avoir rendu ce service.


- Laissez moi le ramener là haut. Puis je vous demander votre numéro de
chambre, pour que jevienne vous rendre visite et vous remettre votre
récompense ?


Il sauta sur l'occasion et mentionna rapidement son chiffre. J'étais dégouté par sa réaction. N'avait-il donc aucune fierté pour se vendre ainsi à un inconnu pour le simple fait que ce dernier lui avait fait une remarque, qui, avouons le, coulait de soi? Le jeune prostitué l'en remercia et vint m'aider à me relever; je me débattais alors qu'il avait saisit mes épaules pour m'aider à me relever. Il en sembla surpris mais je me trainais jusqu'à une table qui me servis d'appuis afin de me relever par mes propres moyens. Que croyait-il? Que j'allais le laisser profiter de la situation de la sorte? Il se trompait lourdement. Il voulut m'aider à monter les marches mais je lui envoyais un coup de coude dans le flanc droit.

- Ne me touchez pas! Vous n'êtes pas mieux que les autres!


Sur ce, je me dirigeais vers la sortie afin d'aller vers les écuries. Le pervers ne chercha pas à me suivre et le buveur sembla étonné de sa réaction. Après tout il avait dit que j'étais un esclave non? Le sien qui plus est. Et il me laissait filer ainsi? Enfin, il n'eut pas l'air de trop s'en faire: après tout il allait avoir ce qu'il voulait. Une fois dehors sans trop de problèmes, je me dirigeais vers l'étable. Avec un peu de chance il y aurait un marteau là bas et je pourrais peut-être briser mes fers?

Une fois devant le vieux préau de bois et de pierres assez usées, je me mis en quête de cet ustensile indispensable à ma fuite, tout en prenant garde de ne pas réveiller les chevaux ou d'énerver ceux qui étaient encore réveillés. C'est que c'était nerveux ces bêtes là et je n'avais pas la moindre envie de devoir en découdre avec eux.

J'allais jeter un œil prêt du matériel laisser dans un coin. Il y avait des selles de cuirs, allant du cuir vraiment médiocre à celui qui pourrait couter le prix d'une petite ferme, provenant chacun de diverses bestiaux, parfois extrêmement rares. Je fouillais dans une caisse en bois: des fers à cheval étaient entreposés dedans, apparemment fêlés, fendus ou même cassés en deux parties. Ce n'est pas là que je trouverais un marteau et ou un burin, c'était certain. Je remarquais alors quelques outils crasseux aux murs: une grande cisaille, une pince à métaux rudimentaires et un marteau énorme.

Il était clair et net que je n'arriverais jamais à porte ce marteau. C'était bon pour les forgerons ou les maréchales-ferrant! Je me rabattais alors sur la pince. M'asseyant sur la paille défraichie, je coinçais l'un des anneaux de la chaine qui reliait mes poignets entre les mâchoires d'acier de la tenaille. Je mis alors toutes mes forces afin de la briser. Mais rien n'y fit, je ne pus faire qu'un petite égratignure dans le métal.

Résigné, j'attrapais tant bien que mal le lourd marteau et posais mes chaines sur l'enclume. Sans vraiment chercher midi à quatorze heures, j'abattis la masse sur mes entraves. Plusieurs fois. Et enfin, après six essais, elles cédèrent. J'affichais un magnifique sourire. J'y étais arrivé ! Je m'acharnais alors sur mes fers aux pieds, brisant la chaine également. J'étais enfin libre - à nouveau. Mais, moi qui était déjà épuisé, n'avait presque plus la force de me relever. Je cherchais dans mes poches, histoire de voir si ma petite gourde était encore là. C'était une minuscule fiole de fer dans laquelle je cachais une sorte d'infusion capable de me redonner un peu d'énergie. Après l'avoir avalée, j'attendis qu'elle fasse effet, m'assoupissant un moment.

