* * *
Personnage

Nom : O'Connor

Prénom : Annalyne

Rang : Invocatrice

Âge : 22

Sexe : Féminin

Race : Humaine

Classe : Invocatrice

Métier : Spectacle de rue

Croyances : /

Groupe : Solitaires


Équipement :

Annalyne n'a pas l'âme d'une combattante. Au mieux, elle invoquerait une créature, un animal pour l'aider ou préférerait la fuite. Au pire des cas, elle possède une dague qu'elle n'a jusqu'alors jamais eu à utiliser et qu'elle souhaiterait ne jamais avoir à dégainer.


Talents de combat :

Mis à part sa souplesse et son agilité qui pourraient peut-être lui venir en aide lors d'un combat, Annalyne n'a pas réellement de talents dans ce domaine, tout simplement parce qu'elle préférera éviter toute rixe, comme elle l'a toujours fait.


Talents de magie :

La demoiselle a hérité d’un don d'invocatrice par sa mère. Mais Miss O'Connor n'a pas encore exploité ses nouvelles capacités, celles-ci lui étant arrivées tardivement, comparé à d'autres qui les ont eues dès leur plus jeune âge. Elle évite donc de les utiliser car ne sait pas encore les contrôler. Au jour d’aujourd’hui, on pourrait l’appeler Miss Catastrophe. Ne sachant pas utiliser ses dons correctement, elle serait capable d’invoquer un éléphant à la place d’un chien.


Talents divers :

La jeune femme est très souple, agile et très habile de ses doigts. Ses talents ? La danse, le chant, le spectacle. Elle aime aussi se poser dans un coin pour dessiner ce qu'elle voit, passants, paysages... Cela compense avec ses autres maladresses.


Pouvoirs particuliers :

Son père, quant à lui, a légué à sa fille des dons de télékinésie. Qu'elle évite aussi d'utiliser, incapable de les contrôler. Ses dons sortent encore parfois contre son gré, souvent en proie à de forts sentiments, colère, tristesse…


Apparence physique :

Annalyne est une jolie femme, très simple. Elle possède de longs cheveux noirs qu’elle garde lâchés la plupart du temps. La jeune femme possède un regard pénétrant, qui parle énormément. Généralement, les gens n’ont pas beaucoup de mal à comprendre ce qui lui passe par la tête, une femme très expressive qui n’a pas forcément besoin de parler pour se faire comprendre. Sa garde-robe est assez vaste, de la robe au pantalon, des corsets, des chemises… Cela dépendra surtout de son humeur mais cela la mettra toujours à son avantage car au vue de son métier, il faut qu’elle soit agréable à regarder si elle veut capter l’attention.


Caractère, personnalité :

Le trait le plus prononcé dans le caractère d’Annalyne : sa gentillesse. C’est une femme qui aime son prochain et qui l’aidera si elle en a l’occasion, quitte à donner ses gains fraîchement gagnés à quelqu’un dans le besoin, sans rien attendre en retour. Elle aime la compagnie des enfants et bien sûr les animaux, tout particulièrement Elliot, le cheval qui l’accompagne. Annalyne est une femme très émotive qui peut parfois se laisser submerger par ses émotions. C’est aussi une touche-à-tout, très curieuse de nature. Quand elle ne travaille pas, la jeune femme se trouvera un petit coin de paradis pour se laisser aller à sa deuxième passion : le dessin.


Histoire :


Stokes. Un petit village au sommet d’une colline. Des fermes, une taverne, des chambres d’hôtes et quelques petits commerces pour une petite trentaine d’habitation. L’endroit où Annalyne passa toute son enfance. Eloigné de tout. Un petit coin paisible où elle s’aimait à aider ses parents à la ferme et assista à la naissance de son compagnon de route, un magnifique cheval tâché de blanc et de noir, Elliot.


Annalyne O’Connor. Ses parents étaient de simples fermiers. Tout le monde les aimait ; ils aidaient beaucoup au village. Leur lait était très apprécié. La petite O’Connor était choyée. Elle passait son temps à chanter et danser. C’était tellement naturel chez elle.


La vie à Stokes avait toujours été calme et sans histoire. Jusqu’au jour où un groupe d’hommes
pointa le bout de son nez au village. Il y avait beaucoup de fêtes dans ce petit village. Tout était propice à festoyer. Les étrangers venaient donc régulièrement. Mais ceux-là n’étaient pas comme les précédents : antipathiques, violents. Au départ, ils n’étaient que quatre. Puis la nuit suivante, ils étaient une dizaine. Les habitants ne les aimaient pas, ils cherchaient les histoires, se battaient à la taverne… Puis on ne les revus plus. Près d’un mois dans la tranquillité.


Mais ils étaient revenus, demandant aux fermiers leurs récoltes, menaçant, s’en prenant aux femmes de la taverne. Mais les habitants de Stokes ne comptaient pas se laisser faire comme çà. Qui étaient-ils pour oser venir bousculer cette tranquillité qui leur était propre ? Alors un soir, alors que ces brigands revenaient à la charge, les villageois s’étaient réunis pour les accueillir comme ils se devaient. Ce soir-là, le sang ne coula pas. Les étrangers s’en allèrent en les menaçant de revenir.


La tension animait maintenant le village. Ces hommes avaient eu un fort impact au village, qui se préparait à une nouvelle vague. Et ceci ne rata pas. Par une nuit paisible, pendant que tout le monde dormait, les brigands étaient revenus. Mais ils ne comptaient pas laisser Stokes s’en sortir comme çà… Ils créèrent plusieurs foyers de feu. Le village s’éclaira de mille feux, les bêtes se mirent à paniquer, les maisons à brûler.


