Hirlander Stanley

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Nom : Hirlander
Prénom : Stanley
Rang : (Le petit texte écrit entre le pseudo et l'avatar de votre personnage. Ça peut être ce que vous voulez : Surnom, titre, qualificatif...) Faceman

Âge : 27 ans
Sexe : Masculin

Race : Humain
Classe : Arbalétrier tireur d'élite
Métier : Voleur/assassin
Croyances : Le fléau, Stanley créé de petits ou grands désagréments, généralement jugés injuste. Il se doit d’y croire un peu.
Groupe : solitaire

Équipement :
- Des habits du quotidien : généralement composé d’une chemise en lin blanche, un pourpoint en cuir fin noir, des gants de cuirs noirs, une ceinture à boucle d’argent, des braies gris, et des cuissardes noirs.
- Pour l’ornementation ; un chapeau à large bord en feutre noir, avec une plume blanche, une cape à col noir.
- Armement : il consiste en une arbalète de précision avec arc en acier, une arbalète à une main et à double arc, pour pouvoir lancer deux carreaux sans recharger et deux longs poignards attachés à la ceinture.
- Armure : un gilet de buffle en dessous de son pourpoint
- Une besace contenant : les outils de crochetage, quelques victuailles, un jeu d’affaires de rechange, du maquillage noir et un vêtement à capuche noir.

Talents de combat : Un entrainement à l’arbalète durant douze ans a rendu John aussi précis qu’un aigle dans le maniement de l’arbalète qu’elle soit à une ou deux mains. Son métier quelque peu mouvementé l’a obligé à développer une autre manière de tuer et cela par la maitrise ambidextre du poignard.

Talents de magie :
Stanley maitrise l’élément air de la magie, notamment dans la force et la direction d’un courant d’air et lui permet également de camoufler le bruit de ces pas. Il possède une maitrise quelque peu succincte de l’élément pour créer une flamme dans sa main, tout simplement parce que « ça fait toujours craquer les femmes !»

Talents divers : La danse, une capacité à tenir la boisson, à chercher les ennuis et à les trouver et une facilité quelque peu exagérée avec la gente féminine, quel que soit l’espèce. Ce sont les talents divers qui font de Stanley, Stanley.

Pouvoirs particuliers : Aucun

Apparence physique : Un physique de séducteur, c’est ce qui pourrait définir en des termes brefs le physique de Stanley. Pour être plus précis, il fait un mètre quatre-vingt et des poussières, environ soixante-quinze kilos, des épaules carrées et un physique souple et athlétique. Son visage fin et ovale est entouré de cheveux de jais qui lui arrive jusqu’aux épaules et généralement attachés en catogan. Ses sourcils sont bien dessinés et il s’est fait un bouc soigneusement entretenu, qui cache des lèvres fines voire inexistantes. Ses yeux sont d’un noir profond, ce qui rend la limite avec ses pupilles assez flou. Cette petite caractéristique donne à ses yeux, toujours rieurs, une profondeur inquiétante et indissoluble. Son port altier lui donne un air d’élégance qui rend à ses vêtements quelque peu passés, une nouvelle jeunesse.

Caractère, personnalité : Stanley malgré son métier est d’un caractère toujours enjoué et moqueur, sa confiance en lui le rend même parfois puant d’orgueil, c’est sans doute son plus grand défaut. Un défaut qu’il rattrape avec un second degré important et une ironie presque satyrique. Désabusé par ce monde en guerre et par les atrocités qu’il a vu ou lui-même commis, il prend tout à la légère et avec une ironie qui insupporte les âmes bonnes et concernées. C’est un anti héro par excellence et un séducteur charmeur hors pair, un talent qui lui valut quelques mésaventures. C’est d’ailleurs ce trait qui insupporte les hommes et certaines femmes. Malgré cela, la diplomatie reste une voie qu’il conserve quand il ne va pas à la recherche d’ennui. Stanley est donc quelqu’un qui ne cède pas à la colère, mais qui pousse celle des autres à leur paroxysme. Cependant il lui arrive de céder à ce sentiment, mais cela demeure rare, rapide, mais intense. Il possède également une hygiène plus que correct car « la paysanne c’est bien, mais pour les dames du monde, faut être propre et distingué. »