Lorsque que je me réveillais quelques dizaines de minutes plus tard, je m'étirais, soignait quelques bleus que j'avais sur les genoux, dus à ma chute dans les escaliers et époussetais mes vêtements. J'aurais voulu récupérer ma sacoche mais je l'avais perdue en chemin, à cause de tout ce chambardement. Enfin, je trouverais bien un villageois qui voudrait bien me donner du travail dans ses cultures. Je réajustais ma cape avant de glisser les restant de chaines dans mes bottes, pour ne pas qu'on les voit.

Je sortis de l'écurie et repris ma route, m'éloignant le plus loin possible de cette auberge de malheur. Pourquoi toutes les auberges étaient-elles donc truffées d'inconnus mal intentionnés? Non pas que l'elfe était très vilain mais m'embrasser de la sorte, ce n'était non plus très commun. Encore un pervers qui pensait pouvoir profiter de moi. Esclave ou pas, je n'ai de comptes à rendre à personne et suis seul maitre de mon destin !

Mais à peine fis-je quelques mêtres sur le sentier que je m'aperçus de quelque chose: je n'irais pas bien loin sans or et sans équipement. Que faire alors? Continuer? Non, c'était du suicide! Je me résignais à rentrer à l'auberge afin d'aller m'excuser auprès de cet énergumène d'elfe. Avec un peu de chance, il me paierait la nuit et quelque chose à manger. Je pris donc le chemin de la taverne. Une fois arrivé, je posais un genoux au sol, devant l'homme.

- ... Excusez moi de m'être enfuis tout à l'heure...

Il me regarda, étonné. Je rougis de honte. Qu'est-ce que je faisais?! Il sourit et me tendit son pied. Dégouté, je le saisis et déposait un baiser dessus, comme un bon esclave le ferait. Il sembla satisfiait et attrapa mes chaines brisées afin de m'inciter à me relever. Je m'éxecutais. Autant jouer le jeu. Il fronça les sourcils:

- Tu as brisé tes chaines?

Je fixais le sol, honteux. Sans crier gare, il me hissa par les hanches et me posa sur une table, entourant ma taille d'un de ses bras tandis que de l'autre, il m'attrapa le menton. Je fle regardais, étonné. Il me lança un petit clin d'oeil. Je grimaçais. Ca voulait dire que je devais tenir mon rôle? Il redressa mon menton avant de m'embrasser. Je grommellais mais me laissait faire. Puis il attrapa mes poignets et commença à descendre dans mon cou. Je frissonnais de dégout. Yerk

- Je vais devoir te punir, tu le sais non? Hmm?

- ... Oui Maitre..


Dernière édition par Aoi Haandar le Lun 13 Juin 2011 - 19:47, édité 1 fois
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Aerandir Ashna



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Aerandir Ashna
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Race : Elfe [Tigre Blanc]
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Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV:  Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers) - Page 1 _
MessageSujet: Re: Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV: Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers)   Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV:  Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers) - Page 1 EmptyLun 13 Juin 2011 - 15:01

    Je jouais le jeu et pris le numéro de chambre de l'homme avant de ramener l'esclave dans ma propre chambre. Cependant, il ne semblait pas coopérer alors que je ne voulais que m'excuser pour tout à l'heure.
    Il descendit de nouveau les escaliers et je ne me pressais pas pour le rejoindre, ce qui étonna l'homme qui, apparemment, m'avais attendu. Nous regardâmes donc l'esclave partir tandis que je soupirais de résignation : j'avais sûrement été un peu trop dur avec lui mais je n'avais appris que cette façon de me comporter.
    L'homme en profita donc pour s'approcher et me prendre par la taille. Je ne résistais pas puisque c'était une habitude. Il me murmura :

    « C'est étrange pour un Maitre de ne pas s'intéresser à son esclave »
    « Je débute dans le métier Messire. Je pense donc avoir droit à l'erreur du débutant »
    « D'un coté, je suis ravi qu'il soit parti. Cela nous laisse le temps de commencer notre affaire, tu ne crois pas ? »

