Nom : Theirin
Prénom : Hector
Rang : Voleur au grand coeur

Âge :23 ans
Sexe :Homme

Race :Humain
Classe :Roublard, Voleur
Métier : Criminel, Voleur, en somme tout ce qui est illégal et qui rapporte
Croyances : Athé
Groupe : Confrérie des Ombres

Équipement : Dague simple facilement dissimulable, vêtements usés par le temps et l'usage, cape avec capuche de couleur marron sombre, chevalière volée (simple "souvenir"), bottes marrons usées, en bref l'attirail d'un homme pas très riche et vivant au jour le jour
Talents de combat physique : Moyens. En tant qu'habitant des rues, Hector sait plus ou moins se défendre mais à part dans des bagarres d'ivrogne et à coups de couteau dans le dos, il n'a jamais reçu de formation quelconque aux armes. De par son métier, il préfère adopter un style de combat axé sur la discrétion et l'évitement des ennuis, la meilleure façon de gagner un conflit, c'est de l'éviter.
Talents de magie : Aucun, Hector n'a jamais développé un talent magique quelconque, ce qui n'est pas plus mal, il a déjà suffisamment d'ennuis et de préoccupations sans en plus devoir craindre de se faire lyncher par le bas-peuple parce qu'il est sorcier.
Talents divers : Voleur hors-pair, il sait crocheter les serrures sans trop de soucis. Il sait aussi quand il faut s'écraser et se faire tout petit.
Pouvoirs particuliers : Capacité à se mêler à la foule, à se cacher et à ne pas se faire remarquer. Dans le métier, seuls les meilleurs peuvent espérer faire long feu, et s'il n'est pas le meilleur, il est suffisamment doué pour avoir appris les mérites de la discrétion. Outre cela, il dispose d'une bonne compétence en rhétorique. Bien sûr, ne lui demandez pas de soutenir une discussion philosophique avec un érudit, mais il sait s'exprimer avec assez d'éloquence.

Apparence physique : Relativement grand, 1m80 a peu près, il a un visage assez agréable, bien que banal en soi. Une barbe de trois jours est la seule partie visible de son visage constamment caché sous sa capuche, ainsi que le nez aquilin. Les rares fois ou il enlève sa capuche, on peut voir ses yeux vairons, l'un vert, l'autre bleu, ainsi que des cheveux mi-longs attachés en queue de cheval. Sa démarche est celle d'un chat, léger et toujours alerte, il ne relâche que rarement sa vigilance. Une ceinture attachée autour de la taille lui permet de ranger un peu de matériel quelconque grâce aux nombreuses petites ceintures accrochées. Une mince cicatrice traverse sa peau, du dessus du sourcil droit a la joue droite.

Caractère, personnalité : Hector est quelqu'un de paradoxal. Il est en général assez renfermé, ne voyant pas spécialement l'intérêt de parler avec autrui et pourtant n'hésite pas à entamer la conversation lorsqu'il juge son interlocuteur intéressant. De même, il est très solitaire mais ne dédaigne jamais un compagnon de beuverie ou une plaisante compagnie. Il a une vision plutôt sombre du monde qui l'entoure, ce qui ne l'empêche pas d'être d'une insolence notoire. Il est cynique et ne s'intéresse absolument pas aux évènements importants du monde. La Rébellion? Une bande de voyous qui se donnent des airs de justiciers intéressés seulement par le bien commun? Le Roi? Un fou et un imbécile riche et se croyant tout permis, pas différent des nobles habituels en somme. Qu'importe les factions diverses qui se battent constamment les unes les autres, qu'importe même le fait de voler, il faut bien manger, et personne ne viendra l'aider, il faut donc savoir se débrouiller seul. Dans ce monde, survivre c'est comprendre qu'il faut faire des choses peu reluisantes.

