Nom: AMALRIK
Prénom :Tancrède
Rang : L'inflexible

Âge: 30
Sexe: Homme

Race: Humain
Classe : Lame Noire
Métier : Empoisonneur
Croyances :/
Groupe: La confrerie des ombres

Équipement: Epée/bouclier
Talents de combat : Combat a l'épée a une main et maniement du bouclier
Talents de magie : /
Talents
divers : Insensible a la douleur
Pouvoirs particuliers : /

Apparence
physique : D'allure élancé et athlétique, Tancrède est un homme au visage froid et figé. Sa petite trentaine est marqué par des cheveux foncés, un collier de barbe dans les mêmes tons de couleurs, et des yeux aux iris tout aussi sombre,modérément retranché dans leurs orbites. Sur son flanc gauche, se dessine une cicatrice sinueuse, légèrement boursoufflée, dont il n'est plus capable de se souvenir l'origine. Tancrède se promène souvent sous un austère mantel noir, afin d'éviter d'attirer les gens vers lui. Sa peau claire, et l'absence de sourire sur son visage plutôt carré contribue a la gravité de son faciès.


Caractère,personnalité :
Tancrède est quelqu'un de très silencieux en publique. Sa nature discrète et antisocial, provient de son amnésie qui semble le ronger de l'intérieur. Il est incapable de rester inactif, tant cette "tare" assaillit rapidement son esprit. Parfois des visions très floues de son passé le hantent lorsqu'il s'endort. De même que des phases de blanc peuvent le paralyser inopinément, comme si des scènes de son passé se rejouaient devant ses yeux. Impulsif, il n'hésite pas a en venir aux mains dès que la situation dérape. Son point faible restant son amnésie, il est très docile et très influençable.

Histoire:

Avant je devais être un homme fort, et puissant. Peut être
un soldat ! Un chevalier ! Un homme du roi ! Peu importe. Rien ne semble plus
être vrai. Il n'y a que ce désert dans les méandres de mon esprit, cette
blessure qui peine à se refermer sur ma psyché. Je me revois parfois dans ces
rêves atroces, vêtu de cette longue cape blanche. Un blanc éclatant et
terriblement apaisant. Mais je me vois, massacrer des hommes, des femmes et
parfois, des enfants ! Je me vois violer et piller dans des fermes isolée. Qui
suis-je ? Un monstre ? Ai-je vraiment fait cela ? Non impossible ! Pourquoi ?

Il y avait cette homme autre fois qui me disait que mes parents voulaient que
je sois en sécurité a ses côtés ! Avec d'autre nous apprenions l'art de la
guerre et du combat. Il nous promettait que nous serions les plus fidèles
serviteurs de notre Roi, et que l'avenir du Royaume nous serait confié. Nous
apprenions à lutter entre nous ! En grandissant nous avions reçu le droit de
tuer quiconque se dresserait sur notre route. Mais je ne peux me souvenir si
mes frères d'armes utiliser ce droit a bon escient...ou non !

Un jour, alors que nous marchions dans cette forêt dont le nom ne me revient
pas malgré tout mes efforts, une flèche me traversa la cuisse de part en part.
Serrant les dents, tout en poussant un cri de rage, je vis certains de mes
frères frappé par des hommes venus de nulle part. Puis leurs capes blanches furent
maculées d'un sang rouge. Le sang de la défaite. Nous tombions les un après les
autres. Je me souviens d'avoir porter un coup à la gorge d'un homme qui se
dressait face a moi. Ma cuisse ne me faisait pas mal. Étrangement je
savais que jamais plus je ne connaîtrais la douleur. Je ne pensais qu’à vaincre
au nom de mon souverain. Ma lame dansait, et chantait en s'écrasant sur les
armes d'acier que brandissaient nos assaillants. Mais nous étions trop peu
nombreux. Rapidement submergés, notre formation s'effondrait. Puis un homme fit
glisser son glaive sur ma chair. Je ne soufrais pas, mais instantanément ma
force me quittait et je m'écroulais au sol. Mes yeux se fermèrent et
l'obscurité domina dans mon esprit. Tout semblait prendre fin ! J'étais mort !