Histoire :
La salle était parsemé d’individu diverse, ils sont de différentes communautés et de différents mondes, certains sont de simple humain, d’autres des elfes, d’autres encore des orcs. Un homme à la stature de ténor et aux cheveux grisonnants monte sur l’estrade. Avec un large mouvement du bras, il déclare :
"-Nous sommes tous ici pour accompagner Stanley dans sa mort ! Comme vous le savez tous Stanley avait ses qualités et ses défauts, mais pour mieux le comprendre et comprendre sa fin, il faut commencer par son histoire. Stanley est né une froide nuit sans lune dans la cité royale Madorass, sa mère ne survécu pas à la terrible épreuve de l’accouchement. C’est son père qui l’éleva, jusqu’à ces sept ans avec l’aide de la tante du petit.
A ces sept ans, le garçon orphelin de mère vit ce vide comblé par l’arrivée d’une belle mère. Cette femme, qui adopta l’enfant comme son propre fils, lui donna tout l’amour maternelle qu’elle put et avec le père de Stanley lui donnèrent la meilleure éducation qu’ils pouvaient. Ainsi l’enfant sortant d’un milieu modeste, prit des cours d’éducation et d’instruction. Quelques années après le mariage de son père avec sa belle mère, celle-ci mit au monde une petite fille. Cet événement fut une grande joie pour Stanley qui se sentait seul. Malheureusement le bébé mourut quelques mois après sa naissance, d’une maladie enfantine incurable.
Cet incident bouleversa à jamais Stanley et ses parents, la mère culpabilisant sur la mort de l’enfant et de son incompétence à le sauver ne put résister et se suicida peu de temps après. Le père n’ayant rien pu faire pour les deux femmes qu’il aimait décida de ne plus jamais retoucher à une femme et traita son fils avec une extrême rigueur. Son père l’initia alors à ses quinze ans au maniement de l’arbalète, une arme qu’il affectionnait particulièrement pour sa stabilité et sa fiabilité. Chaque jour, il entraina son fils pour qu’ils deviennent un courageux officier de la couronne comme l’était son père.
A vingt ans, le père parti en sur un champ de bataille. Il ne revint jamais et Stanley ne retrouva jamais son corps. Se retrouvant sans plus aucune famille sauf une tante vieillissante, Stanley décida de faire son propre chemin et refusa de continuer sa carrière dans l’armée. Seul et sans le sous, il se mit à trainer dans les bas-fonds de Melorass, avec les putains et les truands de bas étage. C’est dans ces tripots mal famés et ces auberges bourrées de vermines qu’il apprit l’art de filouterie et du vol.
Tentant de d’extirper le moindre copeck des énergumènes qui rôdaient dans ce genre d’endroit par le jeux, il lui arriva de frôler la perte d’un membre, généralement précieux pour un homme. La rencontre avec Tobbias Bolgmar lui changea la vie, c’est l’homme qui a fait de Stanley le tueur à gage et le voleur expérimenté qu’il était. Cet homme le prit sous son aile durant un an lui apprit les ficelles du métier, de comment décrocher un contrat à comment le réaliser. Stanley était un apprenti consciencieux et travailleur. Pourtant au fur et à mesure qu’il apprenait et exerçait son futur métier, il devint désabusé. Les contrats qu’il remplissait lui montraient le côté sombre des gens et ce qu’ils étaient à prêt à faire par ambition, cupidité et orgueil. Cela pourtant ne lui a jamais fait quitté la profession, il demeura assassin et filou quand le besoin s’en faisait ressentir. Quand son mentor décida qu’il pouvait passer à l’action en solo, les deux hommes devinrent les meilleurs amis et gardèrent contact jusqu’à la fin.
Côté cœur, Stanley n’a jamais trouvé l’âme sœur et a toujours été un grand séducteur, c’était le cataplasme sur ce monde écoeurant d’après ces propres termes. Ce séducteur invétéré considéré toutes les femmes comme des fleurs à cueillir pour pouvoir en sentir l’odeur et en contempler la beauté. Malheureusement une fleur coupée se fane vite et Stanley repose cette fleur fanée pour en reprendre une autre fraîche. Son ami Tobbias l’avait prévenu sur la dangerosité de cette pratiques, le risque de tomber sur un mauvais cornu ou un père indigné était grand , mais notre ami ne prit pas compte de mon avertissement Le jour de la revanche d’un mari tenant à son honneur finit par arrivé et Stanley se retrouva assassiné à la demande d’un mari jaloux. Voilà comment péri Stanley, en séducteur perpétuel et filou sans vergogne."