Histoire : La famille Theirin était une famille comme les autres, des parents fermiers, une grande soeur qui aidait et la vie au quotidien dure mais pas cauchemardesque. Jusque-là rien de bien passionnant me direz-vous. En effet, mais le problème c'est que rien ne se passe jamais comme on le voudrait dans la vie. Le gamin Hector aurait bien aimé rester un fils de fermiers et avoir sa petite vie minable en paix, sauf que le destin, la malchance, la vie,appelez ça comme vous voulez, en a décidé autrement. Jusqu'à ses 8 ans, le gamin vécut normalement. Et puis un jour, deux hommes étranges sont arrivés et ont parlé longuement avec Papa et Maman. Ils sont repartis ensuite avec de la nourriture et on n'en a plus jamais entendu parler. Ceci ne semblait guère important, Papa et Maman donnaient de la nourriture de temps en temps aux passants en échange d'un peu d'argent, mais seulement quand il y en avait en trop, les besoins des enfants passant avant le reste. Quelques jours après toutefois, d'autres gens sont arrivés, une dizaine environ.

Tout de suite, Papa et Maman ont réagi bizarrement, terrifiés qu'ils étaient, ils ont ordonné à Hector et sa soeur de se cacher et de ne pas se montrer tant que les visiteurs ne seraient pas partis. Bien leur en prit, car malheureusement, les visiteurs étaient des bandits, lesquels aiment bien piller chez les pauvres gens, et cachés sous le plancher de la salle à manger, les pauvres petits entendirent et virent tout, les bandits volèrent le peu qu'il y avait voler, nourriture, peaux et argent. Quand on a 8 ans, on n'a pas trop envie d'entendre ce genre de choses, et on a encore moins envie de voir les hommes égorger Papa et... disons faire des choses pas très saines à Maman avant de la laisser pour morte. Finalement, longtemps après le départ des bandits, les deux enfants décident de fuir, la ferme n'étant pas loin de la capitale, Madorass, ils emportent le peu que possède les parents et fuient. Le petit Hector ne cesse de pleurer durant le voyage, ne comprenant pas pourquoi les parents ne viennent pas avec eux, tandis que la grande soeur, qui a seulement 15 ans, se retrouve forcée de prendre soin d'un gosse dans un monde dangereux et impitoyable.

On retrouve le petit duo 5 ans plus tard. La grande soeur est devenue ce qu'on appelle une vendeuse de charmes dans le jargon tandis qu'Hector, maintenant âgé de 13 ans, est devenu un tire-laines, un pickpocket plutôt doué d'ailleurs. Ils ont un taudis pouilleux dans les quartiers pauvres et la vie est aussi belle pour eux que pour celle des gens dans leur situation. Autrement dit la vie est moche. Cette partie de leur vie n'a de notable que le fait qu'ils se livrent à des actes illégaux et immoraux afin de survivre tant bien que mal. La soeurette continue de vendre ses charmes comme elle dit à son frère tandis que lui, s'attirant des ennuis de toute sorte, devient un "employé" de la Confrérie des Ombres, bien qu'il n'en sache à l'époque rien du tout.

Les 10 années qui suivent passent lentement pour le jeune garçon, sa soeur continue son job peu ragoûtant tandis que lui rembourse finalement la dette qu'il a envers la Confrérie, parvenant même à devenir un aspirant de la guilde, a cette occasion il gagne plus d'argent et mange donc un peu mieux. Un peu. Aux yeux de la Confrérie, ces longues années passées à travailler pour eux ont effacé la dette qu'il avait envers eux, il peut donc prétendre à vouloir rejoindre leurs rangs s'il le désire. Bien que peu intéressé au début, il finit par songer que sa misérable existence s'arrangerait peut-être s'il s'enrôlait dans la Confrérie. Aussi décide-t-il d'accepter l'offre que lui fait un indic de la Confrérie, accédant ainsi au poste d'aspirant, c'est à ce moment-là qu'il en découvre l'existence et qu'il comprend pourquoi il faisait des jobs aussi peu reluisants depuis de nombreuses années.