    Sa bouche commença à s'attaquer à mon cou et mon corps réagit – sûrement l'habitude de ce genre d'attouchement -, cependant, je ne disais rien, je faisais taire ma voix. Je rejetais pourtant ma tête en arrière en fermant les yeux, tandis qu'il se pressait encore plus contre moi.
    Je reculais mais j'étais vite acculé à un mur. Cependant, je ne me démontais pas : ce genre d'impasse ne me faisais pas peur, ce qui étonna l'homme qui me demanda :

    « Tu n'as pas l'air d'être surpris »
    « Aurais je oublié de vous préciser qu'il s'agit de mon métier, Messire ? »

    J'eus un petit sourire aguicheur avant de le laisser s'attaquer, une nouvelle fois, à mon cou. Cependant, quelque chose clochait : la pluie continuait de tomber dehors mais j'entendis quelque chose d'autre, comme des pas qui revenaient.
    Ces pas étaient accompagnés de bruit de fers, comme si la personne portait des chaines. Je me mis donc à sourire : finalement il était revenu. Je l'entendis pousser la porte de l'auberge, tandis que l'homme était entrain d'enlever ma chemise, préalablement déboutonnée : il n'avait donc rien eu à faire, je lui avais déjà mâché le travail.
    Grommelant, il grogna :

    « Il semblerait que le gêneur soit de retour »
    « Finalement, je crois que la chance du débutant m'a souris »
    « J'imagine que je n'aurais pas le droit à ma récompense aujourd'hui ? »

    Je me mis à rire alors qu'il grognait. Une fois qu'il me lâcha – non sans m'avoir administré une petite claque sur les fesses, qui me fis légèrement sursauté – je me dirigeais vers le jeune esclave qui s'était agenouillé devant moi en signe d'excuse.
    J'eus un sourire compatissant avant de me mettre dans mon rôle :

    Citation :
    « Excusez moi de m'être enfui tout à l'heure... »

    Jouant le jeu, je lui présentais mon pied qu'il embrassa de mauvaise grâce. Je pouvais sentir le dégoût que lui procurais ce geste, mais il fallait que j'ai l'air convaincant, surtout que l'homme nous observaient toujours.
    Je le regardais donc toujours en constatant qu'il avait réussit à briser ses chaines : sans doute était il allé dans les écuries. Je le lui fis alors remarqué, sur un ton mielleux, voire pervers, mais il fallait que je sois au maximum dans mon rôle :

    « Je vois que tu as réussis à briser tes chaines »

    Sans crier gare, je le pris par les hanches et le déposais sur une table avant de m'approcher de lui, sous le regard intéressé de l'homme qui ne croyait toujours pas qu'un Prostitué pouvait posséder un Esclave. J'eus un sourire : j'allais lui prouver le contraire.
    Donc, je m'emparais de ses poignets avant de mettre une main autour de sa taille et de le rapprocher de mon corps. Puis, j'embrassais un instant sa bouche, avant de m'attaquer à son cou en murmurant, d'un ton pervers :

    « Je suppose que tu es au courant de la suite des événements ? Je suppose que tu sais quelle sera ta punition ? »

    Citation :
    « Oui....Maitre.... »

    Je le pris donc par les poignets et remonta à l'étage, laissant l'homme étonné et impressionné, en bas. Une fois que nous étions arrivés dans la chambre, je le déposais sur le lit et allais m'assoir sur une chaise, à une distance raisonnable de lui : je ne voulais pas risquer de faire un geste déplacé surtout qu'à la base, j'étais là pour l'aider....
    Après un instant de silence pesant, une seule phrase sortie de ma bouche, murmurée :

    « Je suis réellement désolé... »

    Après, ce sera à lui de décider s'il me croit ou pas
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Une soirée cauchemardesque? Pas tant que ça. [PV: Aerandir Ashna](Un peu oléolé vu les métiers)

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