Ce soir-là, il y eu beaucoup de morts. Dont les parents d’Annalyne. La jeune femme ne s’en serait pas sortie vivante si son voisin, le vieux Cain, n’était pas venu la chercher. Il était trop tard pour ses parents… A eux deux, ils avaient réussi à libérer une partie des chevaux et à sauver les enfants de Dame Dorothy. Il n’était plus qu’une dizaine maintenant, à regarder les flammes consumer le village.


C’est après cette tragédie qu’Annalyne décida de prendre la route. Elle n’avait plus aucune raison de rester ici. Après avoir retrouvé Elliot en bas de la colline, elle commença son périple de ville en ville, tirant une petite remorque dans laquelle étaient ses affaires qu’elle réunit au fil de ses voyages. La jeune femme gagnait sa vie en dansant et chantant pour les autres, parfois en vendant quelques uns de ses dessins. Et elle découvrit petit à petit qu’elle avait hérité du don d’invocatrice qu’avait sa mère, et de celui de télékinésie qu’elle tenait de son père, sans doute les avait-elle hérités à leur mort. Elle avait alors 18 ans.



En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ?

Je passerais tous les jours. Pour répondre, çà dépendra, plus facilement le week-end.


Comment avez-vous découvert le forum ?

Par un ami (Elden Blake).

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ?

Très très beau visuellement parlant. J'aime les tons, les différentes bannières, les boutons dessous, l'intro... Très attractif.



Test-RP


Ma première fois. Un cauchemar. Je m’en souviens comme si c’était hier.


Je venais de perdre mes parents. J’étais en proie à une tristesse sans nom. Des rivières ruisselaient dans mes yeux, rougis par le chagrin.


Je me trouvais dans une petite clairière. Elliot et moi venions de quitter Stokes. Nous avions parcouru je ne sais combien de kilomètres. J’étais bien trop préoccupée pour me soucier de cela. Je ne sais pas où nous allions, mais nous y allions. Je nous avais trouvé ce petit coin car je sentais que mon pauvre animal à crinière en avait assez de marcher. La pauvre bête tirait une petite remorque en bois, vide. Il n’y avait dessus que ce que le vieux Cain m’avait donné avant de prendre la route : quelques rations, de l’eau, une couverture et de quoi nourrir mon cheval.


Il faisait froid ce soir-là. J’étais emmitouflée dans cette modeste couverture pendant qu’Elliot se rassasiait. Je le regardais faire sans un mot. Enfin. J’avais le regard vide en réalité, je ne le regardais pas vraiment. Je n’arrêtais pas de penser à mes parents, à mon village que ces fous furieux avaient brûlé sans sommation. Ces hommes… Je me souviens leur visage, du moins celui de ceux qui traînaient au village. L’un d’eux avait le visage brûlé en partie. Quelle ironie. La colère se mélangeait maintenant à la tristesse.


J’éternuais. Il faisait vraiment froid. Je remontais encore un peu la couverture. J’éternuais à nouveau. C’est là qu’il se passa quelque chose, disons, d’inhabituel. La remorque se déplaça d’une dizaine de centimètres. Le cheval n’était pas à côté. Je me levais et allais voir. Personne, aucune raison pour que cette carriole se mette à bouger. Je retournais m’assoir et réfléchis. Tout se mélangeait dans ma tête, je bouillonnais, avais l’impression que j’allais exploser. Je revoyais à nouveau son visage. Cela bougea à nouveau, sur un bon mètre cette fois-ci, me faisant sursauter. Cela me rappela mon père. Parfois, son don de télékinésie s’exerçait contre sa volonté. Son don de télékinésie ?


* Mais je n’ai jamais eu ces dons… *


Et sans savoir pourquoi, je voulus essayer. Je regardais autour de moi et trouvais une petite pierre, me concentrais sur elle dans l’espoir de la faire bouger. Sans succès.


- Tu es bien stupide ma fille…


La pierre se souleva pour aller s’écraser un peu plus loin.


- …


Avais-je vraiment fait çà ? Pour en avoir le cœur net, je décidais de retenter l’expérience. Je choisis une pierre un peu plus grosse. Celle-ci se souleva pour venir s’écraser sur mon pied. Je poussais un cri de surprise. Ainsi donc j’en étais capable aussi ? Pourquoi maintenant ? Par le passé, je n’avais jamais réussi ce genre de prouesses… Et si c’était lié à la mort de mon père ? Et si j’avais hérité de son don à ce moment-là ? Cela voudrait-il dire que j’avais aussi pu hériter de celui de ma mère ? Ma mère, elle, savait invoquer des animaux. Cela l’avait beaucoup aidée dans son travail à la ferme d’ailleurs.

Il fallait que j’en aie le cœur net. Je me rassis alors, fermais les yeux et pensais très fort à un chat. Je le visualisais. Un joli petit chat. Je restais ainsi quelques minutes et finis par rouvrir les yeux. Au départ, il ne se passa rien. Puis lentement, une sorte de petit nuage se forma sous mes yeux, tourbillonnant sur lui-même. C’était comme çà que ma mère faisait apparaître ceux qu’elle appelait ! J’avais réussi !!! Enfin, pas tout à fait ! Alors que je m’attendais à voir un petit chaton apparaître devant moi, je me retrouvais face à un loup, agressif de surcroît.


Ce soir-là, je m’en sortis uniquement parce que l’apparition disparut presque aussi vite qu’elle n’était apparue.





* * *

Merci !!

Ok çà marche

Je fais les changements en question (je ne compte pas faire de grandes choses de ces caractéristiques-là, je ne vais pas jouer mon perso sur ses pouvoirs vu qu'elle ne veut pas les utiliser, je m'en amuserais juste de temps en temps).

Edit : corrections faites :)