A préciser, les relations entre le frère et la soeur n'ont jamais été au beau fixe avant leur fuite de la ferme familiale, et disons que l'arrivée à la capitale et leur nouveau travail n'a pas arrangé les choses. Pour un peu, on pourrait croire que c'est chacun pour soi, elle ne supportant pas la vie qu'elle a maintenant et ce qu'elle doit faire pour survivre, lui n'appréciant guère d'apprendre qu'il est l'oncle de deux bâtards. Ah ça, on peut dire que la vie ne l'a pas gâté notre Hector. Mais à présent qu'il est aspirant de la Confrérie, il sait qu'il tient sa chance d'avoir une vie meilleure, qui sait, peut-être gagnera-t-il assez pour mettre sa soeur à l'abri du besoin, si toutefois elle lui demande gentiment de l'aider bien sûr. Peut-être...





A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? Difficile à dire, normalement je serais souvent connecté mais après tout dépend des empêchements imprévus et prévus et de leur durée, je préviendrais si besoin

Comment avez-vous découvert le forum ? recherche de forum rp sur les top forums et celui-là semblait le meilleur

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? Le design est sympa j'aime assez, dans le genre glauque c'est bien trouvé




Dans la rue bondée de gens, un homme richement vêtu se promène sur le marché, jetant des coups d'oeil intéressés ou ennuyés de temps en temps tout autour de lui. Il est seul. Le fou, il ne doit pas connaître suffisamment bien le coin sinon il aurait amené un ou deux gardes. Il ne comprend pas que les hommes de son espèce ne sont ni appréciés ni défendus par le bas peuple ici. Il est déjà trop tard pour lui de toute façon. Gras, barbu et avec pour toute défense une épée qui ressemble fort à une arme d'apparat, il ne devrait pas représenter une difficulté trop grande.

Il serait simple de l'acculer quelque part pour lui faire la peau et lui voler sa bourse, mais il ne fonctionne pas comme ça. Caché dans l'ombre, il lance quelques pièces d'or au gamin qui l'accompagne et le petit fait signe à ses copains. Ils foncent droit sur le gros qui ne se rend compte de rien. Il les observe lui tourner autour et le haranguer a grands cris, l'implorant de leur donner quelques pièces, lui conseillant tel ou tel article sur l'étal qu'il visite. Finalement, l'un d'eux arrive à voler sans trop de mal la bourse qui pend à la ceinture du gros. Furieux, l'homme poursuit les gamins, rapidement à bout de souffle. Alors qu'il approche du coin ou s'est caché le véritable responsable de tout ceci, celui-ci tend le pied. Le gros tombe alors par terre, ressemblant à présent à un cochon habillé mais qui sent très mauvais. L'homme tend une main pour aider le gros à se relever, reçoit un vague "merci" grommelé et finalement repart dans une direction opposée. C'est alors que le noble se rend compte qu'il a perdu sa chevalière, en plus de la bourse que ces merdeux lui ont volé.

Furieux, il fonce se plaindre à des gardes, leur expliquant à cor et à cri ce qui s'est passé, réclamant d'eux qu'ils lui retrouvent son argent ainsi que sa chevalière, laquelle est un souvenir familial de la plus grande importance. La silhouette encapuchonnée est toujours là, loin, elle observe le spectacle sans en perde une miette. Le gamin vient de lui rapporter la bourse, elle est plus légère que dans son souvenir, sans doute les petits se sont-ils servis un peu, mais peu importe, ce qu'il reste va lui permettre de manger pour au moins une semaine, si ce n'est plus. Et en prime, il a une très belle bague qu'il s'empresse de passer sur son doigt. La journée commence très bien aujourd'hui, Hector le sent dans l'air.

Concernant la Confrérie, j'ai lu que les pantins, donc l'échelon le plus bas de la Confrérie, ne sait pas qu'elle existe, ils bossent sans savoir pour qui ils bossent vraiment d'ou le fait que mon personnage n'en sait rien du tout, sauf a partir du moment ou il est aspirant, là il est mis au courant du coup. Disons que dans ma tête, il faut être une larve puis un aspirant, mais si besoin j'étofferais ça aussi ^^

Concernant les Capes Blanches, okay pas de souci je change ça illico :)