En ce qui vous concerne

A quelle fréquence serez-vous présent sur le forum ? assez souvent

Comment avez-vous découvert le forum ? grâce à un top-forum

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de l’apparence du forum ? C’est sympa et l’ambiance un peu glauque rend le forum unique, en quelque sorte.

Test-RP
A la fin de son oraison funèbre, l’homme alla se rasseoir et les yeux rouges et la voix rauque de sanglots invita d’autres que lui à s’exprimer. Personne de se leva, alors toutes les personnes présentent dans la salle se rassemblèrent autour du cercueil du défunt pour se recueillir une dernière fois. Seul un homme au fond en habits de noble, souriant à pleines dents, ne bougea pas. Quand l’assistance s’écarta, l’homme se rapprocha et d’un mouvement de la tête cracha sur le cadavre sous les yeux choqués de l’assistance. Il déclara avec un air narquois : « -On ne me pique pas ma femme, fils de putain !! Ça t’apprendra !! »
Une femme qui était resté dans l’ombre laissa échapper un sanglot. Le froissement de sa longue robe bouffante indiqua son départ, car au bruit de ses lamentations l’homme qui avait craché sur le corps de Stanley s’était retourné et avait laissé échapper « -Toi !! Vile guenon, retourne à notre résidence, avant d’aggraver ton cas !! ». L’homme tout en vilipendant sa femme, se mit en tête de la poursuivre et de l’attraper, le tout dans un bruit de cavalcade, d’insultes et de cris de femme.
Après cette tornade, qui laissa les gens encore présent outrés, le calme revint et petit à petit les gens se dispersèrent. Au bout d’un certain temps quand il ne resta plus que le ténor grisonnant assit en face du cercueil dit d’une voix amusé : « -Tu peux sortir de là, à mon avis le cocu te croira mort pour un sacré bout de temps. » C’est alors que l’intérieur du cercueil remua et que le haut du corps de Stanley apparu au-dessus des parois du cercueil. Bien vivant et le sourire aux lèvres, notre homme s’extirpa de la boite funeste et fini par éclater de rire. Les larmes aux yeux, il prit son vieil ami dans les bras et lui dit : «- Tobbias, je te dois une fière chandelle. Heureusement que cet imbécile a donné le contrat à une de tes connaissances, sinon ç’aurait pu mal finir. Je dois te dire également, que si un jour je dois mourir, je compte sur toi pour me faire le même discours. Superbe, j’ai eu du mal à ne pas pleurer !! » . En disant cela Stanley fit une profonde révérence avec une ironie palpable.
Le vieil homme marmonna dans sa barbe et claqua le dos de Stanley dans un geste paternel. Stanley reprit son sérieux et dit à son ancien mentor « L’idée de la fausse mort, un coup de génie ! Je vais me la garder sous le coude tellement c’est efficace. » Tobbias le regarda dans les yeux et lui dit avec un air dubitatif « -Fait attention, tu risquerais de créer des adeptes si tu meurs et ressuscite régulièrement ! ». Les deux hommes rire et quand la joie fit place à la bonne humeur, ils se regardèrent un certain temps, pour partirent bras dessus, bras dessous en quête d’une taverne accueillante pour un ressuscité et l’instigateur de sa résurrection.

Très bonne fiche malgré ces quelques détails :
Je te conseillerais d'inventer une nouvelle classe qui combinerait les talents de roublard et d'arbalétrier. (attention n'oublie pas qu'une arbalète est longue à recharger.

Avoir un groupe est obligatoire, mais je crois que tu voulais dire Solitaire par aucun.

Les habitants de Feleth n'ont pas conscience d'Adiryl et du Vein et donc des anges et des démons.

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Voilà, j'ai corrigé ce qui a été relevé en espérant ne rien avoir manqué ^^

Je te valide, n'oublie pas de remplir ton profil :

Néro, Elem est venu ici...

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