Mais après une éternité dans l'ombre et le silence, je me souviens du visage de
cette femme dans cette cabane perdu dans les bois. Ce fut après que cette
guérisseuse m'arracha des griffe de la mort, que ma vie semblait claire et
limpide. S'était comme si tout n'étais qu'un mauvais rêve. je travaillais pour
elle, j'apprenais son art, et elle m'initia a l'art des poisons et des
antidotes ! Pour moi ma vie commençait a cet instant, a ses côtés ! Mon passé
semblait inexistant ! Étais-je victime d'un sortilège ? Nul ne pouvait le
savoir. Il n'y avait que cette épée, dont je ne savais même pas me servir et
que je me voyait brandir dans mes rêves les plus fous... Je vivais ma vie,
paisiblement dans ses bois, ne dormant que très peu, pour ne pas laisser ces
images de violence que je ne pouvais expliquer dominer mon esprit, et me
conduire dans une folie furieuse dont seule la vieille femme savait me sortir a
l'aide de potion dont elle emporta le secret dans sa tombe. Après son décès, je
ne pouvais plus continuer a prendre ces potions qui refoulaient toutes ces
images, et rapidement je compris que ma vie n'avait pas commencé dans cette forêt
et que les images floues que je voyais n'étaient que celles d'un passé refoulé
! Je décidais donc de rejoindre les villes pour retrouver ma vie d'avant, avec
pour seul compagnon cette épée dont je ne savais pas me servir et un prénom que
je n'avais pas oublié...

Je m'appelle Tancrède, et aujourd'hui, ma vie recommence...et grâce a demain,
je me souviendrais d'hier....

A quelle fréquence
serez-vous présent sur le forum ? 5 jours sur 7 selon mes impératifs professionnels

Comment avez-vous découvert le
forum ? Via Enora

Quelles remarques pouvez-vous formuler à propos de
l’apparence du forum ? Le changement de bannière est quelque chose de fort agréable !

[ Extrait d'un de mes RP sur un autre forum ]

Mon retour était déjà bien annoncé parmi les troupes de la Meute.
La garde noire faisait d'ailleurs de ma récente arrivée un puissant
outil de propagande, afin de motivé les derniers hommes en âge de tenir
une épée, indécis a participer au conflit. Je venais de transmettre a
Rodric les dernières informations stratégiques. A lui de mettre en place
la tactique pour chacune des grandes lignes de cette vaste, mais
décisive opération militaire. Pour l'occasion, j'avais abandonné tout
mon attirail d'assassin. je redevenais un chevalier. Mon armure noirci
par l'exil, protégeais fièrement mon thorax. Les anciennes armoiries de
mon royaume, avaient été effacé par le temps, mais mon amour pour ce
royaume que cherchais a libérer de l'oppression, n'avait en revanche,
pas été effacé. Cette passion inébranlable était toujours flamboyante
dans mon coeur. Un haubert de maille protégeait la surface de mon corps,
sous le plastron, et l'on pouvait le voir sous mes bras, sur le haut de
mes cuisses, et sur mes bras, avant de disparaitre sous des protection
de plaque, qui siégeaient sur mes avant-bras. Ecarlate dansait dans son
fourreaux, rythmée par le mouvement souple et rapide de mon pas, en
direction de la porte principale. Cela faisait déjà quelques heures que
le messager du Roi avait été abattu et l'attaque imminente, pouvait se
produire d'une seconde a l'autre. Le souffle court, la tête haute, les
hommes se redressaient et me saluaient a mesure que je traversait les
rang. J'avais atteins les rempart.
Et le point de non retour...

Je regardais les hommes qui scrutaient l'horizon, et qui savaient que
derrière les ténèbres, se cachait une menace bien plus grande et bien
plus effrayante que la mort elle-même. La destruction de la ville, la
fin d'un monde, et le perpétuel cercle de l'oppression et de la
soumission des faibles. Certains avaient a peine l'âge de fonder des
familles, mais ils étaient là, ils avaient répondu présent a l'appel de
la justice, et a la nécessité de défendre un monde émergeant. La peur se
lisait sur le visage de certain.

Mes frères !
Aujourd'hui le monde va changer. Je ne peux vous promettre la victoire.
Je ne peux vous promettre la gloire, ni même la richesse. En revanche,
je vous promet l'odeur du sang, celle de la mort. La souffrance. La
terreur. je vous promet que vous souffrirez comme jamais vous n'avez
souffert dans vos vies. Mais je vous promet d'être a vos côté lorsque le
métal pénètrera la chair; Je vous promet d'être a vos côté dans la
mort, et tomber comme l'un de vous. Il y a des années de cela, les plus
brave d'entre vous ont vécu cette expérience de poussière et de
violence. Aujourd'hui, après dix années d'exil, ils n'ont ni gloire, ni
plus de reconnaissance aux yeux du peuple. Mais malgré ce manque évident
de gratitude de certains vous pourrez être sur que dans l'enfer de la
bataille. Ces hommes feront leur devoir et auront besoin de vous pour
avancer et vaincre.

Je posais mes mains sur la pierre
froide et me penchais légèrement, pour que dans la pâle lumière de
l'astre lunaire, mon visage apparaisse a tout mes hommes. Pour certain,
s'étaient la première fois qu'il le voyait. J'esperais secrètement que
les traits d'un prince, meurtri par la guerre et par la destruction
incroyable de son prochain que l'être humain était capable d'affliger,
pourraient motiver les plus jeunes et les moins téméraires des hommes.

je ne vous demande pas de mourir pour moi, ni même pour
notre république. Mais je vous demande de combattre et de donner le
meilleur de vous même pour que d'autres suivent notre voie et continue
de s'élever a travers les terres pour mettre un terme a la dictature de
mon frère.

Je m'arrêtais sur mes mots, conscient que bien
des hommes ignoraient que le Roi était mort. Que j'avais réussit une
mission, qui m'avait bien couté dix ans a ficeler et a perfectionner.
Cette vision de mon père, le corps traversé par Ecarlate m'arrachait un
sourire triomphant. Je savais que je pouvais partir l'âme en paix. Bien
qu'ayant éliminé un tyran, je considérer que d'en éliminer un second
serait un coup d'éclat.
Un coup de maitre...

Car oui mes frère. Le tyran Arzhael second du nom a trouver
la mort il y maintenant quatre jours. J'ai pris sa vie, et je donne a
présent la mienne afin de vous mener a victoire !

Je tirais Ecarlate en dehors de son fourreaux ,la brandissant vers la voute
celeste et laissais un cri de guerre grave et viril s'échapper du fond
de mes poumon. Tout les muscles de mon corps se raidirent pour accentuer
ce hurlement, qui fut appuyé par celui d'une armée forte de
soixante-quinze mille âmes, qui allait bientôt entrer dans la légende.
Elle entrerait dans la légende qu'elle remporte cette bataille ou
qu'elle la perde. Mais j'avais décidé que nous la gagnerons, bien que ce
combat a trois contre un, contre armée redoutable ne m'enchantait pas.
Après que ce bruit qui s'était entendu a des lieues a la ronde
s'estompa, je posais mon regard sur mes hommes et j'enfilais le casque a
nasal sur lequel un liseré d'or permettrait a mes hommes de me trouver
au milieu du massacre qui se produirait devant la cité.

Soldats de la république d'Hecara, vous ne connaitrais, ni
la peur, ni la douleur. Vous n'aurez aucune faiblesse, ni même aucune
pitié pour nos ennemis.

Mon regard devint plus sombre,
mais je savais que cela motivait la majorité de ces soldats qui
n'attendais que d'entrer dans l'histoire.

Vous
vous battrai pour l'homme a côté de vous, et dans ce déluge de haine,
vous veillerez sur ceux a vos côté. Nous avons vécu en meute, et ne
combattrons en meute, jusqu'a ce que la mort ai raison de nous....

Un nouveau cri résonna. Il m'arracha un violent frisson. La bataille
allait avoir lieu et les hommes étaient tous prêt. Je jubilais et je me
surpris a m'impatienter. Je me plaça face au terrain rocheux et escarpé
qui menait a nos portes. Les officiers se tenaient a mes côtés et
attendaient les ordres.

Donnez le signal a nos hommes...

L'un des officiers acquiesça et fit un signe de
tête l'un de ses hommes qui s'empara d'un arc, enflamma son projectile
et le tira en l'air. Les sapeurs étaient prévenus. Les dés étaient
maintenant jetés. Alors que je fixais l'horizon attendant le moment
fatidique de l'offensive, je sentis la pluie tomber sur mon visage.
Doucement le bruit de l'eau sur les armures résonna comme une symphonie,
et parvint même a mettre du baume a mon coeur. Une chose impensable dans
un moment pareil.
J'ai toujours aimé combattre sous la pluie...